- Cathleen AsmodeeRhadamantien.ne
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Date d'inscription : 09/01/2017
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Occupation:
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[Archivé] Semaine des Arts Rhadamantiens - 25 Gadien 2790 - Spectacle de clôture et réouverture du Temple
Mar 26 Mar 2024 - 17:13
Une fois n’était pas coutume Cathleen Asmodée tremblait. Elle tremblait de fatigue, de stress et d’excitation.
Cette semaine avait été éprouvante en tous points. Elle avait été une grande réussite mais le show qui clôturait ce Festival des Arts de Rhadamanthe était la renaissance du Temple. La renaissance de l’oeuvre de sa vie. Elle avait mis des années à construire sa réputation et à perfectionner en tout point cet établissement qui était sa fierté, et voilà qu’elle avait dû tout recommencer après la guerre. Elle espérait que celà serait similaire à la magie du phoenix, que l’empire qu’elle avait mis tant d’années à construire n’était pas un château de cartes mais bien quelque chose de grandiose qui allait renaître de ses cendres.
Elle avait saisi l’opportunité de repenser le spectacle grâce à la merveilleuse Senea Greimhridh, qui lui avait soufflé des idées absolument inédites pour le numéro d’ouverture. Cette fois-ci il n’était même pas question de faire un discours d’ouverture: non, le lancement se ferait de lui-même, et en rythme.
Les épais rideaux cachaient ce qu’il y avait sur scène mais n'empêchaient pas les artistes de sentir l’effervescence dans la salle. Là où le reste de la semaine avait été ouvert à tous, seuls les plus chanceux avaient pu obtenir une entrée pour le show de ce soir. En coulisses, tout était calme mais la tension était palpable. Tous n’attendaient que le signal de l’impératrice. Les battements pré-show retentirent.
C’était à eux de jouer.
La musique
La silhouette se mit à chanter et on entendit un premier mur gelé se briser, faisant apparaître d’autres silhouettes au mouvement fluide. Celles-ci se rapprochèrent du second mur qui vola lui aussi en éclats, jusqu’au mur devant la scène, où les couleurs étaient enfin visibles, qui lui aussi explosa en milliers de petits cristaux scintillants.
On vit alors Cathleen Asmodée, entourée de danseurs et danseuses tous de blanc vêtus, alors qu’elle même portait une robe près du corps en sequin argenté. Au cours du break musical, des danseurs descendirent soudain du plafond pour atterrir sur des pylônes de glace qui venaient de se matérialiser autour de la rousse à la voix rauque. Puis, lorsqu’elle commença à chanter, les piliers commencèrent à fondre. L’eau sous ses pieds se transforma alors en une nouvelle colonne, sur laquelle elle s’élevait. Le numéro se conclut avec l’explosion de ce mât alors que l’Augmentée, elle, restait suspendue dans les airs et que les danseurs prenaient la pose en bas sur scène.
Sur cette image les projecteurs se coupèrent le temps de changer de décors et faire redescendre la patronne. Cathleen était on ne peut plus fière de ce numéro qui avait été incroyable de bout en bout. Du moins c’est ce qu’elle espérait qu’on dirait: elle avait donné son maximum et n’avait vu aucun faux pas autour d’elle.
Cette semaine avait été éprouvante en tous points. Elle avait été une grande réussite mais le show qui clôturait ce Festival des Arts de Rhadamanthe était la renaissance du Temple. La renaissance de l’oeuvre de sa vie. Elle avait mis des années à construire sa réputation et à perfectionner en tout point cet établissement qui était sa fierté, et voilà qu’elle avait dû tout recommencer après la guerre. Elle espérait que celà serait similaire à la magie du phoenix, que l’empire qu’elle avait mis tant d’années à construire n’était pas un château de cartes mais bien quelque chose de grandiose qui allait renaître de ses cendres.
Elle avait saisi l’opportunité de repenser le spectacle grâce à la merveilleuse Senea Greimhridh, qui lui avait soufflé des idées absolument inédites pour le numéro d’ouverture. Cette fois-ci il n’était même pas question de faire un discours d’ouverture: non, le lancement se ferait de lui-même, et en rythme.
Les épais rideaux cachaient ce qu’il y avait sur scène mais n'empêchaient pas les artistes de sentir l’effervescence dans la salle. Là où le reste de la semaine avait été ouvert à tous, seuls les plus chanceux avaient pu obtenir une entrée pour le show de ce soir. En coulisses, tout était calme mais la tension était palpable. Tous n’attendaient que le signal de l’impératrice. Les battements pré-show retentirent.
C’était à eux de jouer.
