[Terminé] Seulement toi et moi. [Pv: Aëlia]

Garmyr n'avait vraiment pas eu le temps de suivre ce qu'il se passait,
Vanah évanouie, si seulement il avait su qui s'était, puis Sorga était
là ? La vue de Garmyr revenait progressivement et son ouïe était presque
rétablie. Sans même qu'il ai eu le temps de dire au revoir, on
l'entrainait déjà dehors de chez Siffroy. Eh bim, grand vide dans
l'estomac, et rebim pop dans le palais. Aëlia conduit Garmyr vers la
salle de bain mais celui-ci comptais bien nettoyer les plaies de son
aimée avant de s'occuper de lui.

Aëlia ne laissa pas à Garmyr le temps de protester pour quoi que ce soit. Elle l’entraina jusqu’à la salle de bains et le fit entrer tout habillé dans la baignoire.

*Allez hop ! Au bain ! *

Elle lui sourit, lui fit un clin d’œil complice, et fit couler l’eau tiède sur le corps de Garmyr.

- Allez, déshabille toi ! On va tout laver à la fois, l’homme et le vêtement, ça fera pas de mal.

Elle se pencha a dessus de l’émail pour l’embrasser tendrement.

Garmyr avait déjà quelque chose en tête, il était épuisé mais, il comptait toujours faire passer la santé de son aimée. Quand elle se pencha pour l'embrasser, il plaça son bras sous son vent, la souleva et l'entraina dans l'eau. Il referma ses bras et retomba violemment sur le bords de la baignoire. Garmyr avait à peine sentit le choc, son corp n'avait seulement plus assez de force. Aëlia avait la tête sur son torse.

- Je crois que j'ai plus assez de force pour me déshabiller, de plus, je voudrais essayer de m'occuper de tes plaies avant.

Garmyr se redressa tant bien que mal, il ne portait plus que son pantalon depuis que le doc était venu chez Siffroy. Celui-ci était d'ailleurs totalement fichu, il irait plus vite de l'arracher et ça serait aussi surement moins douloureux pour Garmyr en vue des courbatures qui parcouraient son corps.

A l’instant où elle se penchait sur le lui pour l’embrasser, il la souleva et l’entraina avec lui dans l’eau.

*Mais c’est qu’il a de la force le diable !*

Elle rit en lui retombant dessus, et l’embrassa lorsqu’il eut fini sa phrase.

- C’est rien mes plaies, juste des égratignures, ça pique même pas. Par contre je vais t’aider pour le reste …

Et sans autre forme de procès, elle lui enleva son pantalon, avant, elle, d’enlever tout ce qu’elle portait. Être habillée dans l’eau n’avait jamais eu aucun intérêt. Elle l’embrasa, et attrapa gant et savon.

Voir le corp nu d'Aëlia le fit rougit jusqu'aux oreilles, mais il connaissait déjà très bien les formes d'Aëlia pour les avoir eu près de lui et collé à son corps tellement souvent. Elle était vraiment magnifique, la rougeur de Garmyr disparut peu à peu, il embrassa son aimée, d'un baiser si tendre et chaud, qu'il aurait pu faire fondre un bloc de glace. Plus rien ne pouvait égaler l'amour qu'il avait pour elle. A la fin du baiser, Garmyr articula finalement quatre derniers mots.

- Je t'aime Aëlia...

Un large sourire se dessina sur ses lèvres, et avant qu'elle ai eu le temps de commencer à le laver, Garmyr l'a rapprocha de lui, et la serra dans ses bras, il baissa ensuite sa tête pour déposer un baiser sur son épaule.

Aëlia percuta lorsqu'elle vit Garmyr revêtir la couleur de la pivoine. Ils ne s'étaient jamais vus nus. Du coup elle aussi rougit, lâchant le pain de savon, avant de rire pour dissiper sa gêne. Il faut dire que les baisers de Garmyr la calmèrent également. L'eau chaude déformait un peu les corps, et la mousse qui s'était formée du fait de la chute du savon commençait déjà à les dissimuler. De la vapeur envahissait la pièce, ce qui n'était pas pour déplaire à la jeune fille.
Les mots de Garmyr la réchauffèrent plus encore. Il l'attirait ver lui mais elle y allait de toute façon. Elle se blottit contre lui tendrement, peau contre peau, à peine séparés par la masse fluide de l'eau.

