[Terminé]Recherche Baby-sitter [spé Aëlia et Odéline]

Après leur escapade sur Rhadamenthe, Nathalia avait décider de trouver une Baby-sitter pour Noïa qu'elle voulait protéger de tous ses excès de colère et surtout des habitants du pays de son père. Elle connaissait peut de monde en qui elle avait suffisamment confiance pour mettre entre ses mains la vie de son enfant. Elle avait beau chercher elle ne trouvait pas puis elle fouilla ses souvenirs ... Et deux blondes lui vinrent en tête. Aëlia la pirate et la douce Odéline elle ne connaissait que très peu la dernière et avait envie de revoir la première même si elle avait peu de chance de lui confier son petit trésor. 

Elle donna rendez vous au jeunes femmes dans son café habituel "La panthère rose" aux alentour de quatre heure elle espérait qu'elle avait pensé suffisamment fort à Aëlia pour que celle ci capte son message et que la lettre recommandée était bien arrivée chez Siffroy et que la blondinette avait bien lu. 

Elle était assise à une table dans le fond de la salle Noïa dans les bras elle portait un pantalon noir moulant et un t-shirt à manches longues vert foncé large en bas et resserré sur sa poitrine une tresse sur le côté tenait ses cheveux roux sagement. 

"Tes futures potentielles nounous vont pas tarder à arriver ma puce ne t'en fait pas."


L'adorable bébé de bientôt 10 mois attrapa le doigt de sa maman et le porta à sa bouche. Elle tenait assise dans une petite robe vert pale des collant blanc et une veste blanche en laine. Elle faisait face à sa maman et dos au reste du salon de thé. Des mamie les regardaient en souriant.

Odéline avait reçu une lettre recommandée le matin même, lui demandant d’être à « La Panthère Rose » vers 16 heures et signée Nathalia Koneko. Elle mit un petot instant avant de se souvenir qui était cette femme. Pus, elle finit par percuter. Une très belle rousse qui avait commencé à accoucher chez elle lorsqu’elle avait Garmyr à la maison à cause de sa blessure. D’accord. Elle avait souri, et fini son ménage à grand coup de plumeau –à croire que le ménage était sa passion-. Puis elle avait mitonné un bon petit repas à Siffroy, et une tarte aux pommes pour le goûter. Ils avaient mangé, et elle avait étrillé Gadyän avec énergie, et, une fois Siffroy parti et la maison mise en ordre, elle avait enfourché sa monture et était partie faire un tour de ciel avec son ami, avant de se poser à Albus, trois quart d’heures avant le rendez-vous. Elle y avait fait quelques achats, dont une jolie nappe. Elle se dirigeait actuellement vers le café, lorsque soudain une voix féminine l’appela. Elle se retourna, et sourit à la jeune femme surmontée d’un tricorne qui se dirigeait droit sur elle.