La musique
- musique ouverture:
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La silhouette se mit à chanter et on entendit un premier mur gelé se briser, faisant apparaître d’autres silhouettes au mouvement fluide. Celles-ci se rapprochèrent du second mur qui vola lui aussi en éclats, jusqu’au mur devant la scène, où les couleurs étaient enfin visibles, qui lui aussi explosa en milliers de petits cristaux scintillants.
On vit alors Cathleen Asmodée, entourée de danseurs et danseuses tous de blanc vêtus, alors qu’elle même portait une robe près du corps en sequin argenté. Au cours du break musical, des danseurs descendirent soudain du plafond pour atterrir sur des pylônes de glace qui venaient de se matérialiser autour de la rousse à la voix rauque. Puis, lorsqu’elle commença à chanter, les piliers commencèrent à fondre. L’eau sous ses pieds se transforma alors en une nouvelle colonne, sur laquelle elle s’élevait. Le numéro se conclut avec l’explosion de ce mât alors que l’Augmentée, elle, restait suspendue dans les airs et que les danseurs prenaient la pose en bas sur scène.
Sur cette image les projecteurs se coupèrent le temps de changer de décors et faire redescendre la patronne. Cathleen était on ne peut plus fière de ce numéro qui avait été incroyable de bout en bout. Du moins c’est ce qu’elle espérait qu’on dirait: elle avait donné son maximum et n’avait vu aucun faux pas autour d’elle.
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Tes désirs les plus fous, les plus secrets
sont réalisables
Il suffit de frapper à la bonne porte.
- Senea GreimhridhEaquien.ne
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Date d'inscription : 03/08/2017
Age : 28
Votre personnage et ses relations
Date de naissance: 13/11/2761
Âge: 28 ans
Branche(s): Fille de l'Eau, ne peut manipuler que l'eau froide (glace, neige)
Lieu de vie: Hypnos
Occupation: Etudiante à l'Académie (arts décoratifs) et créatrice de décors pour le Temple
Niveau de richesse: 4
Niveau de célébrité: 4
Relations principales:
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Re: [Archivé] Semaine des Arts Rhadamantiens - 25 Gadien 2790 - Spectacle de clôture et réouverture du Temple
Mar 26 Mar 2024 - 17:14
C’était, peut-être le spectacle pour lequel il y avait le plus de pression, en réalité.
La soirée d’ouverture était un projet pharaonique,évidemment, et éminemment stressant, mais c’était un spectacle tellement époustouflant qu’il n’aurait pu que fonctionner, si on y réfléchissait bien. Personne sur Elysion n’avait jamais vécu une représentation de cette ampleur: elle ne pouvait donc que marquer les esprits, et ce même si tout n’était pas parfait (quoiqu’il ne faille surtout pas admettre cela face à Madame Asmodée). En clair, à moins d’un énorme incident technique, cette soirée-là ne pouvait être que mémorable.
Les spectacles de la semaine étaient, eux, beaucoup plus petits et demandaient une certaine dynamique. La coordination, et le choix de thèmes différents, cependant, attiraient beaucoup de curieux, et suffisait d'assurer de leur impact: la forme était entièrement nouvelle, après tout. La manière dont chaque spectacle, pourtant identique aux autres de la soirée, rendait de manière très différente en fonction de sa localisation avait de quoi fasciner; de la même manière la peur de louper quelque chose avait grandement attiré, et la presse n’avait parlé que de cela.
Ce soir, par contre … Ce soir, c’était le retour du Temple, le retour des revues. On ne pouvait plus surprendre par le lieu, plus surprendre par la multiplication des spectacles, ou par l’immensité: on était limités à la scène du cabaret lui-même, impossible de la déplacer. C’était finalement, leur plus grand enjeu: cette revue serait ensuite jouée quotidiennement, à moins d’un évènement spécial, et il fallait que cette reprise soit suffisamment époustouflante pour donner envie à la clientèle de revenir dans le Temple, de redécouvrir ce lieu à la fois mythique et nouveau, mais aussi d’aller explorer ce que les succursales avaient à offrir. Il fallait un show suffisamment époustouflant pour marquer les esprits, mais assez ouvert pour donner envie de revenir, plusieurs fois dans la saison, pour découvrir ce qu’on avait manqué, pour savourer ces milliers de détails qui faisaient le charme d’un spectacle estampillé Asmodée.
Tous le savaient,tous sentaient parfaitement cette pression. Et pour Senea, c’était peut-être encore plus vrai; après tout, c’étaient ses idées qui avaient été retenues comme fil rouge du spectacle, et surtout, qui structuraient numéro d’ouverture et de fermeture. Autant dire que comme entrée officielle dans le monde du spectacle après la fin à ses études, on ne pouvait pas rêver mieux, mais comme pression reposant sur ses épaules, on ne pouvait faire pire cauchemard.
