- GarmyrMinosien.ne
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[Archivé] Artgard, la cité perdu. [Pv: Deux, Sorga, Maeko]
Ven 16 Nov 2012 - 13:42
Après une bonne nuit de sommeil, Garmyr et Deus partirent en route vers la citée perdu d'Artgard, Garmyr était plutôt content d'avoir Deus avec lui, ça officialiserais un peu la découverte. Garmyr laissa chez lui Nathalia et Eden, après tout sa caverne n'allait pas s'effondrer de si tôt. Deus et lui marchèrent en direction du flanc nord de la montagne, la porte n'était qu'à une centaine de mètres, le ciel était entièrement voilé de nuages, quelques timides flacon se laissaient glisser des grosses napes grises célestes. Le voyage allait s'annoncer plutôt calme.
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- Deus WisemanEaquien.ne
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Re: [Archivé] Artgard, la cité perdu. [Pv: Deux, Sorga, Maeko]
Sam 17 Nov 2012 - 15:41
Deus se frictionnait les épaules depuis un bon moment déjà, répétant qu'il faisait froid et que c'était pas un endroit pour un Roi aussi incroyable que lui, rempli d'une passion ardente et d'une jeunesse vigoureuse.
- Fais un peu froid quand même non ?
C'était à peu près ... disons la 24ème fois qu'il le disait depuis qu'ils avaient levé le camp. Sa chevelure était pleine de flocons et il secoua la tête pour les faire tomber, toujours les bras croisés il demanda
- On va où déjà ?
Entre les flocons qui tombait il apercevait à une petite distance une grande porte, au milieu ed la montagne, les habitants étaient complètement tarés ! Enfin bon après tout Garmyr était juste à côté et habitait aussi dans la montagne, tous des fous ! Il éternua
- Fais un peu froid quand même non ?
C'était à peu près ... disons la 24ème fois qu'il le disait depuis qu'ils avaient levé le camp. Sa chevelure était pleine de flocons et il secoua la tête pour les faire tomber, toujours les bras croisés il demanda
- On va où déjà ?
Entre les flocons qui tombait il apercevait à une petite distance une grande porte, au milieu ed la montagne, les habitants étaient complètement tarés ! Enfin bon après tout Garmyr était juste à côté et habitait aussi dans la montagne, tous des fous ! Il éternua
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Re: [Archivé] Artgard, la cité perdu. [Pv: Deux, Sorga, Maeko]
Sam 17 Nov 2012 - 15:45
- Criouuu !
- Ah, vous voilà mon petit maître. Votre chasse s'est bien passée ?
Maeko était tranquillement assise dans le fauteuil de la chambre d'hôtel qu'elle occupait, les jambes pliées sous elle, pianotant sur son cube d'un air distrait. Le dragonnet vint se poser sur le dossier et, se penchant vers l'avant, frotta sa tête contre la joue de la femme en ronronnant :
- Criou, Criii…
- Je n'attendais plus que toi pour partir. Il est temps de retourner chez nous… si la maison n'a pas bougé.
- Criouuuu !
- Huhu… et on fera la belle, d'accord. Dois-je vous rappeler, mon petit maître, que je pourrai vous donner un handicap suite à ma dernière victoire ?
Le dragonnet bougonna, mais il avait l'air d'avoir accepté cette dernière condition. Maeko se releva en riant, rassembla ses affaires puis se plaça au milieu de la chambre, cube à la main. Lampion vint paresseusement se poser sur son épaule, et la femme pianota sur l'artefact tout en lui souriant.
- Vers l'infini et au-delà !
Elle appuya sur le dernier symbole. Le cube vibra, chargé d'énergie magique puisée dans l'univers autour d'eux. Puis il y eut une impulsion qui le déchargea intégralement.
Maeko et Lampion étaient toujours au milieu de la chambre d'hôtel.
- Ou… pas…
- Criouuuu ?
Plus que surprise, Maeko examina le cube, appuyant sur une série de signes. Elle éclata ensuite de rire, mais un rire un peu jaune tout de même :
- Huhu… on n'est pas rentrés tout de suite, mon petit maître. Je me suis plantée dans les runes de source et de cible. Résultat, je crois bien que je viens de téléporter quelqu'un au hasard, dans un endroit au hasard…
- Cri-ouuuuuuu !
Lampion fut pris d'un fou rire dragonique , et se retrouva bien vite à se rouler par terre dans son hilarité. Après un instant de gêne, Maeko se mit à rire plus franchement à son tour, gagnée par le côté absurde de la scène. Il était probable que la personne qui était partie voir du pays apprécierait moins la blague, bien sûr…
La femme se mit à pianoter de plus belle sur son cube, cherchant dans les flux magiques du monde les dernières téléportations qui avaient eu lieu. Ça lui prendrait un moment pour mettre la main sur le pauvre hère qu'elle avait malencontreusement envoyé ailleurs, mais elle lui devait bien ça. Et elle avait aussi besoin de mettre un visage et un nom sur cette histoire drôle en passe de devenir légendaire dans son répertoire.
- Ah, vous voilà mon petit maître. Votre chasse s'est bien passée ?
Maeko était tranquillement assise dans le fauteuil de la chambre d'hôtel qu'elle occupait, les jambes pliées sous elle, pianotant sur son cube d'un air distrait. Le dragonnet vint se poser sur le dossier et, se penchant vers l'avant, frotta sa tête contre la joue de la femme en ronronnant :
- Criou, Criii…
- Je n'attendais plus que toi pour partir. Il est temps de retourner chez nous… si la maison n'a pas bougé.
- Criouuuu !
- Huhu… et on fera la belle, d'accord. Dois-je vous rappeler, mon petit maître, que je pourrai vous donner un handicap suite à ma dernière victoire ?
