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Eden InfernoMinosien.ne- Messages : 665
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[Archivé] L'île, non loin, balayée par le vent [sp Komen]
Dim 25 Mar 2012 - 14:41
Le vent soufflait fort en ce jour de printemps. On sentait que l’hiver n’était pas tout à fait passé. Il restait encore quelques jours de froid et de mauvais temps avant que l’on puisse espérer avoir droit à un soleil et à une chaleur presque permanente. Les gens étaient sûrement cloitrés chez eux. Eden avait vu quelques volets envolés d’ailleurs.
Nathalia était à la maison, avec son ventre qui grossissait chaque jour. Eden était épatée de ces déformations. Parfois cela la fascinait. Elle trouvait ceci magnifique, fantastique, et aurait voulu être pareille, avoir, elle aussi, une vie en elle à protéger, un être dont elle était responsable, qu’elle aimerait et qui lui donnerait de l’amour sans conditions. Mais à d’autres instants, voir ainsi le corps de son amie de distendre, se déformer, jusqu’à lui enlever toute dimension humaine avec cette affreuse excroissance sur le devant lui donnait envie de vomir. Cette nausée était d’ailleurs renforcée par le regard que portait Nathalia à son ventre. Et puis, dans ces moments là, Eden ne pouvait comprendre que l’on veuille un enfant, cette chose pour laquelle on souffre et qui nous reste attaché, telle une sangsue hurlante durant toute une vie. Eden s’effrayait par fois d’être si contradictoire. C’était pour cela qu’elle était sortie. Pour remettre ses idées en place.
Daël, lui, travaillait au palais. Eden s’était peu à peu habituée à vivre avec lui. Il était présent, bien plus qu’Ulrik, et cela lui faisait du bien, l’apaisait même aux instants où elle était emportée dans un noir tourbillon de pensées. De plus en plus, elle se disait que le paradis était sur terre avec lui, et que les anciens avaient raison : le monde a été construit pour deux. Elle se persuadait qu’il ne servait à rien de vivre si personne ne vous aimait, et donc que maintenant, vivre lui servait, puisqu’elle avait Daël, et que Daël la serrait dans ses grands bras, lui faisait voir des étoiles et l’aimer avec force.
Mais parfois aussi, elle pensait à Ulrik, Ulrik l’enragé, ULrik le réprouvé, Ulrik qu’elle avait aimé, Ulrik qui l’avait aimé, Ulrik qui voulait sa mort. Ulrik qui venait la hanter toutes les nuits ou presque dans ses rêves. Elle grimaça. Cela lui donnait envie de pleurer, elle était terrorisée, elle aurait voulu pouvoir prendre une gomme et effacer ce passage de sa vie, comme beaucoup d’autres. Et recommencer, rallonger sa route. Elle é »tait née pour mourir, comme eux tous et elle le savait parfaitement. Pourtant, elle avait peur. Inferno prenait de plus en plus d’espace dans sa vie.
Elle ferma les yeux, et les rouvrit. Face à elle, l’île Charon. Elle était sir une falaise, et la mer, presque noire sous le ciel trop bas léchait le rivage avec fougue. Le vent enroulait sa robe blanche, longue large autour d’elle, emmêlait ses cheveux. Elle ressemblait plus à une gravure, avec sa robe volante immaculée, sa peau pâle, ses immenses yeux d’émeraude et ses cheveux aussi noirs que de l’encre, retenus au dessus de l’oreille par une fleur de lys blanche, qu’à une personne réelle.
C’est peut-être le vent qui l’empêcha d’entendre quelqu’un approcher, ou bien simplement était elle distraite.