L’ouverture, cependant, s’était parfaitement déroulée, mettant en lumière Madame Asmodée comme celle-ci l’adorait. Les jeux de hauteurs, de transparence et de textures avaient déclenché des “oh” et des “ah” admiratifs dans le public, que Senea n’avait pas entendu, trop occupée en coulisses à user de sa magie pour faire perdurer l’illusion; une chute aurait été tragique.
Les jeux de glace et de vapeur avaient continué à guider le spectacle, qui mettait en avant toutes les facettes des éléments naturels présents dans les spectacles de la semaine passée, faisant aussi la part belle à la magie et au rêve, teintés de mystère évidemment. Le public avait pu savourer ça avec du champagne bien glacé servi dans des coupes ouvragées et siglées, éléments de collection qu’il pourraient ramener chez eux, en guise de preuve de leur présence à cette soirée d’exception.
Mais à présent, le spectacle se terminait, et il était temps pour Senea de mettre de nouveau ses pouvoirs à l’épreuve. Cachée dans un pendrillon, c’était elle qui animait la scène. Et soudain, c'était l’histoire d'Elysion qui défilait sous les yeux ébahis des spectacteurs. Les décors, extrêmement mouvants, évoluaient avec les gestes des danseurs, et c’était bien normal. En effet, bien que cela soit imperceptible par le public, les décors étaient reliés aux artistes sur scène, et c'étaient bien leurs mouvements qui provoquaient ce changement, ce kaléidoscope protéiforme. Alors que la musique, d’un inébranlable puissance parvenant pourtant à faire preuve de douceur, de finesse,d e subtilité dans l’expression des émotions qui devaient être communiquées au public, guidait les spectateurs ébahis à travers une odyssée sensorielle revisitant leur histoire, d’un monde ancien traversés par des cataclysmes, à la reconstruction d’une société nouvelle, la danse rendait le tout incroyablement expressif. Les effets visuels liés aux pouvoirs de Senea, jouant sur la profondeur de scène, mais aussi sur l'opacité et les textures (de brillante à mate, la glace avait mille possibilités, après tout !) permettaient parfois de démultiplier les lumières ou les artistes, et à d’autres instants de transformer une foule en un seul individu dans des effets qui ne pouvaient que transporter le public.
Le clou de ce numéro était un énorme phénix, tout de brume gelée, qui soudain s’élevait de la scène jonchée d'eau (peut-être les spectateurs de premiers rangs avaient-ils eu le privilège, d’ailleurs, d’être légèrement éclaboussés !) pour renaître devant le public, se teintant de feu, de végétaux et gonflé d’air. Cet animal, énorme, mythique, s’envola soudain, traversant la salle alors que les rideaux se fermaient pendant que l’attention du public était détournée. Puis, il s’évapora en semblant entrer dans un rideau, alors qu’un feu d’artifices de paillettes et cotillons se déclenchait dans la salle: le phénix avait pris son envol, et le Temple était de retour.
Les temps sombres étaient oubliés, Rhadamanthe était prête à briller de nouveau, portée par l’élan de ses plus grands artistes, de ses plus beaux spectacles.
Et il était temps pour les artistes de se mêler au public !
Sujet archivé: pas de réponse depuis 3 mois ou plus.
Ce n’est pas un problème il n'est pas perdu pour autant ! Vous pouvez le faire déverrouiller ! Il suffit d’envoyer un MP à Deus, Eden ou Sorga demandant de déverrouiller le sujet.
Si ce n'est pas déjà fait, pensez à l'ajouter à la chronologie des sujets.
La soirée d’ouverture était un projet pharaonique,évidemment, et éminemment stressant, mais c’était un spectacle tellement époustouflant qu’il n’aurait pu que fonctionner, si on y réfléchissait bien. Personne sur Elysion n’avait jamais vécu une représentation de cette ampleur: elle ne pouvait donc que marquer les esprits, et ce même si tout n’était pas parfait (quoiqu’il ne faille surtout pas admettre cela face à Madame Asmodée). En clair, à moins d’un énorme incident technique, cette soirée-là ne pouvait être que mémorable.
Les spectacles de la semaine étaient, eux, beaucoup plus petits et demandaient une certaine dynamique. La coordination, et le choix de thèmes différents, cependant, attiraient beaucoup de curieux, et suffisait d'assurer de leur impact: la forme était entièrement nouvelle, après tout. La manière dont chaque spectacle, pourtant identique aux autres de la soirée, rendait de manière très différente en fonction de sa localisation avait de quoi fasciner; de la même manière la peur de louper quelque chose avait grandement attiré, et la presse n’avait parlé que de cela.