- Moi aussi je t'aime mon amour.

Elle sentait ses lèvres contre son épaule, sa douceur sa tendresse et son désir à elle mais ...

*Non pas maintenant. Il a besoin de repos de calme. Vous ferez ça plus tard, fillette. Allez au boulot, fais l'infirmière !*

Elle l'embrassa, puis mouilla le gant, attrapa l'autre, et dernier savon, sur le rebord de la baignoire. Elle le frotta contre le tissu, qui se couvrit de mousse.

-Tu te laisses faire surtout ! Après si tu veux vraiment, tu pourras regarder mes égratignures, même si ça ne servira à rien;

Elle lui sourit, et commença à le savonner, tendrement mais rapidement et avec une agilité sans pareille.

Après cet instant de tendresse, elle commença à nettoyer efficacement Garmyr, avec tendresse. Jamais Garmyr n'aurait imaginé que quelqu'un se plierait en quatre pour lui. Il était là, totalement inactif alors qu'elle s'occupait de lui. Garmyr lui ne pensait plus qu'à une chose, nettoyer les blessures d'Aëlia, mais il n'était clairement pas en position de force. Elle l'avait à sa merci et il ne pouvait rien y faire a part attendre qu'elle ait finit pour qu'il puisse à son tours s'occuper d'elle.

Aëlia le savonna tendrement, de fond en comble, histoire qu'il soit tout propre, puis le rinça à l'eau tiède, en profitant pour se laver elle aussi.

- Voilà, tu es propre comme un sou neuf ! Ne reste qu'à te sécher pour que tu brilles pareil !

Elle lui souriait, et lui planta un baiser sur les lèvres.

- Je suppose que tu tiens absolument à regarder mes mini-plaies ?

Elle lui fit un clin d'oeil complice. Sa seule hâte était de sortir de là dedans, même si l'ambiance vaporeuse n'était pas désagréable et d'aller se pelotoner sous la couette avec lui, histoire de pouvoir l'écouter respirer.

Avant même qu'elle n'ait eu le temps de faire autre chose, Garmyr attrapa les pieds d'Aëlia et regarda brièvement les coupures. Elle étaient fines et propres maintenant. Hmm, il chipotait vraiment pour rien, il laissa retomber les pieds sous l'eau. Il tira mollement sur le bras de son aimée pour la ramener à lui.

- Je ferais bien un p'tit somme.

Garmyr était exténué, son énergie était en chute libre. Mais il savait qu'il serait mieux dans un grand lit plutôt que dans la baignoire qui devenait inconfortable. Aidé d'Aëlia, il sortit du bain, il se sécha et partit au lit sans enfiler aucun vêtements, dans le lit il sombra presque immédiatement dans le sommeil Aëlia collée à lui.

Il examina ses coupures, avant de laisser tomber ses pieds à l'eau.

*Ah tu vois bien que ce n'est rien !*

Puis il exprima sa fatigue, aussi sortirent-ils du bain; elle l'aida à se sécher puis il alla jusqu'au lit ouvert , sur lequel il s'affala. Elle rangea la salle de bains rapidement, puis alla le rejoindre, les couvrant tous deux. Il dormait déjà. Le sommeil le rajeunissait, et elle le regarda dormir longtemps avant d'elle même sombrer dans un sommeil profond.