Nathalia était à la maison, avec son ventre qui grossissait chaque jour. Eden était épatée de ces déformations. Parfois cela la fascinait. Elle trouvait ceci magnifique, fantastique, et aurait voulu être pareille, avoir, elle aussi, une vie en elle à protéger, un être dont elle était responsable, qu’elle aimerait et qui lui donnerait de l’amour sans conditions. Mais à d’autres instants, voir ainsi le corps de son amie de distendre, se déformer, jusqu’à lui enlever toute dimension humaine avec cette affreuse excroissance sur le devant lui donnait envie de vomir. Cette nausée était d’ailleurs renforcée par le regard que portait Nathalia à son ventre. Et puis, dans ces moments là, Eden ne pouvait comprendre que l’on veuille un enfant, cette chose pour laquelle on souffre et qui nous reste attaché, telle une sangsue hurlante durant toute une vie. Eden s’effrayait par fois d’être si contradictoire. C’était pour cela qu’elle était sortie. Pour remettre ses idées en place.
Daël, lui, travaillait au palais. Eden s’était peu à peu habituée à vivre avec lui. Il était présent, bien plus qu’Ulrik, et cela lui faisait du bien, l’apaisait même aux instants où elle était emportée dans un noir tourbillon de pensées. De plus en plus, elle se disait que le paradis était sur terre avec lui, et que les anciens avaient raison : le monde a été construit pour deux. Elle se persuadait qu’il ne servait à rien de vivre si personne ne vous aimait, et donc que maintenant, vivre lui servait, puisqu’elle avait Daël, et que Daël la serrait dans ses grands bras, lui faisait voir des étoiles et l’aimer avec force.
Mais parfois aussi, elle pensait à Ulrik, Ulrik l’enragé, ULrik le réprouvé, Ulrik qu’elle avait aimé, Ulrik qui l’avait aimé, Ulrik qui voulait sa mort. Ulrik qui venait la hanter toutes les nuits ou presque dans ses rêves. Elle grimaça. Cela lui donnait envie de pleurer, elle était terrorisée, elle aurait voulu pouvoir prendre une gomme et effacer ce passage de sa vie, comme beaucoup d’autres. Et recommencer, rallonger sa route. Elle é »tait née pour mourir, comme eux tous et elle le savait parfaitement. Pourtant, elle avait peur. Inferno prenait de plus en plus d’espace dans sa vie.
Elle ferma les yeux, et les rouvrit. Face à elle, l’île Charon. Elle était sir une falaise, et la mer, presque noire sous le ciel trop bas léchait le rivage avec fougue. Le vent enroulait sa robe blanche, longue large autour d’elle, emmêlait ses cheveux. Elle ressemblait plus à une gravure, avec sa robe volante immaculée, sa peau pâle, ses immenses yeux d’émeraude et ses cheveux aussi noirs que de l’encre, retenus au dessus de l’oreille par une fleur de lys blanche, qu’à une personne réelle.
C’est peut-être le vent qui l’empêcha d’entendre quelqu’un approcher, ou bien simplement était elle distraite.
InvitéInvité
Re: [Archivé] L'île, non loin, balayée par le vent [sp Komen]
Dim 25 Mar 2012 - 14:43
[ réserve moi ça pour Komen veux-tu 
]
]- InvitéInvité
Re: [Archivé] L'île, non loin, balayée par le vent [sp Komen]
Dim 25 Mar 2012 - 19:19
_ Zéhir ! Zéhir reviens ici ! Epesce de boule de poils !
Le jeune garçon courrait après son chat depuis presque une demie heure ...
Zéhir lui avait voler une tranche de boeuf séché et l'avait mangé sous son nez alors que son maître mourrait de faim.
Komen courrait donc après ce sale matou ...
Zéhir freina sec et faillit se prendre la jambe d'une jeune fille en pleine face .
Son maitre derriere lui l'attrapa enfin sans avoir remarquer la demoiselle.
C'est aprés avoir fait un plongeon et avoir relevé la tête qu'il s'en rendit compte ... Il devint rouge pivoine et s'ecarta quelques peu mal a l'aise et d'une voix assez tremblante il lui dit :
_ Excusez-nous...
Le jeune garçon courrait après son chat depuis presque une demie heure ...