Le dragonnet bougonna, mais il avait l'air d'avoir accepté cette dernière condition. Maeko se releva en riant, rassembla ses affaires puis se plaça au milieu de la chambre, cube à la main. Lampion vint paresseusement se poser sur son épaule, et la femme pianota sur l'artefact tout en lui souriant.
- Vers l'infini et au-delà !
Elle appuya sur le dernier symbole. Le cube vibra, chargé d'énergie magique puisée dans l'univers autour d'eux. Puis il y eut une impulsion qui le déchargea intégralement.
Maeko et Lampion étaient toujours au milieu de la chambre d'hôtel.
- Ou… pas…
- Criouuuu ?
Plus que surprise, Maeko examina le cube, appuyant sur une série de signes. Elle éclata ensuite de rire, mais un rire un peu jaune tout de même :
- Huhu… on n'est pas rentrés tout de suite, mon petit maître. Je me suis plantée dans les runes de source et de cible. Résultat, je crois bien que je viens de téléporter quelqu'un au hasard, dans un endroit au hasard…
- Cri-ouuuuuuu !
Lampion fut pris d'un fou rire dragonique , et se retrouva bien vite à se rouler par terre dans son hilarité. Après un instant de gêne, Maeko se mit à rire plus franchement à son tour, gagnée par le côté absurde de la scène. Il était probable que la personne qui était partie voir du pays apprécierait moins la blague, bien sûr…
La femme se mit à pianoter de plus belle sur son cube, cherchant dans les flux magiques du monde les dernières téléportations qui avaient eu lieu. Ça lui prendrait un moment pour mettre la main sur le pauvre hère qu'elle avait malencontreusement envoyé ailleurs, mais elle lui devait bien ça. Et elle avait aussi besoin de mettre un visage et un nom sur cette histoire drôle en passe de devenir légendaire dans son répertoire.
- SorgaElysionien.ne
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Re: [Archivé] Artgard, la cité perdu. [Pv: Deux, Sorga, Maeko]
Sam 17 Nov 2012 - 15:47
Sorga termina de préparer le plateau pour le petit-déjeuner de la Reine, prenant un soin tout particulier à l'équilibre de l'ensemble, ne tenant pas trop à perdre des fruits ou un peu de vaisselle sur le chemin de la chambre de Beldura.
Comme d'habitude, il était encore tôt, et il n'y avait qu'une autre personne avec lui dans les cuisines. Une fois satisfait du résultat, l'homme-lézard en tenue de domestique s'empara du plateau et se dirigea vers la porte d'un bon pas.
Soudain, il y eut un flash de lumière, il eut l'impression de traverser une chute d'eau glacée... puis il se prit un mur de pierre dans la figure !
Le plateau et son contenu s'envolèrent, se fracassant contre la pierre dans un bruit énorme, tandis que l'homme-lézard à moitié assommé se retrouvait le cul par terre. Le son se poursuivit un moment, disparaissant après une multitude d'échos.
Confus, Sorga mit un moment pour pouvoir repérer à peu près où il était : au milieu d'une ville en pierre silencieuse, froide et un peu humide, plongée dans la lumière faiblarde d'un ciel gris déprimant. De ce qu'il voyait pourtant, il était sur une petite terrasse que formait le toit d'un bâtiment - il s'était cogné sur le petit bout de mur à côté de la porte s'ouvrant vers les étages inférieurs.
Autour de ce bâtiment, d'autres à peu près identiques, séparés de quelques mètres, à différents niveaux, rejoints par une multitude d'escaliers, aussi loin que les yeux de Sorga pouvaient voir. Pas un bruit autre que sa propre respiration et celui du vent, une odeur de poussière, de moisi et des débris ça et là...
Il faisait froid aussi ; l'homme-lézard frissonna dans sa tenue de domestique plutôt légère. De la neige tombait doucement, et commençait déjà à recouvrir les restes du plateau-déjeuner au sol.
Une ville antique ? Abandonnée avec ça ?
Plus important : comment était-il arrivé là ? Surtout, comment repartir ?
La Reine attendait son déjeuner après tout...
Comme d'habitude, il était encore tôt, et il n'y avait qu'une autre personne avec lui dans les cuisines. Une fois satisfait du résultat, l'homme-lézard en tenue de domestique s'empara du plateau et se dirigea vers la porte d'un bon pas.
Soudain, il y eut un flash de lumière, il eut l'impression de traverser une chute d'eau glacée... puis il se prit un mur de pierre dans la figure !
Le plateau et son contenu s'envolèrent, se fracassant contre la pierre dans un bruit énorme, tandis que l'homme-lézard à moitié assommé se retrouvait le cul par terre. Le son se poursuivit un moment, disparaissant après une multitude d'échos.
Confus, Sorga mit un moment pour pouvoir repérer à peu près où il était : au milieu d'une ville en pierre silencieuse, froide et un peu humide, plongée dans la lumière faiblarde d'un ciel gris déprimant. De ce qu'il voyait pourtant, il était sur une petite terrasse que formait le toit d'un bâtiment - il s'était cogné sur le petit bout de mur à côté de la porte s'ouvrant vers les étages inférieurs.
Autour de ce bâtiment, d'autres à peu près identiques, séparés de quelques mètres, à différents niveaux, rejoints par une multitude d'escaliers, aussi loin que les yeux de Sorga pouvaient voir. Pas un bruit autre que sa propre respiration et celui du vent, une odeur de poussière, de moisi et des débris ça et là...
Il faisait froid aussi ; l'homme-lézard frissonna dans sa tenue de domestique plutôt légère. De la neige tombait doucement, et commençait déjà à recouvrir les restes du plateau-déjeuner au sol.
Une ville antique ? Abandonnée avec ça ?
Plus important : comment était-il arrivé là ? Surtout, comment repartir ?