Plusieurs heures plus tard la jeune femme s'éveilla, reposée, fraîche et dispo ... Ce qui n'était manifestement pas le cas de son compagnon, toujours endormi comme une pierre. Elle demanda de la nourriture, qu'elle eut. Elle en garda pour Garmyr. Elle eut quelques visites, qu'elle renvoya gentiment, afin de ne pas le réveiller, et s'occupa toute la journée, rideaux à peine entrouverts. La nourriture pour lui s'entassait.
C'est près de vingt quatre heures après le début de son excursion dans les bras de Morphée que s'éveilla Garmyr. Elle le regarda en souriant, vêtue d'une chemise de nuit blanche et de sa veste rouge, éclairée par la lumière écarlate du coucher de soleil elyséen. Elle lui caressa doucement le visage les cheveux.

- Coucou mon amour. Bien dormi ?

Quand Garmyr ouvrit les yeux, il ne s'était pas rendu compte qu'il avait dormis, il avait cependant récupéré toute sa force et son énergie, enfin comme après un réveil. Aëlia était encore là. Elle lui caressait le visage et lui demandait si il avait bien dormis.

- Ca serait mille fois mieux si la femme de ma vie se trouvait collée à moi à cet instant.

Dit-il avec un large sourire et un clin d’œil enjôleur. Il ne lui laissa pas le temps de se décider, il se redressa, fit tomber sa veste et l'attira à lui se laissa tomber en arrière et passa la couverture par dessus.

- Voilà qui est mieux.

Garmyr souriait béatement, il avait totalement oublié ce qui l'avait mis dans cet état.

Sans trop comprendre ni pourquoi ni comment, elle se retrouva collée au corps nu de Garmyr, manifestement très bien réveillé, qui souriait béatement. Elle embrassa son torse nouvellement tatoué -il faudrait qu'elle lui en pale plus tard de ça ...- et rit doucement, puis se redressa et s'assit sur son ventre.

- T'as pas faim, toi mon ours chéri, après ces deux jours dans le coma puis à dormir ?

Son sourire était à la fois tendre et espiègle, faisant pétiller ses yeux noisette et ressortir sa fossette.

[Tu fais "Si, de toi" ... Je t'étrangle très cher xD]

Faim, oui, mais il voulait un câlin avant. Il repoussa son bassin pour qu'elle puisse se coucher sur lui et mettre la tête sur son torse mais en la déplaçant, il remarqua qu'il avait loupé un détail important. Il n'avait pas de sous-vêtements. Crispation extrême, Garmyr avait les abdos serrés et il l'a repoussa, la sortit totalement de dessus lui. Son corps vibrait. Il reprit vite contenance et ouvrit la parole

- Heu oui non heuu... Heuuu... Oui... J'ai faim... Non... Je... heuuu...

Garmyr posa sa mains sur son front.

- Oui j'ai faim et je serais ravi de partager mon premier repas de la journée avec toi mon amour.

Garmyr se redressa et déposa un baiser sur ses lèvres.

Il devint alors rouge brique, la repoussa, s'embrouillant dans ses propos. Elle sourit, devinant la raison de sa panique. A vrai dire, c'est bien parce qu'elle, elle était habillée qu'elle ne ressentait pas la même chose. Elle l'embrassa.

- Bon reste là, je devrais te trouver quelque chose à te mettre sur le dos.

Joignant le geste à la parole, elle alla fouiller dans armoires bizarrement toujours pleines de leur chambre, et dénicha chemise et pantalon en tissu souple, comme des pyjamas, blancs. C'était déjà ça. Et les apporta à garmyr en souriant.

- Et voilà ! Il y a pas mal de nourriture, tes trois repas sont là. Tu as dormi une journée complète, Garmyr.

Elle alla chercher le chariot de nourriture, et une fois qu'elle lui eut laissé, en profita pour ouvrir les rideaux et les fenêtres. Il faisait bon pour la saison et le coucher de soleil était magnifique; elle respira l'air du soir, puis se posta en contre jour, les rayons du soleil dessinant sa silhouette à travers le tissu. Elle souriait à son aimé.