Ce soir, par contre … Ce soir, c’était le retour du Temple, le retour des revues. On ne pouvait plus surprendre par le lieu, plus surprendre par la multiplication des spectacles, ou par l’immensité: on était limités à la scène du cabaret lui-même, impossible de la déplacer. C’était finalement, leur plus grand enjeu: cette revue serait ensuite jouée quotidiennement, à moins d’un évènement spécial, et il fallait que cette reprise soit suffisamment époustouflante pour donner envie à la clientèle de revenir dans le Temple, de redécouvrir ce lieu à la fois mythique et nouveau, mais aussi d’aller explorer ce que les succursales avaient à offrir. Il fallait un show suffisamment époustouflant pour marquer les esprits, mais assez ouvert pour donner envie de revenir, plusieurs fois dans la saison, pour découvrir ce qu’on avait manqué, pour savourer ces milliers de détails qui faisaient le charme d’un spectacle estampillé Asmodée.
Tous le savaient,tous sentaient parfaitement cette pression. Et pour Senea, c’était peut-être encore plus vrai; après tout, c’étaient ses idées qui avaient été retenues comme fil rouge du spectacle, et surtout, qui structuraient numéro d’ouverture et de fermeture. Autant dire que comme entrée officielle dans le monde du spectacle après la fin à ses études, on ne pouvait pas rêver mieux, mais comme pression reposant sur ses épaules, on ne pouvait faire pire cauchemard.
L’ouverture, cependant, s’était parfaitement déroulée, mettant en lumière Madame Asmodée comme celle-ci l’adorait. Les jeux de hauteurs, de transparence et de textures avaient déclenché des “oh” et des “ah” admiratifs dans le public, que Senea n’avait pas entendu, trop occupée en coulisses à user de sa magie pour faire perdurer l’illusion; une chute aurait été tragique.
Les jeux de glace et de vapeur avaient continué à guider le spectacle, qui mettait en avant toutes les facettes des éléments naturels présents dans les spectacles de la semaine passée, faisant aussi la part belle à la magie et au rêve, teintés de mystère évidemment. Le public avait pu savourer ça avec du champagne bien glacé servi dans des coupes ouvragées et siglées, éléments de collection qu’il pourraient ramener chez eux, en guise de preuve de leur présence à cette soirée d’exception.
Mais à présent, le spectacle se terminait, et il était temps pour Senea de mettre de nouveau ses pouvoirs à l’épreuve. Cachée dans un pendrillon, c’était elle qui animait la scène. Et soudain, c'était l’histoire d'Elysion qui défilait sous les yeux ébahis des spectacteurs. Les décors, extrêmement mouvants, évoluaient avec les gestes des danseurs, et c’était bien normal. En effet, bien que cela soit imperceptible par le public, les décors étaient reliés aux artistes sur scène, et c'étaient bien leurs mouvements qui provoquaient ce changement, ce kaléidoscope protéiforme. Alors que la musique, d’un inébranlable puissance parvenant pourtant à faire preuve de douceur, de finesse,d e subtilité dans l’expression des émotions qui devaient être communiquées au public, guidait les spectateurs ébahis à travers une odyssée sensorielle revisitant leur histoire, d’un monde ancien traversés par des cataclysmes, à la reconstruction d’une société nouvelle, la danse rendait le tout incroyablement expressif. Les effets visuels liés aux pouvoirs de Senea, jouant sur la profondeur de scène, mais aussi sur l'opacité et les textures (de brillante à mate, la glace avait mille possibilités, après tout !) permettaient parfois de démultiplier les lumières ou les artistes, et à d’autres instants de transformer une foule en un seul individu dans des effets qui ne pouvaient que transporter le public.
Le clou de ce numéro était un énorme phénix, tout de brume gelée, qui soudain s’élevait de la scène jonchée d'eau (peut-être les spectateurs de premiers rangs avaient-ils eu le privilège, d’ailleurs, d’être légèrement éclaboussés !) pour renaître devant le public, se teintant de feu, de végétaux et gonflé d’air. Cet animal, énorme, mythique, s’envola soudain, traversant la salle alors que les rideaux se fermaient pendant que l’attention du public était détournée. Puis, il s’évapora en semblant entrer dans un rideau, alors qu’un feu d’artifices de paillettes et cotillons se déclenchait dans la salle: le phénix avait pris son envol, et le Temple était de retour.
Les temps sombres étaient oubliés, Rhadamanthe était prête à briller de nouveau, portée par l’élan de ses plus grands artistes, de ses plus beaux spectacles.
Et il était temps pour les artistes de se mêler au public !
Sujet verrouillé
Sujet archivé: pas de réponse depuis 3 mois ou plus.
Ce n’est pas un problème il n'est pas perdu pour autant ! Vous pouvez le faire déverrouiller ! Il suffit d’envoyer un MP à Deus, Eden ou Sorga demandant de déverrouiller le sujet.
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