Zéhir lui avait voler une tranche de boeuf séché et l'avait mangé sous son nez alors que son maître mourrait de faim.
Komen courrait donc après ce sale matou ...
Zéhir freina sec et faillit se prendre la jambe d'une jeune fille en pleine face .
Son maitre derriere lui l'attrapa enfin sans avoir remarquer la demoiselle.
C'est aprés avoir fait un plongeon et avoir relevé la tête qu'il s'en rendit compte ... Il devint rouge pivoine et s'ecarta quelques peu mal a l'aise et d'une voix assez tremblante il lui dit :
_ Excusez-nous...
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Re: [Archivé] L'île, non loin, balayée par le vent [sp Komen]
Dim 25 Mar 2012 - 19:40
Eden se retourna, alertée par un pressentiment, et vit derrière elle un jeune garçon brun, aux cheveux tirant sur le bleu, un chat blanc dans les bras. Il lui demanda de les excuser d’une vox un peu tremblotante. Elle le regarda avec étonnement. Il semblait très embêté d’avoir manqué de la cogner, et ses paroles avaient un peu été dispersées par le vent. Ce souffle qui agitaient à l’unisson leurs cheveux, et qui donnait mal à la tête à Eden, collant à elle sa robe blanche, et en faisant claquer les pans. Après un instant d’incertitude, elle cligna des yeux.
- Ce n’est rien. Il n’y a pas de mal.
Elle tenta d’esquisser un sourire.
- Ce n’est rien. Il n’y a pas de mal.
Elle tenta d’esquisser un sourire.
- InvitéInvité
Re: [Archivé] L'île, non loin, balayée par le vent [sp Komen]
Dim 25 Mar 2012 - 19:45
_ Bi ... bien ...
Le jeune homme bégayait et n'osait pas la regardé ...
Le chat s'échappa de ses bras et vint se coller contre la jambe de la demoiselle , ronronnant a en faire trembler la terre.
Le garçon voulut le rattraper et du donc regarder la jeune fille.
Voyant sa robe lui coller le corps , il rougit encore et se retourna d'un bond pour s'excuser encore une fois ...
Il n'avait vraiment pas l'habitude de parler a des gens ...
Il osa un regard mais ne put soutenir celui que le lançait la jeune fille .
Le jeune homme bégayait et n'osait pas la regardé ...
Le chat s'échappa de ses bras et vint se coller contre la jambe de la demoiselle , ronronnant a en faire trembler la terre.
Le garçon voulut le rattraper et du donc regarder la jeune fille.
Voyant sa robe lui coller le corps , il rougit encore et se retourna d'un bond pour s'excuser encore une fois ...
Il n'avait vraiment pas l'habitude de parler a des gens ...
Il osa un regard mais ne put soutenir celui que le lançait la jeune fille .
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Re: [Archivé] L'île, non loin, balayée par le vent [sp Komen]
Dim 25 Mar 2012 - 19:56
Le jeune homme bégaya, et le chat lui échappa. Il alla se frotter contre les jambes d’Eden en ronronnant très fort. Elle éclata de rire alors que le jeune tenta de le récupérer, en vain, avant de devenir rouge pivoine. Un timide, manifestement. La jeune fille attrapa le chat dans un rire, commença à le cajoler.
- Il est adorable !
Elle sourit au jeune homme.
- Comment s’appelle-t-il ? Il vous appartient je suppose …
Elle caressait doucement le chat, boule de poils blancs et doux entre ses bras. Et il ronronnait, comme s’il ne pouvait trouver ailleurs plus grand bonheur.
- Il est adorable !
Elle sourit au jeune homme.
- Comment s’appelle-t-il ? Il vous appartient je suppose …
Elle caressait doucement le chat, boule de poils blancs et doux entre ses bras. Et il ronronnait, comme s’il ne pouvait trouver ailleurs plus grand bonheur.