Garmyr enfila rapidement le pantalon et se dégourdis un peu les jambes, il fait craquer quelques une de ses vertèbres. Il posa son postérieur sur le lit et dévora plusieurs morceaux de viande, puis il tourna la tête vers Aëlia. Il voyait sa silhouette devant le ciel orange, des courants d'air arrivèrent jusqu'à lui et il fut comme attiré par ces formes. Il s'essuya mains et bouche et partis rejoindre son aimée lentement, il passa ses mains sur ses hanches, avança doucement son corps et le colla au sien, et appuya sa mâchoire sur le coté de la tête d'Aëlia.

- En fait, j'ai pas très faim.

Il déposa un baiser sur la joue de sa compagne et resserra son étreinte.

Il se fit craquer, et dévora quelques bouts de viande. Puis il releva la tête la regarda, et là ... son regard sembla changer, il y eut une lueur de plus. Il se leva, s'approcha d'elle, passa ses mains sur ses hanches, déclenchant un long long long frisson. Il se cola à elle, lui chuchotant qu'il n'avait pas très faim. Il la serra contre lui, l'embrassa. Elle se laissa faire, sentant s'accélerer son coeur de façon inhabituelle puis elle le repoussa un peu, tant par souci de sa santé que pour reprendre se esprits.

- Tu es sûr ? Tu as besoin de reprendre de forces et ... il y a plein de trucs à manger !

Quand elle lui parla de reprendre ses forces, Garmyr attrapa son épaule et la retourna vers lui, il l'embrassa immédiatement et la serra dans ses bras. Quand leurs lèvres se décollèrent, il ouvrit la parole.

- T'en fais pas pour moi. Je vais bien, mieux, depuis que tu es avec moi.

Garmyr l'embrassa une nouvelle fois avec plus de force et d'envie. Une forte poussée d’adrénaline commença alors dans le corps de Garmyr, son cœur puissant commença à matraquer sa cage thoracique, son souffle devint court. Pendant qu'il la serrait contre lui, il ne s'était pas rendu compte qu'il l'avait déjà décollée du sol. Lentement, réfutant ces pulsion, il détacha ses lèvres des siennes. Il était frappé de légères convulsions, il avait la chair de poule.

- Pardonne moi Aëlia, je sais pas d'où ça viens ça...

Garmyr eut un sourire gêné. Puis il se pencha légèrement, plaça ses mains sous les courbes postérieurs de son aimée, la souleva, la cala dans ses bras, et l'embrassa à nouveau.

Bon, apparemment, il n’avait vraiment pas faim –ou alors pas de ce type là de nourriture … Du vin peut-être que … ?-. Aëlia n’eut pas le temps de finir sa pensée que déjà Garmyr la tenait contre lui, l’embrassait assez sauvagement, passionnément. Son coeur matraquait, le faisait violemment vibrer. Puis il se mit à trembler, à avoir la chair de poule, alors qu’elle était déjà un peu décollée du sol. Ceci dit elle-même frissonnait, avait la chair de poule elle aussi, quoique ce soit moins impressionnant. Il s’excusa, avant de la soulever plus encore. Elle l’entoura de ses jambes, et répliqua à ses baisers par d’autres plus tendres encore .

- Ce n’est rien … Ca va passer !

Elle lui fit un clin d’œil et l’embrassa de nouveau, plus passionnément.

Ça va passer, ça va passer... Garmyr qui portait à présent Aëlia, la ramena vers le lit, il n'avait plus faim, mais était possédé par un désir qu'il n'avait jamais ressentit, plus grand que le désir de combattre ou le désir de se venger. Dans sa vie il n'avait jamais été intéressé par autre chose que l'honneur et la guerre. Mais au final, quand il est finalement sortit de Gardar, qu'il a quitté les montagnes Deimos pour visiter le monde et ainsi rencontrer ses amis et son amour, il avait une vue plus grande sur la vie que guerre et honneur. Il y avait rajouté, affection, amour, et à présent, désir. Il posa Aëlia sur le lit, se coucha délicatement sur elle et continua de l'embrasser, avec autant de fougue, que de douceurs. Même si elle était une fille solide, Garmyr avait toujours peur de la briser ou de lui faire mal.

