[Terminé] Rassemblement déguisé [Carnaval]

[Même principe que d'habitude : les gens qui veulent rentrer dans l'event postent d'abord ici]

Les portes s'ouvraient à la volée et se refermait , créant un concert de claquement mais les bruits des gens qui entraient et sortaient des maisons en se pressant n'était rien par rapport à l'énorme cacophonie qui s'épanouissait dans cette rue : C'était le moment de l'année où la Grande rue du Carnaval était la plus remplie , en effet le jour du Carnaval , logique non ?
La cohue colorée se déplaçait et semblait former une immense créature patchwork , tous étaient venus costumés selon la tradition , il y en avait avec des masques et d'autres juste avec du maquillage sur le visage , des habits les plus extravagants aux plus sobres même si ceux-ci étaient moins nombreux .
Comme on le remarquait plus tôt , la rue semblait exploser , le bruit retentissait partout et s'engouffrait dans chaque ruelle , faisant résonner toute la ville , entre les explosions de confettis , les cris d'enfants et les bousculades , on avait de quoi faire exploser les tympans des plus fragiles d'oreille .

Xerxes aimait cette ambiance et ses confettis , toute la ville lui rappelait un cirque géant et Dieu sait ce qu'il aimait les cirques ! Il était venu juste pour s'amuser , son visage complètement recouvert d'une teinture blanche , encore plus blanche que sa peau habituelle , faisait ressortir ses deux yeux , le bout de son nez  et les coins de sa bouche peinturlurés de rouge . Il portait une sorte de coque sur la tête qui faisait disparaître ses cheveux comme s'il avait eu le crâne rasé ce qui renforçait l'image du clown qu'il voulait donner , son costume se constituait aussi de chaussure immenses , d'un grand pantalon plus que bouffant à carreaux et du même genre de veste .
Il donna un ballon à un gosse et entra dans le cortège .

Aëlia tirait Alban derrière elle, et celui-ci avait l’air tout à fait enchanté de la suivre, avec sa tête d’enterrement. Si Alban trouvait qu’il avait passé l’âge d ce genre de manifestation, sa sœur, elle les adorait et l’y traînait à coup sûr. Cette fois, elle l’avait déguisé en soldat de la garde royale en riant comme une gamine, et il avait dû l’aider à se vêtir d’un costume de chat. Elle avait donc sur elle une combinaison très moulante, noire, des gants et des bottes, des oreilles de chat et s’était dessiné des moustaches. Elle avait u air terriblement espiègle, qui lui allait comme un gant. Et elle traînait son frère désespéré à travers la foule bariolée.

Le Carnaval n’était pas pour les Reines lui avait-on dit. Aujourd’hui encore, elle ne mêlerait pas à la foule. Encore une fois, elle était au dessus d’eux. Assise sur un char, celui de Minos, elle regardait les gens rire sous elle, elle les entendait s’amuser. Elle ne regrettait en rien de ne pas être au milieu d’eux. Il y aurait eu trop de contacts pour elle, bien trop. Elle aurait eu peur, très peur. Elle n’aurait pas tenu, aurait tremblé, pleuré, paniqué, serait morte, piétinée par eux, par leur joie, par leur sauvagerie, par leur indifférence.
La robe de la jeune reine était splendide. Elle évoquait une flamme vive, un feu follet par ses teintes orange rouges, jaunes, bleues parfois, noires aussi, mouvantes dans le tissu moiré. La robe elle-même semblait animée d’une vie propre. Des perles et des joyaux y étaient brodés, des fils d’or étaient aux coutures. Ce vêtement clamait le luxe, la volupté, l’aisance. Il ne plaisait pas à la Reine, et pourtant elle ne disait rien. Cela ne lui rappelait que trop … Elle ferma les yeux et chassa les images qui l’assaillaient. So regard se perdit loin devant elle. Ses cheveux étaient retenus par des perles, son visage maquillé la faisait paraître plus âgée, vingt ans au moins elle qui n’en avait que seize. Ses yeux étaient perdus dans le va&gue, et elle s’éloignait peu à peu de la fête, de ses rires de sa joie.