Aëlia partait de plus en plus en escapade. Souvent seule, sur un canot, ou bien à pied, ou à cheval. Ou alors, son frère l’accompagnait sur son magnifique bateau. Elle paraissait toujours aussi joyeuse, mais intérieurement, elle se racornissait. Garmyr lui manquait terriblement, elle n’avait aucune nouvelle depuis les Jeux Olympiques. Plus rien. Elle l’avait beaucoup aimé portant, et maintenant qu’elle savait ce qui s’était passé ce jour-là, elle ne lui en voulait plus autant. C’était presque encore plus triste. Pour oublier, elle voyageait encore plus, se donnait beaucoup, partout, dans toutes sortes d’activités. Elle avait besoin d’être active, pour ne pas penser à cette vie misérable qu’elle menait, de transpirer pour évacuer son amour par tous les pores de sa peau. Ce matin, elle avait dormi tard, rapport à la soirée arrosée de la veille, fêtant le trésor accumulé dans leur précédente expédition. C’état une pensée qui l’avait réveillée vers midi. On pensait à elle sans relâche non loin. Après un espoir fugitif, croyant que c’était Garmyr, elle se rendit à l’évidence : il lui fallait l’oublier. C’était quelqu’un d’autre. C’était Nathalia. Le fait qu’elle pense à elle la fit sourire. Elle entr’apperçut également une Panthère Rose, et se dit que peut-être, il faudrait qu’elle aille faire un tout au café d’Albus dans l’après-midi. Elle se rendormit cependant comme une masse, et ne se réveilla que vers quatorze heures. Elle sursauta alors violemment, et s’élança prendre une douche fraiche, où elle se frotta énergiquement, pour faire disparaître tout relent de sueur ou d’alcool de la veille. Elle s’habilla ensuite, comme toujours d’une chemise, quoique peut-être plus échancrée, d’un pantalon marron, d’une ceinture et de bottes. Elle sécha ses cheveux à la serviette, et prit son tricorne, laissant là son manteau rouge. Les températures printanières ne le nécessitaient pas. Puis elle cria à l’’équipage qu’elle partait, et bondit du pont, se récupéra en tanguant et commença à marcher vers le café. C’est alors qu’elle aperçut devant elle un hippogriffe, ce qui lui donna un mouvement de recul assez fort. Bon sang, qu’est-ce qu’une telle créature faisait dans les rues d’une ville si calme ? Venait-il de la nouvelle cité sortie de nulle part –qui l’inquiétait un peu- ? Elle déglutit, et décida de le contourner prudemment, lorsqu’elle s’apperçut qu’il restat sagement près d’une petite blonde portant une robe bleue un peu large, suivie d’un ou deux oiseaux, et portant une poche à la main. Elle lui rappelait quelque chose. Odéline.

- Odéline !

La jeune fille se retourna, lui sourit. Aëlia fonça sur elle.  Elles ne s’étaient pas vues depuis des lustres. Depuis Garmyr … Elle se força à le chasser de son esprit.

- Comment tu vas ? Que fais-tu là ?
- Il fait beau, alors tout va bien ! Je vais rejoindre Nathalia KOnoeo à La Panthère Rose.
- Toi aussi ? Elle m’a appelée aussi …

C’est ainsi qu’elles décidèrent de faire le trajet ensemble. La piratesse apprit ainsi que l’hippogriffe était l’ami de la jeune fille, et se nommait Gädyan. Elle sut également que Siffroy et elle étaient désormais un couple, et qu’elle mourrait d’envie de l’épouser. Elle, elle lui parla un peu de Garmyr, mais rapidement. Odéline parut comprendre et changea de sujet. Elles babillèrent ainsi jusqu’au café, où Nathalia les attendait, vêtue d’un pantalon noir et moulant et d’un haut vert foncé, tenant perchée sur ses genoux une fillette en vert et blanc aussi rousse qu’elle et aux yeux d’un épatant rouge. Elle lui sourit, lui fit la bise, suivie par Odéline.

- Salut Nat’ ! Bon, alors, qu’est ce qui t’arrive ? Pourquoi sommes-nous ainsi convoquées ?

Le serveur arriva.

- Euh … Un verre de limonade pour moi s’il vous plaît.

Elle regarda ses comparses.

- Un sirop de grenadine pour moi, s’il vous plaît.

Seule Nathalia devait encore commander, et elle pourrait leur répondre.

Elle souriait aux deux jolies blondes. Le serveur se tourna vers elle. 

"et toi Nath' ça sera quoi ? café et gateau au chocolat comme d'hab ?"

elle répondit avec un grand sourire; 

"Non aujourd'hui une tisane camomille caramel et un muffin au citron." 

Elle lui fit un clin d'oeuil et il partit chercher leur commande. Elle s'adressa aux filles devant elle.