Aëlia était dans les bras de Garmyr, qui la menait doucement, mais avec fermeté vers le lit. Elle se laissait faire, sans cesser évidemment e l’embrasser avec tendresse. Il l’allongea, se coucha sur elle, l’embrassant, la câlinant. Des frisons entiers semblaient parcourir a peau, son corps … Comment était-il possible de ressentir autant aussi peu de temps, comment ? Elle déglutit, le regarda, sentant monter en elle quelque chose d’encore inconnu, ou presque. C’état très étrange comme sensation, cela la submergeait peu à peu et lui donnait des envie étranges. Elle glissa ses doigts sous la chemise de armyr, touchant a peau, ses muscles, les sentant rouler et son cœur pulser sous ses doigts. Elle l’embrassa, dans le cou, avant e remonter le long e la mâchoire, puis d’attaquer ses lèvres avec art.

- Je t’aime …

Chacun des gestes d'Aëlia faisaient réagir Garmyr, chaque frôlements, chaque baisers, même chacune de ses expirations. Garmyr éprouvait un désir qu'il ne connaissait pas. Une envie, si forte que même lui ne pensait pas qu'il pourrait éprouver quelque chose de semblable un jour. Et quand Aëlia lui intima un je t'aime, le corps entier de Garmyr devint brûlant. Son pouls s'accéléra, ses muscles se crispèrent. Il l'embrassa de plus belle. Sans qu'il ne sen rende compte, une de ses main était passée sous son vêtement et lui caressait les hanches remontant progressivement la dite chemise de nuit. Quand la première main finit sa route derrière son épaule, l'autre main finit de même remontant la chemise de nuit jusque sous sa poitrine. Puis Garmyr bascula pour qu'elle soit au dessus et l'emprisonna dans ses bras.

- Je t'aime aussi !

La phrase avait sonné entre deux lourdes expirations, le souffle du métamorphe était haletant.

Ses mains passaient partout sur son corps déclenchant un incendie. Elle avait envie envie … Mais envie de quoi d’ailleurs ? Aucune idée, mais elle le voulait. Les souffles étaient courts, les peaux brulantes les cœurs battants. Ils s’embrassaient passionnément, sauvagement, fougueusement. Elle passa ses mains sur son torse partout, descendant peu à peu vers le bas de son corps. Et tout s’accéléra. Elle ferma les yeux, et se laissa porter.

Elle se blottit contre Garmyr dans les draps moins immaculés qu’ils ne l’étaient encore une demi-journée auparavant. Leurs cœurs n’étaient pas encore calmés, mais ça allait mieux. Elle baignait dans la chaleur de leur deux corps, dans l’extase de ce moment intense, partagé. Elle ferma les yeux afin d'ignorer la pluie sur les carreaux, reste de l'orage de nuit, et l'aube qui pointait à l'Est.

Garmyr était reposé et totalement remis. Il avait eu le droit à son premier... "Repos du héros ?". Après comme avant il n'était sur que d'un chose, les sentiments qu'il éprouvait pour sa petite amie. Leurs deux corps n'avaient littéralement plus fait qu'un comme leurs âmes le faisait déjà. Le fait qu'Aëlia fut une télépathe y aidait pour beaucoup certes, mais il y avait comme une compréhension naturelle entre les deux amants qui faisait que tout leurs instant partagés étaient dix fois plus intenses. L'orage faisait rage, Garmyr adorait ça. Il ressera son bras sur le dos nu de sa petite amie. Il l'a fit remonter suffisamment pour que son front se trouves au niveau de sa bouche. Il déposa un long baiser dessus et la serra un peu plus fort contre lui. Après plusieurs éclair, Garmyr sombra dans le sommeil après avoir pensé une dernière fois pour sa petite amie... Je t'aime. Et le sourire aux lèvres, Garmyr se figea dans un sommeil réparateur.

Un « Je t’aime » arriva à son esprit avant qu’il ne sombre alors qu’elle caressait ses cheveux. Elle resta éveillée un moment avant de finalement laisser le sommeil l’emporter, bercée par la respiration de son amant.

[Fin !]