Garmyr qui avait suivit sa petite amie Aëlia et Alban les avait perdu de vue dans la foule, sa blessure le relançait de temps en temps. Il se promenait ici et là observant les costumes souvent plus ridicules les uns que les autres, et d'autres plutôt jolis. Après quelques minutes de marche, Garmyr remarque que ses vêtement étaient en lambeaux après toutes les aventures qu'il avait vécu. Il avait besoins d'une tenue plus solide et simple à porter.

Il opta donc pour une tannerie. Il y trouva une paire de bottes cloutées renforcée et une double ceinture ornée de motifs dorés.

Il passa ensuite à une boutique qui ne fabriquait que des vêtement à base de coton armuré, tissé en serge qui étaient encore plus renforcés avec des rivets. Garmyr en pris plusieurs marron sombre dans lesquels ses gestes ne seront pas bloqués.

Il parcourut encore une fois la ville avec ses habit dépareillés qui ne choquait personne et entra dans une boutique de vestes. Il y dénicha un manteau noir en velours noir à l'extérieur, rouge à l'intérieur et renforcés de bandes de cuir disposée symétriquement avec des reliures argentée. Le vendeur lui avait dit que les fibres se régénéraient toutes seules ce qui fera qu'il ne seras jamais détruit au cours de sa vie. Il y avait aussi mis le prix cela dit.

Garmyr avait donc radicalement changé de look, il devra à présent ne as se transformer en ours n'importe quand au risque de détruire ses bottes, sa ceinture et son pantalon...

Garmyr repris donc sa marche en quête d'Aëlia où d'une tête connue qu'il serait ravis de retrouver.

Comme à Chaque grands évènement ce passant sur Eaque ou Minos Claudia était de la partie. Pour ce Carnaval elle avait attaché ses longs cheveux blond en une queue de cheval haute, mit un loup noir quadrillé en paillettes multicolores, un haut bouffant s'arrêtant juste au dessous de sa poitrine naissante de mauve rappelant la couleur de ses yeux, une longue jupe noire avec une ceinture a grelots qui accompagnait chacun de ces mouvement de la même couleur que son petit haut, une multitude de bracelets bruyants aux poignets et aux chevilles.
Sur le plus beau char elle dansait au rythme des percutions de la fanfare. Elle adorait carnaval, une fête joyeuse ou les rangs sociaux s'effacent. une fête ou tout le monde danse, chante, rit...

Sorga, dans son armure noire et lance à la main, aurait plutôt été à sa place pour Halloween plutôt que dans un carnaval aussi festif... mais bon, on ne se refait pas, et il aurait sans doute été plus effrayant et étrange encore, avec un costume d'arlequin ou de clown.
Il se contentait donc de rester auprès de la Reine, et de répondre aux grimaces des enfants qui jouaient dans la foule.

La Reine, justement... il avait l'impression qu'elle ne goutait pas vraiment à la fête : son regard était perdu dans le vague, les saluts qu'elle faisait parfois à la foule étaient faits distraitement, machinalement.
En silence, l'homme-lézard chercha un moyen pour sortir la Reine de cet état maussade.

Déguisée en chevaucheuse de Dragon , montée sur sa bête qu'elle avait préalablement dessiné et mit une semaine a parfaire juste pour cet évènement ... Tout les passant faisaient place au dragon bariolé qui marchait calmement malgré les cris et les rires des enfants qui le suivaient depuis déjà un bon moment.
Elle arriva a la hauteur de la Reine , une très jolie femme notre reine , Art'ilin se dit qu'elle la prendrait bien comme modèle juste avant de se reprendre et de lui faire une magnifique révérence.
Elle fit un grand sourire a l'homme-lézard-chevalier qui se tenait a ses cotés et continua sa route.
Elle arriva au niveau d'un char ou une blondinette dansait a la perfection au son du tambourin et autre instrument , elle lui fit un signe , un petit clin d'oeil avant de fouiller son sac et de commencer a dessiné la joyeuse scène qui se déroulait sous ses yeux.