La Reine attendait son déjeuner après tout...
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Le désir de protéger est comme une flamme.
Qui réchauffe l'âme en temps de paix.
Qui s'embrase à la moindre menace.
Qui pourrait incinérer même le ciel pour défendre l'être aimé.
Ne laissant que des cendres.
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- Spoiler:
- GarmyrMinosien.ne
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Deus semblait anxieux. Il ne cessait de rappeler que les montagnes étaient froides... Ce qui en toute logique était normal, mais Garmyr était absorbé par l'observation de la porte au loin.
- T'en fais pas on est presque arrivés. Prépare-toi on ne sais pas ce qui nous attends derrière la porte.
Garmyr était loin de se douter que Sorga était déjç sur place. Au bout de quelques minutes ils furent face à la porte. C'était une porte de près de quinze mètres de haut pour sept mètres cinquante de large. La porte était faite de pierre sombre, un large oroboros était gravé dans la roche, contrairement à son corp, la tête était en relief, comme si le majestueux dragon tentait de sortir de la porte où il avait été enclavé.
Garmyr saisit la clef qu'il avait récupéré quelques temps auparavant. Dans la tête du dragon, il manquait un de ses croc supérieur, une canine en pierre de dix centimètres. Garmyr plaça la manquante à sa place. Soudain, la machoire du dragon se referma sur sa mains et l'entailla légèrement. Garmyr savait que ça pourrait arriver, après tout la cité à été scellé par les Oroboros eux même. La tête de dragon recracha littéralement la main de Garmyr et ouvrit le dialogue.
- Je suis Bröm, je suis le gardien de la cité d'artgard. identifiez-vous, porteur du sang des oroboros.
La légende n'avait pas menti, le porte était bel et bien gardée par une magie ancienne. Quoi qu'il y avait derrière cette porte, quelqu'un s'était donné du mal pour l'enfermer.
- Je suis Oroboros D. Garmyr. Je suis le fils de Thür. Maintenant laisse moi passer.
Le faciès de dragon fit une révérence à Garmyr et bascula sur le coté. La porte massive devait faire presque un mètre d'épaisseur. Une fois quelle cessa de bouger, Garmyr pénétra dans la cité de ses ancêtres.
La ville devait mesurer près de trois kilomètres de diamètre, un long cercle batis au creux de la montagne, elle était entouré de haut murs rocheux penchant vers l'intérieur. Il n'y avait pas de plafond, le ciel était visible de l'intérieur, un large cercle de presque toute la superficie de la ville laissait touber de timides petits flocons de neige. Bien que sinistre et vide, on pouvait observer la fiertée du peuple de Garmyr, les habitation massives étaient toutes faites de pierre, les toits en bois faisaient penser à des coques de navires retourné. La plupart des bâtiments ne dépassaient pas les deux étages mais on pouvait en observer de plus grands. Garmyr repéra un mlaison de près de cinq étages, spacieuse avec un petit pré d'herbe autours.
- Je crois que je sais ou Mjöll vas installer son auberge.
Garmyr et Deus se trouvaient sur une avenue, probablement l'avenue principale. Au loin droit devant, on pouvait légèrement appercevoir une maison sur pilotis, au dessus de ce qui paraissait être un lac gelé. Garmyr la pointa du doigt et souffla à Deus.
- Preums pour cette maison !
Avant que Deus n'eut le temps de riposter, il partit en courant dans l'avenue, c'était son rêve le plus cher ce trouver et de restaurer cette cités, il était près d'achever sa tâche. Il passa d'abords un premier carrefour, une autre avenue semblait croiser celle que Garmyr parcourait en angle droit à ce qui semblait être le centre de la ville. A droite, la route descendait sur un kilomètre, d'au moins six étages, donnant sur une porte simmilaire à celle de Bröm, mais en bois et plus fine, probablement un accès au port d'arrivée des oroboros. à Gauche l'inverse parfait. Ce qui devait finalement donner sur une terrasse, qui devait permettre de se retirer et d'observer la chaine de montagnes de Deimos.
Garmyr ne stoppa pas sa course, il traversa une nouvelle parte de la ville, c'est alors qu'il découvrit une large place, les pavé en pierre y étaient plus fins que dans le reste de la ville, surement une place de fêtes. Environs cinquante mètres avant qu'il l'atteignirent, Garmyr sentit comme des déplacements. Il se stoppa net et observa l'horizon. Il vit alors Sorga passer en courrant.
- HEY SORGA !!
Il sortit du champ de vision de Garmyr et une horde de mort vivant y entra. Ils étaient tous à la poursuite du pauvre bougre de Sorga. Garmyr fronça les sourcils.
- What the fuck ?? (Queuuuuuuouuuwaaaah !?)
Un autre zombi qui était à la traine remarqua Garmyr et changea de sens. Il lui fonçait dessus. Garmyr Machinalement empoigna Brenya, la lança, et décapita le zombie. Celui-ci tituba un instant, il continuait plus ou moins de courir vers lui. Il se stoppa, fit demi tours, sa tête semblait remuer les lèvres, enfin ce qu'il en restait. Le corps ramassa sa tête, la replaça sur son cou et partit en courant en marche arrière.... Cet imbécile avait remis sa tête à l'envers... Garmyr se frappa le front.
- Olala, je sens que ça vas devenir embêtant tout ça..
- T'en fais pas on est presque arrivés. Prépare-toi on ne sais pas ce qui nous attends derrière la porte.
Garmyr était loin de se douter que Sorga était déjç sur place. Au bout de quelques minutes ils furent face à la porte. C'était une porte de près de quinze mètres de haut pour sept mètres cinquante de large. La porte était faite de pierre sombre, un large oroboros était gravé dans la roche, contrairement à son corp, la tête était en relief, comme si le majestueux dragon tentait de sortir de la porte où il avait été enclavé.