"Camomille caramel je connais rien de mieux pour calmer les douleur quand on a ses... menstruations... Bref, Je vous ai fait venir déjà pour vous présenter ma petite chérie ma petite Noïa. Fait coucou aux gentilles madame ma puce." 

Elle s'était adressée à sa fille pour sa dernière phrase. L'enfant leur fit un grand sourire et attrapa un bout de la nappe et joua avec. 

"Assez parlé de moi qu'est ce que vous devenez les filles ?" 

Elle attrapa les main de Noïa le faisant lacher la nappe et fit en sorte que cette dernière joue avec les doigts de sa mère plutôt qu'avec les objet autour.

Aëlia sourit à Nathalia, la voyant mutine avec le serveur. Elle rit lorsqu’elle mentionna ses menstruations. Elle, elle n’avait pas de remède. C’était quatre jours par mois, et c’était pas si horrible chez elle. De fait, une rasade d’air frais, une de rhum, et elle vivait comme d’habitude, se baignant juste moins … et évitant le blanc. Elle lui fit un clin d’œil complice, fit un coucou à la fillette. Les enfants ne l’intéressaient pas vraiment. Elle n’avait pas aimé son enfance, et sur un bateau elle ne saurait qu’en faire. Et puis, ce serait plus un poids qu’autre chose, pensait-elle.

- Moi ? euh, ben … pas grand-chose. Je navigue beaucoup. J’ai retrouvé ma vie d’avant, maintenant que plus rien ne m’attache à la terre ferme.  Parfois on a quelques problèmes, à cause de la guerre, mas en général, on arrive à s’en sortir.

Elle se tourna vers Odéline. Elle en avait largement assez dit d’elle : elle ne voulait pas parler de Garmyr. Il lui manquait trop pour s’infliger cette souffrance supplémentaire.

Odéline avait écouté les deux femmes. Pourtant, elle avait aussi écouté la voix dans sa tête. Parce que Nathalia avait mentionné un mot inconnu.

*Menstruations, c’est ainsi que l’on appelle les règles : c’est un écoulement sanguin périodique chez la femme non enceinte, qui a lieu de la puberté, qui sont Toutes les modifications physiologiques, morphologiques et psychologiques qui surviennent lors du passage de l'enfance à l'adolescence, c’est-à-dire le développement des caractères sexuels, une accélération de la croissance staturale, et l'acquisition des fonctions de reproduction, à la ménopause, qui correspond à l'interruption physiologique des cycles menstruels, due à l'arrêt de la synthèse (fabrication) et de la sécrétion des hormones provenant des ovaires (les oestrogènes et la progestérone).*

Lorsqu’Aëlia se tourna vers elle, elle comprit que c’était son tour de parler.

- Hein ? Ah … Je vis toujours avec Siffroy. On va peut-être se marier, un jour, enfin j’aimerais bien.

Son visage s’éclaira alors qu’elle parlait de lui. Elle regarda la petite Noïa avec tendresse dans le même temps, sans même s’en rendre compte … Cette petite fille, rousse comme sa mère, avait des yeux d’un incroyable rouge, proche de celui du sang. Sûrement ceux de son père … Elle avait entendu dire qu’il était mort. Pauvres d’elles.

- Et j’ai un hippogriffe maintenant ! Il s’appelle Gadyan, et il est très gentil. Sinon, je n’ai pas grand-chose à raconter malheureusement …

Elle fit une pause. Cette histoire de menstruations lui courrait toujours en tête.

- Dites euh … Vous les avez souvent vos menstruations vous ? demanda-t-elle à brûle pourpoint. Ma voix vient de me dire que les femmes les avaient de façon régulière, mais c’est quoi régulière ?

Pour dire vrai, depuis son arrivée sur le canapé de Siffroy, jamais elle n’avait eu à faire à de telles manifestations sanglantes. Et pourtant ça commençait à faire un moment ! Peut-être n’était-ce que tous les deux ans ? OU trois ans ? Ou bien n’était-elle pas arrivée ni à la puberté ou était-elle déjà ménopausée ?