- InvitéInvité
Re: [Archivé] L'île, non loin, balayée par le vent [sp Komen]
Dim 25 Mar 2012 - 20:56
_ Zé ... Zéhir et ... et oui c'est mon chat ...
Il regarda le chat qui lui lança un regard un peu .... Pervers ?!
Le jeune homme serra le poing , décidément ce matou avait vraiment une case en moins ..
Il regarda la jeune fille et malgré ses joues cachées on devinait très bien leur couleur , il prit son courage a deux main et en une phrase parfaitement articulée il lui demanda :
_ Puis-je vous le reprendre ? J'ai quelque chose a lui apprendre ...
Le chat super intelligent se colla encore plus contre le corps de la demoiselle ce qui fit rougir son maître encore plus ...
Il marmonna quelque chose a propos de Zéhir et essaya de soutenir le regard de la jeune fille ... A grand peine !
Il regarda le chat qui lui lança un regard un peu .... Pervers ?!
Le jeune homme serra le poing , décidément ce matou avait vraiment une case en moins ..
Il regarda la jeune fille et malgré ses joues cachées on devinait très bien leur couleur , il prit son courage a deux main et en une phrase parfaitement articulée il lui demanda :
_ Puis-je vous le reprendre ? J'ai quelque chose a lui apprendre ...
Le chat super intelligent se colla encore plus contre le corps de la demoiselle ce qui fit rougir son maître encore plus ...
Il marmonna quelque chose a propos de Zéhir et essaya de soutenir le regard de la jeune fille ... A grand peine !
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Re: [Archivé] L'île, non loin, balayée par le vent [sp Komen]
Mer 28 Mar 2012 - 21:33
Le chat s’appelait Zéhir. Eden sourit. C’était joli ! Elle le caressa, lui grattant la tête avec enthousiasme. Avoir cette petite boule de poil chaude et vibrante contre elle était plutôt agréable, d’autant que la boule de poils semblait bien l’aimer. Puis, le jeune homme lui parla, ce qui lui fit relever le nez. Il était... ahem … écarlate. Etait-il ainsi avec toutes les filles qu’il croisait ? Si tel était le cas, cela devait être comique d’avoir une pivoine pour ami. Elle sourit, amusée de cette pensée, et capta après que Zéhir se soit blotti contre elle que le garçon voulait le récupérer, rendant son maître proche de la tomate écrasée. Son regard bleu fuyait. Eden fronça un sourcil. Elle lui tendit le félin.
- Pas de problèmes, je vous le rends, il est à vous. Il est vraiment adorable !
- Pas de problèmes, je vous le rends, il est à vous. Il est vraiment adorable !
- InvitéInvité
Re: [Archivé] L'île, non loin, balayée par le vent [sp Komen]
Mer 28 Mar 2012 - 22:01
_ A...Avec vous , oui .... mais a...avec moi c'est bien différent !
Il saisit le chat par la peau cou laissant ainsi les pattes du félin pendre dans le vide .
Il l'approcha de son visage et le regarda méchamment , le chat lui paraissait désolé ... La boule de poil posa alors sa patte sur le nez de son maître ...
Scène plutôt comique vu de l'extérieur .
Les yeux bleus du jeune homme revinrent sur la jeune fille , elle les regardait amusée .
Le chat lui regardait encore Komen , le garçon se rappela soudain :
_ Je ne me suis pas présenté , Je suis Komen Zarirnor , enchanté mademoiselle .
Sa voix était plus sûre , plus ferme et il semblait différent ...
Il saisit le chat par la peau cou laissant ainsi les pattes du félin pendre dans le vide .
Il l'approcha de son visage et le regarda méchamment , le chat lui paraissait désolé ... La boule de poil posa alors sa patte sur le nez de son maître ...
Scène plutôt comique vu de l'extérieur .
Les yeux bleus du jeune homme revinrent sur la jeune fille , elle les regardait amusée .