Garmyr saisit la clef qu'il avait récupéré quelques temps auparavant. Dans la tête du dragon, il manquait un de ses croc supérieur, une canine en pierre de dix centimètres. Garmyr plaça la manquante à sa place. Soudain, la machoire du dragon se referma sur sa mains et l'entailla légèrement. Garmyr savait que ça pourrait arriver, après tout la cité à été scellé par les Oroboros eux même. La tête de dragon recracha littéralement la main de Garmyr et ouvrit le dialogue.
- Je suis Bröm, je suis le gardien de la cité d'artgard. identifiez-vous, porteur du sang des oroboros.
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- Je suis Oroboros D. Garmyr. Je suis le fils de Thür. Maintenant laisse moi passer.
Le faciès de dragon fit une révérence à Garmyr et bascula sur le coté. La porte massive devait faire presque un mètre d'épaisseur. Une fois quelle cessa de bouger, Garmyr pénétra dans la cité de ses ancêtres.
La ville devait mesurer près de trois kilomètres de diamètre, un long cercle batis au creux de la montagne, elle était entouré de haut murs rocheux penchant vers l'intérieur. Il n'y avait pas de plafond, le ciel était visible de l'intérieur, un large cercle de presque toute la superficie de la ville laissait touber de timides petits flocons de neige. Bien que sinistre et vide, on pouvait observer la fiertée du peuple de Garmyr, les habitation massives étaient toutes faites de pierre, les toits en bois faisaient penser à des coques de navires retourné. La plupart des bâtiments ne dépassaient pas les deux étages mais on pouvait en observer de plus grands. Garmyr repéra un mlaison de près de cinq étages, spacieuse avec un petit pré d'herbe autours.
- Je crois que je sais ou Mjöll vas installer son auberge.
Garmyr et Deus se trouvaient sur une avenue, probablement l'avenue principale. Au loin droit devant, on pouvait légèrement appercevoir une maison sur pilotis, au dessus de ce qui paraissait être un lac gelé. Garmyr la pointa du doigt et souffla à Deus.
- Preums pour cette maison !
Avant que Deus n'eut le temps de riposter, il partit en courant dans l'avenue, c'était son rêve le plus cher ce trouver et de restaurer cette cités, il était près d'achever sa tâche. Il passa d'abords un premier carrefour, une autre avenue semblait croiser celle que Garmyr parcourait en angle droit à ce qui semblait être le centre de la ville. A droite, la route descendait sur un kilomètre, d'au moins six étages, donnant sur une porte simmilaire à celle de Bröm, mais en bois et plus fine, probablement un accès au port d'arrivée des oroboros. à Gauche l'inverse parfait. Ce qui devait finalement donner sur une terrasse, qui devait permettre de se retirer et d'observer la chaine de montagnes de Deimos.
Garmyr ne stoppa pas sa course, il traversa une nouvelle parte de la ville, c'est alors qu'il découvrit une large place, les pavé en pierre y étaient plus fins que dans le reste de la ville, surement une place de fêtes. Environs cinquante mètres avant qu'il l'atteignirent, Garmyr sentit comme des déplacements. Il se stoppa net et observa l'horizon. Il vit alors Sorga passer en courrant.
- HEY SORGA !!
Il sortit du champ de vision de Garmyr et une horde de mort vivant y entra. Ils étaient tous à la poursuite du pauvre bougre de Sorga. Garmyr fronça les sourcils.
- What the fuck ?? (Queuuuuuuouuuwaaaah !?)
Un autre zombi qui était à la traine remarqua Garmyr et changea de sens. Il lui fonçait dessus. Garmyr Machinalement empoigna Brenya, la lança, et décapita le zombie. Celui-ci tituba un instant, il continuait plus ou moins de courir vers lui. Il se stoppa, fit demi tours, sa tête semblait remuer les lèvres, enfin ce qu'il en restait. Le corps ramassa sa tête, la replaça sur son cou et partit en courant en marche arrière.... Cet imbécile avait remis sa tête à l'envers... Garmyr se frappa le front.
- Spoiler:
- Olala, je sens que ça vas devenir embêtant tout ça..
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Re: [Archivé] Artgard, la cité perdu. [Pv: Deux, Sorga, Maeko]
Mar 20 Nov 2012 - 3:39
Sorga tourna sur lui-même, cherchant dans le paysage quelque chose qui pourrait lui indiquer où il était, ce qu'il faisait là... n'importe quoi !
Il frissonna de nouveau.
Les montagnes lui étaient inconnues. Cette ville aussi.
Il devait bouger, ne serait-ce que pour éviter de se transformer en glaçon. Et rester sur cette terrasse ne l'aiderait pas beaucoup plus.
Son esprit se concentrant sur l'action, l'homme-lézard sortit son briquet à amadou de son sac - heureusement qu'il l'avait toujours sur lui ! - et attrapa un vieux bout de bois qui trainait au sol, dans le but de se faire une bonne vieille petite torche !
Il fit craquer son briquet à plusieurs reprises, sans parvenir à enflammer le bois vermoulu et humide.
Soudain, il s'arrêta.
- Grooooooooooaaaammm....
Un râle rauque venait de retentir en provenance des ténèbres de la porte de la terrasse.
Ce râle... Sorga en avait déjà entendu de similaires...
Priant Dame Chance pour que son intuition fasse fausse route, l'homme-lézard plissa les yeux pour discerner ce qui se trouvait dans l'ombre des étages inférieurs.
Le râle reprit, plus fort, plus près, alors qu'un bruit de pas maladroits suivait.
Une silhouette apparut bien vite, progressant lentement vers lui.
L'homme-lézard se demanda ce qu'il avait fait à Dame Chance.
Un mort-vivant ! Encore !