Une si jeune fille avec un si vieux bonhomme ça ne choquait pas Nathalia mais la faisait sourire. Un mariage pareil allait faire parler de lui à Minos ça c'était sur. Déjà que l'hyppogriffe avait fait parlé d'eux... 
Le serveur vint leur apporter leur commande (ouais ils sont rapide ici). 


"Dites euh … Vous les avez souvent vos menstruations vous ? demanda-t-elle à brûle pourpoint. Ma voix vient de me dire que les femmes les avaient de façon régulière, mais c’est quoi régulière ?"


 Nathalia faillit recracher son thé à la camomille. Elle l'avala et sourit à Odéline.  Elle n'avait pas ses menstruations ... 
Elle a quel âge au juste parce que soit le vieux est un pédophile et il est hors de question que ma fille grandisse avec soit elle a un remède antirides du tonnerre et elle était dans le coma de sa puberté à sa ménopause. 


" Bah c'est à dire que c'est tous les 28 jours à peut près ... Tu as quel âge Odéline ? "

La réponse de Nathalia l’étonna. Oh, elle était bien loin de ces 28 jours. Très loin. A vrai dire, non, jamais elle n’avait vu cela. Il y avait donc quelque chose qui … clochait ? A voir la réaction de Nathalia, oui, sûrement.
Son âge ? Comment ça, son âge ? Elle ouvrit de grands yeux.

- Je …

Cette fois, rien, aucune voix pour l’aider. Quand elle était tombée, elle ne savait rien d’elle-même. Juste un prénom. Sort de nulle part, un prénom. C’était tout. Aucun âge, aucune date, aucun lieu. Aucun souvenir. Rien, plus rien. D’un coup, cette évidence la frappa. Elle ne savait rien. Elle n’était rien. Elle n’existait que par Siffroy. Sans lui, elle n’aurait rien pu devenir, si elle n’avait pas atterri sur son vieux canapé rouge. Ses yeux s’embuèrent un peu.

- Je ne sais pas.
Il y eut un nouveau silence.

- En arrivant, je ne savais que mon prénom.

Elle les regarda. Puis sourit.

- Non, je ne sais pas mon âge. Mais je vous ressemble un peu, je pense que je dois avoir quinze ou vingt ans. Quelque chose comme ça. Je ne change pas alors, quelle importance. Quelque chose doit être grippé, dedans. Je … J’irai voir un docteur, on verra bien.

Elle avait dit cela en souriant. Mais d’un coup, elle venait de prendre conscience d’une chose : depuis son arrivée, elle n’avait pas changé. Ses cheveux n’avaient pas poussé, aucune tâche n’était apparue sur sa peau, tous les détails de son corps étaient les mêmes au même endroit. Elle haussa les épaules, et attaqua sa grenadine. Elle leur sourit, entre deux gorgées, espérant enterrer le sujet.

La question surprit Aëlia, et, alors qu’elle s’apprêtait à y répondre, Nathalia prit les devants. Elle en profita pour observer Odéline, ses réactions. Ses pensées lui parvenaient. Odéline était triste de ce qu’elle comprenait peu à peu ; Cette fille avait l’air d’avoir une vie particulière, comme si tout commençait à son arrivée chez Siffroy, et comme si tout ceci était … normal. Tout à fait normal. Pourquoi avat-elle le chic pour rencontrer des gens bizarres, hein, pourquoi donc ? Odéline la toucha. Elle sentait son désir de détourner la conversation, et Aëlia décida de prendre ceci au vol. ce visage d’enfant attristé la peinait un peu, et lui redonner de la gaieté ne pourrait qu’être bénéfique. Elle règlerait ce problème-là elle-même, avec Siffroy, et un bon docteur, sûrement. Après avoir bu un peu de limonade, elle lança :

- Bon, et toi Nath’, que deviens-tu ? Parce que is à part cette histoire féminine, on ne sait pas grand-chose. Que fais-tu par ici ? Qu’est ce que tu as à nous raconter ?