Brynn attendait le carnaval avec impatience, mais sa fiertés l'empêchait de porte un costume, i aimait trop se faire remarquer... Ironique pour une des personnes des plus discrètes d'Elysion. Il se promenait ici et là. Il avait appris que l'équipage des renégats avaient été défaits par des marins qui allait vers hypnos, et que l'un d'eux avait dépossédé Helvira du félon. Brynn comptais bien mettre la mains dessus.

Otto avait caché ses cheveux bleus trop reconnaissables sous un chapeau de cow-boy. Il portait une veste en fausse peau, marron. Un foulard rouge dissimulait à moitié son visage. A sa ceinture, un [euh !] porte-flingue vide. Le jeune homme détestait trop les armes pour en porter une, fusse-t-elle en plastique. Il portait un vieux jean, et des bottes aux éperons étincelants.

Il évita souplement un couple d'enfants qui se poursuivaient, heurta quelqu'un, faillit soulever son chapeau pour s'excuser, avant de se raviser -le bleu de ses mèches auraient juré avec la couleur du foulard ! Otto sautilla sur place, et décida de s'extraire de la foule dans un endroit où il y aurait moins de monde. Ici, il n'y avait pas assez d'espace.

Maeko lança une de ses deux torches haut dans les airs, fit la roue, rattrapa la torche enflammée en la faisant tournoyer, amena la flamme jusqu'à sa bouche...
Une boule de feu jaillit vers le ciel, dans un grondement qui couvrit un instant les exclamations de surprise des badauds qui observaient son spectacle. La femme se releva, et poussa un cri sauvage avant de reprendre sa danse et son numéro de cracheuse de feu.

Comme tous, elle était déguisée.
En dragonne.
Ne portant pour seuls vêtements qu'un soutien-gorge et une jupe courte à motifs d'écailles, elle s'était peinturlurée l'ensemble du corps sur ces mêmes motifs. Ce tableau vivant la transformait en saurienne d'un rouge vif. Une queue de lézard attachée à l'arrière de sa jupe - articulée et ondulant de façon autonome à chacun de ses mouvements - et sa coupe de cheveux composée de tresses reprenant vaguement le motif des cornes de Lampion parachevaient la transformation.
Elle était... impressionnante.

Maeko se contentait d'être dans le Carnaval pour jouer les cracheuses de feu.
Pour le moment.

Ca faisait déjà un moment que Eve trainait dans les parages. Elle confectionnait son costume depuis des lustres. Elle avait trouvé un kimono classique, u avait rajouté de a fourrure au col. Elle avait cependant construit le masque elle même, Il était fait de bambou tressé, puis peint, le masque représentait l'esprit du renard. Mais il lui manquait le plus important. Elle partie donc travailler dans un bar un soir. Comme elle avait une chambre dans cette taverne, ce serait pus facile de de trouver l'élément principal de la dernière pièce. Du sang. Elle avait glissé une goutte de son sang dans chacun des verres qu'elle avait servit se soir là. Quand la ville fut endormie, elle préleva le sang de tout les buveurs. Neuf personnes sont mortes vidées de leur sang ce soir là. Le sang était sortis par la bouche et le nez et c'était envolé vers la fenêtre de la chambre. Mais ils ne moururent pas en même temps. Il avaient tous cinq minutes d'intervalles. Cinq minutes, c'était le temps pour Eve de confectionner des queu duveteuses en fibre de sang. Elle y avait attaché de la fourrure noir au bouts de chacun. Le lendemains, elle sortit dans la rue le lendemains dans son costume. L'illusion était parfaite quand ses neuf queues bougeaient tranquillement. Elle les contrôlait à sa guise en attendais son aimé. La réprouvé du sang était devenue une magnifique prêtresse Nogitsune.