Sec comme un pruneau, putréfié à la limite de n'avoir plus que les os sans la chair, portant les restes usés d'une armure qui avait dû être belle, le mort marchait d'un pas laborieux, qui s’accéléra progressivement lorsqu'il vit Sorga bondir et aller s'emparer du plateau métallique tombé au sol.
Le domestique se souvenait comment traiter avec ces bestioles : visez la tête, ça les arrête net !
Brandissant la pièce d'argenterie à deux mains, Sorga attendit que la créature se soit suffisamment rapprochée pour lui décoller un revers magistral en pleine tête.
Le zombie s'écroula.
Sorga ne s'attarda pas pour voir si le mort-vivant se relèverait et chercha un chemin pour s'éloigner le plus possible très vite, très loin.
La porte ? Ouverte sur les ténèbres d'où était sorti ce mort-vivant ?
L'homme-lézard laissa tomber son plateau, enjamba le parapet de la terrasse et se laissa glisser le long du mur jusqu'au sol.
D'autres râles du même genre retentirent un peu tout autour de lui, certains loin, certains trop proches pour qu'il en apprécie le son.
Dame Chance était une vraie garce...
Cinq minutes plus tard, l'homme-lézard courait avec une véritable horde de morts aux fesses. A chaque porte qu'il passait, de nouveaux morts semblaient se joindre au cortège.
Fort heureusement pour lui, il n'était pas tombé dans un cul de sac, et les zombies n'étaient pas assez rapides pour qu'il craigne d'être rattrapé. Mais il ne pouvait pas courir comme ça toute la journée, tout de même !
Quoi ? Quoi ? C'était la voix de Garmyr qui venait de l'interpeler non ?
L'homme-lézard tourna la tête pour apercevoir juste avant de dépasser la rue une silhouette qui lui sembla effectivement familière...
Il trébucha, se releva aussitôt par miracle et repartit de plus belle dans les rues.
Tout de même, il devait en avoir le cœur net...
Au croisement suivant, il prit à gauche.
Puis encore à gauche.
Retraversa la rue où la silhouette semblait se battre avec un zombie qui marchait bizarrement...
Encore un croisement, il prit à droite.
Encore à droite.
Repassa dans cette fameuse rue et, enfin, il fut assez proche pour reconnaitre Garmyr.
- Garmyr ! Quoi être ce bordeeeeelll !
L'homme-lézard poursuivit sa course, n'ayant pas assez de marges pour changer de direction rapidement sans risquer se faire chopper par la horde qui le talonnait.
Il frissonna de nouveau.
Les montagnes lui étaient inconnues. Cette ville aussi.
- Spoiler:
Il devait bouger, ne serait-ce que pour éviter de se transformer en glaçon. Et rester sur cette terrasse ne l'aiderait pas beaucoup plus.
Son esprit se concentrant sur l'action, l'homme-lézard sortit son briquet à amadou de son sac - heureusement qu'il l'avait toujours sur lui ! - et attrapa un vieux bout de bois qui trainait au sol, dans le but de se faire une bonne vieille petite torche !
Il fit craquer son briquet à plusieurs reprises, sans parvenir à enflammer le bois vermoulu et humide.
Soudain, il s'arrêta.
- Grooooooooooaaaammm....
Un râle rauque venait de retentir en provenance des ténèbres de la porte de la terrasse.
Ce râle... Sorga en avait déjà entendu de similaires...
Priant Dame Chance pour que son intuition fasse fausse route, l'homme-lézard plissa les yeux pour discerner ce qui se trouvait dans l'ombre des étages inférieurs.
Le râle reprit, plus fort, plus près, alors qu'un bruit de pas maladroits suivait.
Une silhouette apparut bien vite, progressant lentement vers lui.
L'homme-lézard se demanda ce qu'il avait fait à Dame Chance.
Un mort-vivant ! Encore !
Sec comme un pruneau, putréfié à la limite de n'avoir plus que les os sans la chair, portant les restes usés d'une armure qui avait dû être belle, le mort marchait d'un pas laborieux, qui s’accéléra progressivement lorsqu'il vit Sorga bondir et aller s'emparer du plateau métallique tombé au sol.
Le domestique se souvenait comment traiter avec ces bestioles : visez la tête, ça les arrête net !
Brandissant la pièce d'argenterie à deux mains, Sorga attendit que la créature se soit suffisamment rapprochée pour lui décoller un revers magistral en pleine tête.
Le zombie s'écroula.
Sorga ne s'attarda pas pour voir si le mort-vivant se relèverait et chercha un chemin pour s'éloigner le plus possible très vite, très loin.
La porte ? Ouverte sur les ténèbres d'où était sorti ce mort-vivant ?
L'homme-lézard laissa tomber son plateau, enjamba le parapet de la terrasse et se laissa glisser le long du mur jusqu'au sol.
D'autres râles du même genre retentirent un peu tout autour de lui, certains loin, certains trop proches pour qu'il en apprécie le son.
Dame Chance était une vraie garce...
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Cinq minutes plus tard, l'homme-lézard courait avec une véritable horde de morts aux fesses. A chaque porte qu'il passait, de nouveaux morts semblaient se joindre au cortège.
Fort heureusement pour lui, il n'était pas tombé dans un cul de sac, et les zombies n'étaient pas assez rapides pour qu'il craigne d'être rattrapé. Mais il ne pouvait pas courir comme ça toute la journée, tout de même !
- HEY SORGA !!
Quoi ? Quoi ? C'était la voix de Garmyr qui venait de l'interpeler non ?
L'homme-lézard tourna la tête pour apercevoir juste avant de dépasser la rue une silhouette qui lui sembla effectivement familière...
Il trébucha, se releva aussitôt par miracle et repartit de plus belle dans les rues.
Tout de même, il devait en avoir le cœur net...