Le chat lui regardait encore Komen , le garçon se rappela soudain :
_ Je ne me suis pas présenté , Je suis Komen Zarirnor , enchanté mademoiselle .
Sa voix était plus sûre , plus ferme et il semblait différent ...
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Re: [Archivé] L'île, non loin, balayée par le vent [sp Komen]
Jeu 29 Mar 2012 - 22:36
La scène à laquelle la jeune tarima venait d’assister était comique. Zéhir avait été approché de son maître avec un certain ressentiment, mais le chat, manifestement très intelligent avait su calmer son maître. Eden, toujours dans le vent, sourit. Parfois, ce souffle mangeait les mots. Emportait-il aussi les gens ? Arrivait-il que des envolés soient déchiquetés sur les rochers ? Sûrement … Seulement, leurs corps devaient être bien vite dévorés par les montres qui peuplaient ces eaux hostiles. Ce fut le garçon qui la tira de ces sombres pensées, en se présentant, d’une voix soudai bien plus ferme. Eden redressa la tête, et le regarda. Komen … C’était un étrange prénom, mais il lui allait plutôt bien, bizarrement. Elle lui sourit.
- Moi, je m’appelle Eden Inferno. En général, o m’appelle simplement Eden, ça va plus vite.
Elle lui fit un clin d’œil.
- Moi, je m’appelle Eden Inferno. En général, o m’appelle simplement Eden, ça va plus vite.
Elle lui fit un clin d’œil.
- InvitéInvité
Re: [Archivé] L'île, non loin, balayée par le vent [sp Komen]
Sam 7 Avr 2012 - 21:46
_ Eden ... comme le jardin .
C'est vrai que vous ^tes vraiment très jolie , vous seriez digne d’être la première femme que la terre ai connue .
Le garçon était pensif , depuis qu'il s'était réveiller tout avait changer et la civilisation semblait avoir régressée mais elle avait aussi mutée pour s'adapter.
Il ne savait pas si la jeune fille allait comprendre sa phrase , peu être que les anciennes croyances religieuse avait disparues.
C'était surement le cas , il n'avait pas vu une seule églises ou cathédrale dans les villes ou il était passé.
Qu'importe , lui n'avait jamais était croyant et de toutes façons avec son travail cela aurait été bien trop compliqué.
Il caressait Zéhir qui avait trouver refuge au creux de son cou pendant ses réflexions.
Soudain il sorti de ses pensée et s'excusa .
_ Désolé demoiselle j'était un peu perdu dans mes pensés ...
C'est vrai que vous ^tes vraiment très jolie , vous seriez digne d’être la première femme que la terre ai connue .
Le garçon était pensif , depuis qu'il s'était réveiller tout avait changer et la civilisation semblait avoir régressée mais elle avait aussi mutée pour s'adapter.
Il ne savait pas si la jeune fille allait comprendre sa phrase , peu être que les anciennes croyances religieuse avait disparues.
C'était surement le cas , il n'avait pas vu une seule églises ou cathédrale dans les villes ou il était passé.
Qu'importe , lui n'avait jamais était croyant et de toutes façons avec son travail cela aurait été bien trop compliqué.
Il caressait Zéhir qui avait trouver refuge au creux de son cou pendant ses réflexions.
Soudain il sorti de ses pensée et s'excusa .
_ Désolé demoiselle j'était un peu perdu dans mes pensés ...
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Re: [Archivé] L'île, non loin, balayée par le vent [sp Komen]
Lun 9 Avr 2012 - 17:07
Un … jardin ? Eden n’avait jamais entendu parler de cela. Elle savait que l’Eden était un autre nom du Paradis. Mais le nom d’un jardin, non, il est vrai qu’elle n’était pas au courant. Puis il la complimenta sur sa beauté, et elle rougit, détournant les yeux. Il s’était perdu dans ses pensées et s’en excusa, mais Eden l’avait à peine remarqué.