A voir son visage, elle devinait que le quotidien de son amie ne devait pas être des plus réjouissants. Elle lui sourit.

Elle les regardait en souriant. Elles ne savaient pas que Nath n'en pouvait plus de partir à droite à gauche pour essayer de rattraper les bouts  de sa vie qui lui échappaient un à un... Il ne lui en restait plus beaucoup et le plus important était assis sur ses genoux. L'enfant qu'elle chérissait plus que tout et qu'elle avait besoin de mettre en sécurité le plus rapidement possible. 

"En ce moment j'avoue que je suis plutôt occupée et que du coup Noïa, mon petit ange n'est pas toujours en sécurité... Si je vous ai demandé de venir c'était d'abord pour avoir de vos nouvelles mais aussi trouver une nounou à durée indéterminée pour ma fille." 

Elle posa sa fille à terre pour qu'elle joue sans forcément entendre les conversations qui risquaient de suivre. Par instinct la petite fit quelque pas titubants vers Odéline et lui sourit.

Aëlia fronça les sourcils devant cette réponse plutôt … évasive. Oui, c’était le moins qu’on puisse dire. Occupée, au point que sa fille ne soit plus en sécurité et qu’elle veuille la confier à quelqu’un pour une durée indéterminée ? Et surtout, à elles, qui n’étaent pas si proches d’elles finalement ? Quelque chose clochait. Et où était-il, le père, hein ? Et les amis qui étaient là lors de l’accouchement ? Elle catat des images dans la tête de Nathalia, et même si elle savait à quel point c’était impoli, s’introduisit discrètement un peu plus loin. Elle repartit vite, de toute façon. Elle avait ce qu’elle voulait.
*Père mort.
Amie disparue devenue mauvaise.
Ami jeté dehors.
Des histoires d’amour complexes et variées, et un lien subsistant, celui mère-enfant.
Une folie qui guettait, et une quête pour retrouver un mort dont on était persuadée du statut de vivant.
Du sang, des larmes, des armes.*
Ok, ce n’était pas bon pour un gamin.

- Moi je ne peux pas désolée. Avec la guerre, on a du mal sur le bateau, et on me laminerait mentalement si je ramenais un gosse, aussi mignon et dans le besoin soit-il.

*Courage Natalia. Il reste toujours une solution, quelque part, parfois bien cachée, mais elle est sûrement là. Chercher les esprits ne sert à rien. Protège-toi.*

Elle ne lui envoya pas ces pensées. Elle but d’un trait son verre, mal à l’aise. Tout cela lui rappelait Garmyr. Elle regarda alors Odéline. Un sourire attendri lui éclaira le visage. Elle était incroyable cette fille-là.

Elle écouta d’une oreille distraite ce que leur disait Nathalia. Ainsi, celle-ci avait des problèmes … Elle lui aurait bien demandé de quel type, car peut-être aurait-elle pu l’aider, entre son encyclopédie mentale, son amoureux très fort, son armée de kiwis, son copain volant … Mais elle n’en eut pas le temps. Noïa venait de s’approcher d’elle, ses yex rouges brillants. De peur qu’elle ne tombe, Odéline lui prit les mains, et la gamine avança jusqu’à elle. La jeune fille rit, et l’enfant lui répondit, émettant quelques bulles. Elle la prit sur ses genoux, et commença à jouer avec elle, utilisant ses mains. Elle sentit des reards peser sur elle.

- Oh … Euh … Je pense qu’on peut la récupérer. Siffroy sera content, je pense, et Gadyan aime bien les enfants. Il faudrait juste que tu nous prêtes ton matériel, si tu en as. Sinon, on se débrouillera hein !

*Elle est si mignonne …*

Elle sourit aux deux jeunes femmes face à elle.