Au croisement suivant, il prit à gauche.
Puis encore à gauche.
Retraversa la rue où la silhouette semblait se battre avec un zombie qui marchait bizarrement...
Encore un croisement, il prit à droite.
Encore à droite.
Repassa dans cette fameuse rue et, enfin, il fut assez proche pour reconnaitre Garmyr.
- Garmyr ! Quoi être ce bordeeeeelll !
L'homme-lézard poursuivit sa course, n'ayant pas assez de marges pour changer de direction rapidement sans risquer se faire chopper par la horde qui le talonnait.
_________________
Le désir de protéger est comme une flamme.
Qui réchauffe l'âme en temps de paix.
Qui s'embrase à la moindre menace.
Qui pourrait incinérer même le ciel pour défendre l'être aimé.
Ne laissant que des cendres.
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Re: [Archivé] Artgard, la cité perdu. [Pv: Deux, Sorga, Maeko]
Dim 2 Déc 2012 - 19:24
Deus avait trop froid pour suivre le pas de course de son ami brutal alors il continua à marcher doucement en se frictionnant les épaules, regardant autour de lui pour trouver ce qui l'intéressait. Il y avait un étale sur le côté, déserté avec un bijou qui attira son attention au centre, en améthyste il était du plus bel effet.
Le roi se dit qu'il pouvait s'offrir une petite frivolité, après tout, toutes choses sur ce continent lui appartenait techniquement puisqu'il était roi de Rhadamanthe ! Enfin bon il se rapprocha doucement et discrètement du joyau et tout aussi discrètement, mis la main dessus et essaya de tirer. Mais une autre main était posée dessus alors il tira plus fort pour le récupérer et un bras suivit la main, puis une épaule et une tête avec des yeux révulsés.
- Ah !
Deux autres corps se levèrent à côté, cachés derrière l'étable et des grognements s'élevèrent tout autour, une cohorte commença à se lever autour de lui et les mains se tendirent vers lui.
Des zombies ! Des zombies ! Cet endroit c'était n'importe quoi ! Pourquoi des zombies !? Après le froid, la montagne, des morts qui marchaient, certes la ville était belle, il y aurait bien pris une résidence secondaire pour sport d'hiver mais infestée de zombies c'était pas la meilleure des choses. Et puis comme il l'avait pensé plus tôt, il était roi ! Des morts-vivants allaient pas venir l'embêter avec ce froid en plus !
Il fit quelques pas en arrière
- Moi ! Roi de Rhadamanthe ne me laisserait pas écraser sans rien dire ! Surtout par une bande de décérébrés ! Préparez vous à déguster !
Et puis il se rendit compte après une légère réflexion qu'il ne pouvait rien faire , non armé comme il l'était et les magies dans lesquelles il était bon n'étant pas contondantes au premier abord ou a leur utilisation la plus rapide et basique. Certes sa lumière aurait pu faire quelques trous dans leurs corps ... après quelques secondes pour rassembler les énergies nécessaires. Et la gravité ne parlons même pas du temps qu'il fallait pour la modifier !
Il fit demi-tour en changeant d'avis et partit en sprint vers l'endroit ou Garmyr avait disparu et derrière lui ce fut la débandade , l'armée de morts lui marchant sur les talons. Une armée de morts qu'il amenait vers Garmyr et Sorga sans se rendre compte du sandwich qu'il s'apprêtait à faire.
- Garmyyyyyyyyyyyyyyr ! A l'aiiiiiiiiiiide !
Si il avait pu trouver une arme, n'importe quoi ! Il aurait au moins pu se battre mais les arts du combat à mains nus, c'était pour les gueux et il n'avait absolument rien sur lui.
Le roi se dit qu'il pouvait s'offrir une petite frivolité, après tout, toutes choses sur ce continent lui appartenait techniquement puisqu'il était roi de Rhadamanthe ! Enfin bon il se rapprocha doucement et discrètement du joyau et tout aussi discrètement, mis la main dessus et essaya de tirer. Mais une autre main était posée dessus alors il tira plus fort pour le récupérer et un bras suivit la main, puis une épaule et une tête avec des yeux révulsés.
- Ah !
Deux autres corps se levèrent à côté, cachés derrière l'étable et des grognements s'élevèrent tout autour, une cohorte commença à se lever autour de lui et les mains se tendirent vers lui.
Des zombies ! Des zombies ! Cet endroit c'était n'importe quoi ! Pourquoi des zombies !? Après le froid, la montagne, des morts qui marchaient, certes la ville était belle, il y aurait bien pris une résidence secondaire pour sport d'hiver mais infestée de zombies c'était pas la meilleure des choses. Et puis comme il l'avait pensé plus tôt, il était roi ! Des morts-vivants allaient pas venir l'embêter avec ce froid en plus !
Il fit quelques pas en arrière
- Moi ! Roi de Rhadamanthe ne me laisserait pas écraser sans rien dire ! Surtout par une bande de décérébrés ! Préparez vous à déguster !
Et puis il se rendit compte après une légère réflexion qu'il ne pouvait rien faire , non armé comme il l'était et les magies dans lesquelles il était bon n'étant pas contondantes au premier abord ou a leur utilisation la plus rapide et basique. Certes sa lumière aurait pu faire quelques trous dans leurs corps ... après quelques secondes pour rassembler les énergies nécessaires. Et la gravité ne parlons même pas du temps qu'il fallait pour la modifier !
Il fit demi-tour en changeant d'avis et partit en sprint vers l'endroit ou Garmyr avait disparu et derrière lui ce fut la débandade , l'armée de morts lui marchant sur les talons. Une armée de morts qu'il amenait vers Garmyr et Sorga sans se rendre compte du sandwich qu'il s'apprêtait à faire.
- Garmyyyyyyyyyyyyyyr ! A l'aiiiiiiiiiiide !