- Ce n’est pas grave, ne vous inquiétez pas. Par contre, peut-être pourrions nous aller nous mettre à l’abri du vent, non ? J’ai parfois du mal à vous entendre …
Elle lui sourit.
- Ce n’est pas grave, ne vous inquiétez pas. Par contre, peut-être pourrions nous aller nous mettre à l’abri du vent, non ? J’ai parfois du mal à vous entendre …
Elle lui sourit.
- InvitéInvité
Re: [Archivé] L'île, non loin, balayée par le vent [sp Komen]
Mar 10 Avr 2012 - 13:12
Le garçon se releva immédiatement aux mots de la jeune fille manquant au passage de faire tomber le chat somnolant sur son épaule.
Il avait été d'une impolitesse inexcusable , laisser une demoiselle ainsi au en proie aux courants d'air !
Le garçon se réprimanda intérieurement et cette remarque lui fit monté le rouge aux joues.
Il s'inclina très bas et cria presque :
_ Excusez moi !
Il se releva et pinça les lèvres.
Komen enleva son manteau et le proposa a la jeune fille en attendant d'être a l'abris.
Son père lui avait appris qu'il valait mieux être malade qu'être la cause de la maladie d'une femme.
Le jeune garçon avait prit ses mots au pieds de la lettre et avait fuit tous contacts avec le sexe opposé mais ici , a cause ou grâce , cela n’était pas encore décidé , a ce stupide il parlait a l'une des leur ...
Tout le temps de ses réflexions il avait le regard tourné vers le sol , il releva donc la tête et fut surprit de la proximité de la jeune fille , elle n'avait pas bougée et semblait bien plus proche ...
Le jeune homme rougit encore un fois devant le regard d'Eden.
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Re: [Archivé] L'île, non loin, balayée par le vent [sp Komen]
Ven 13 Avr 2012 - 17:30
Il se redressa de façon soudaine et s’inclina, très raide, en lui criant presque de l’excuser. Eden rougit et rit, légèrement. Il la regarda et vira encore plus rouge qu’elle. Décidément, observer ces deux-là de loin devait être plutôt comique, chacun devenant écarlate tout à tour, un eu comme une communication par la rougeur des visages [ouh là là, mais qu’est ce que je raconte moi ? x)]. Elle passa une mèche derrière son oreille. 2videmment, c’était inutile, complètement inutile, puisque le vent la décoiffait aussitôt, faisait voler ses soyeux cheveux aussi bruns que l’ébène. Eden comprit rapidement que si elle ne faisait rien, ils resteraient là éternellement, à crier pour s’entendre. Cependant, comme toujours, elle avait du mal à prendre une décision. Rester ici était, bien sûr, exclu, tout comme retourner à la maison. Elle n’en avait vraiment pas envie. Que lui restait-il, alors ? Une grotte ? Derrière une maison ? Un bar ? Un café ? Elle regarda autour d’eux. Paysage vide et pelé, excepté quelques maisons à plusieurs kilomètres, dont on apercevait les toits. Elle cligna des yeux. Il y avait aussi le front de mer. Mais ils risquaient de se faire emporter, entre le vent et les vagues. On ne retrouverait leurs corps déchiquetés que plus tard, sur des rochers, égarés. Peut-être était-ce encore la meilleure solution ? Peut-être … Eden s’empêcha de secouer la tête. Non. C’était idiot. Elle ne comprenait pas pourquoi elle pensait à cela. Elle sourit mécaniquement à Komen, mais cette fois, au fond de ses yeux, un peu moins bien enfouie, on pouvait lire tristesse et désespoir. Ils étaient toujours là, toujours. Mais parfois, elle les cachait mieux.
- Je peux nous emmener tous les trois jusqu’au village, là-bas, si vous voulez. En allant derrière une maison ou dans un établissement public, on serait à l’abri, je crois.
- Je peux nous emmener tous les trois jusqu’au village, là-bas, si vous voulez. En allant derrière une maison ou dans un établissement public, on serait à l’abri, je crois.
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