Si il avait pu trouver une arme, n'importe quoi ! Il aurait au moins pu se battre mais les arts du combat à mains nus, c'était pour les gueux et il n'avait absolument rien sur lui.
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Sam 8 Déc 2012 - 4:08
Sur la place où Sorga fuyait,se trouvait une maison au fond. La maison que Garmyr voulait pour lui. C'était une grande batisse parfaitement symétrique montée sur pilotis au dessus d'un lac gelé. Devant la maison, il y avait une vaste terrasse qui faisait presque estrade sur la place. Dans le passé, les plus grand musiciens ont du passer sur ces planches après de long discourt des premiers Oroboros à avoir foulé et battis cette ville. C'est alors que six Zombies se retirèrent de la course, ils portaient tous des instruments bien singuliers sur eux, il grimpèrent tout les six sur l'estrade.
Le premier, portait un instrument avec six cordes dessus, et ce qui semblait être une caisse de résonance, il déposa un pied où se trouvait à son sommet, une petite chose métallique qu'il rêgla au niveau de sa route. Il attrapa deux cables attachée à sa ceinture, en planta un dans son instrument, et un dans sa chose métallique, il ramena les deux cables sur deux boites noires au fond de l'estrade. Le second pourtait un violon, instrument déjà connu de Garmyr, il procéda à la même opération, sur une autre boite noire qui se trouvait derrière lui. Le troisième portait un instrument étrange, avec énormément de boutons, il semblait pouvoir se replier sur lui même et donc, fonctionner à l'air ainsi brassé. Il possédait aussi une chose métallique et se raccorda à une boite noire. Le quatrième portait le même instrument que le premier mais sans caisse de résonance, et aussi une chose métallique, il se raccorda à une autre boite noire derrière lui. Le cinquième ne semblait qu'avoir un objet similaire au précédent, mais pas de chose métallique et son objet ne possédait que quatre grosses cordes, cet instrument plut d'ailleurs à Garmyr par son aspect bourrinique (Ghihi!). Le dernier était assis, il ne sembla se raccorder nulle part, surement parce que ce qu'il devait faire ne devait pas être important...
Les torches s'allumèrent autours d'eux, un brouillard se leva, d'autres zombies faisaient bouger les torches et jouaient avec des morceaux de bois, des faisceaux lumineux commencèrent à parcourir les six zombies et la grande place. Le zombi du milieu, le premier installé donc, fit un signe du pouce à un autre zombi et hurla dans son micro quelque chose que Garmyr avait comprit ainsi.
- Oui Ale Gogol Boldello !
Et c'est ainsi qu'ils commença à y avoir des sons que Garmyr n'avait jamais entendu et qui étaient amplifiés dans toute la ville. Un groupe de Zombies cessa même de courir pour aller festoyer avec eux.
Click sur le spoiler please.
La situation partait totalement en vrille ce qui arracha à Garmyr une expression mécontente teintée de lassitude, avec un léger brin d'excitation. (Essai de le faire 8D) Au moment où Garmyr allait s'élancer pour aider son meilleur amis, le roi de Rhadamantes l'appela au secours. La situation était fichtrement désespérée. la musique avait interpellé Garmyr il avait une impression de déjà vu. Bref. Il prit une secondes pour réfléchir à la marche à suivre puis il lâcha.
- J'ai un plan Fridya, je sais pas si ça va te plaire, mais en tout cas, j'espère que tu me fais confiance.
Garmyr s'élança vers Deus, il empoigna Brenya et faucha de son bras gauche les zombies qui étaient sur sa route. Il approchait du roi. Les zombies étaient increvables, il rattachait leurs membres amputés et reprenaient la chasse de plus belle. Garmyr arriva finalement à la portée du roi. Il lui lâcha Brenya dans la main.
- Tâchez de lui faire honneur et je comptes bien la récupérer, suivez moi !
Sans tambours ni trombones, Garmyr se retourna empoigna Fridya qui prit une forme de lourde épée à deux mains, et avança vers la place, son objectif, rattraper Sorga et le sauver. Il partit en courant vers la place, la population de Zombies était rameutée des quatres coins de la ville mais bon nombre n'avait cure des trois mortels qui parcouraient la rue, il étaient tous omnibilés par la musique. La place principale devin très vite bondée de monde. Garmyr rebondit sur un mur et remaqua que la foule était tellement compact, qu'il pourrait surement marcher dessu. Il prit élan sur un mur, et commença à crapahuter sur la foule. Un sourire illumina son visage.
- Bah comme ça c'est déjà plus facile !
Comme si on l'avait entendu et voulut lui faire avoir tort, il trébucha sur une racine... Oui une racine. Un de ces idiots de zombies avait une vigne qui lui poussait sur le corps et il avait une épaisse racine qui lui servait de cheveux. Il tomba à plat dos sur la foule qui les bras en l'air en criant de joie. L'incompréhension se lisait sur le visage de Garmyr. Il haussa les épaules et tenta un truc.
- Par là !!
La foule sembla l'écouter et le fit aller sans qu'il ne fasse rien vers Sorga. Au bout d'un moment il arriva en bord de foule où il se fit jeter comme un mal propre, heureusement il était agile. Il atterit sur ses pieds et reprit sa course vers la horde qui talonnait son amis. Il n'y arriverait pas assez vite. Il posa sa mains sur sa faux. Quelques secondes plus tard il avait rattrapé Sorga, d'un coup de faux, il balaya le plus gros de la troupe. La musique le galvanisait. Elle lui donnait une énergie et un folie qu'il n'avait que lorsqu'il était très bourré. Il s'amusait comme un dingue à cette fête macabre. Il se retourna vers Sorga et dit une dernière chose à Fridya.
- Soit gentille avec lui s'il te plait.
Garmyr serra le poing sur le manche, posa ses phalanges sur le torse de Sorga, et la lâcha dans ses mains.
- Je pense que comme j'ai une confiance aveugle en toi, elle devrait être sage. Maintenant, cours te réfugier sur un toit, où bats toi avec moi. Il faut se rapprocher de la grand place voir ce qu'il s'y trâme, j'ai la sensation que c'est par la bas qu'il faut aller.
Garmyr empoigna la faux dans ses deux mains et refaucha les zombies fraichement relevés. Juste à ce moment là, il débordait d'adrénaline et se surprit à chanter en coeur avec le groupe et la foule.
- Dai dai dai dai dai dadai dai dai dai dai dadai !! HOLD MY HAAAAND !
Il grimaça un instant, haussa les épaules et repartit dans la foule en remontant la rue, sans oublier d'ouvrir la voix pour Sorga.
Le premier, portait un instrument avec six cordes dessus, et ce qui semblait être une caisse de résonance, il déposa un pied où se trouvait à son sommet, une petite chose métallique qu'il rêgla au niveau de sa route. Il attrapa deux cables attachée à sa ceinture, en planta un dans son instrument, et un dans sa chose métallique, il ramena les deux cables sur deux boites noires au fond de l'estrade. Le second pourtait un violon, instrument déjà connu de Garmyr, il procéda à la même opération, sur une autre boite noire qui se trouvait derrière lui. Le troisième portait un instrument étrange, avec énormément de boutons, il semblait pouvoir se replier sur lui même et donc, fonctionner à l'air ainsi brassé. Il possédait aussi une chose métallique et se raccorda à une boite noire. Le quatrième portait le même instrument que le premier mais sans caisse de résonance, et aussi une chose métallique, il se raccorda à une autre boite noire derrière lui. Le cinquième ne semblait qu'avoir un objet similaire au précédent, mais pas de chose métallique et son objet ne possédait que quatre grosses cordes, cet instrument plut d'ailleurs à Garmyr par son aspect bourrinique (Ghihi!). Le dernier était assis, il ne sembla se raccorder nulle part, surement parce que ce qu'il devait faire ne devait pas être important...
Les torches s'allumèrent autours d'eux, un brouillard se leva, d'autres zombies faisaient bouger les torches et jouaient avec des morceaux de bois, des faisceaux lumineux commencèrent à parcourir les six zombies et la grande place. Le zombi du milieu, le premier installé donc, fit un signe du pouce à un autre zombi et hurla dans son micro quelque chose que Garmyr avait comprit ainsi.
- Oui Ale Gogol Boldello !
- Spoiler:
- We are Gogol Bordello !!
Et c'est ainsi qu'ils commença à y avoir des sons que Garmyr n'avait jamais entendu et qui étaient amplifiés dans toute la ville. Un groupe de Zombies cessa même de courir pour aller festoyer avec eux.
Click sur le spoiler please.
- Spoiler:
- La version qui sera utilisé dans le topic, ce qui se passe dans cette vidéos se passe dans le topic.
Là je mets une version studio pour que vous puissiez l'écouter dans le cadre non-live.
La situation partait totalement en vrille ce qui arracha à Garmyr une expression mécontente teintée de lassitude, avec un léger brin d'excitation. (Essai de le faire 8D) Au moment où Garmyr allait s'élancer pour aider son meilleur amis, le roi de Rhadamantes l'appela au secours. La situation était fichtrement désespérée. la musique avait interpellé Garmyr il avait une impression de déjà vu. Bref. Il prit une secondes pour réfléchir à la marche à suivre puis il lâcha.
- J'ai un plan Fridya, je sais pas si ça va te plaire, mais en tout cas, j'espère que tu me fais confiance.
Garmyr s'élança vers Deus, il empoigna Brenya et faucha de son bras gauche les zombies qui étaient sur sa route. Il approchait du roi. Les zombies étaient increvables, il rattachait leurs membres amputés et reprenaient la chasse de plus belle. Garmyr arriva finalement à la portée du roi. Il lui lâcha Brenya dans la main.
- Tâchez de lui faire honneur et je comptes bien la récupérer, suivez moi !
Sans tambours ni trombones, Garmyr se retourna empoigna Fridya qui prit une forme de lourde épée à deux mains, et avança vers la place, son objectif, rattraper Sorga et le sauver. Il partit en courant vers la place, la population de Zombies était rameutée des quatres coins de la ville mais bon nombre n'avait cure des trois mortels qui parcouraient la rue, il étaient tous omnibilés par la musique. La place principale devin très vite bondée de monde. Garmyr rebondit sur un mur et remaqua que la foule était tellement compact, qu'il pourrait surement marcher dessu. Il prit élan sur un mur, et commença à crapahuter sur la foule. Un sourire illumina son visage.
- Bah comme ça c'est déjà plus facile !
Comme si on l'avait entendu et voulut lui faire avoir tort, il trébucha sur une racine... Oui une racine. Un de ces idiots de zombies avait une vigne qui lui poussait sur le corps et il avait une épaisse racine qui lui servait de cheveux. Il tomba à plat dos sur la foule qui les bras en l'air en criant de joie. L'incompréhension se lisait sur le visage de Garmyr. Il haussa les épaules et tenta un truc.
- Par là !!
La foule sembla l'écouter et le fit aller sans qu'il ne fasse rien vers Sorga. Au bout d'un moment il arriva en bord de foule où il se fit jeter comme un mal propre, heureusement il était agile. Il atterit sur ses pieds et reprit sa course vers la horde qui talonnait son amis. Il n'y arriverait pas assez vite. Il posa sa mains sur sa faux. Quelques secondes plus tard il avait rattrapé Sorga, d'un coup de faux, il balaya le plus gros de la troupe. La musique le galvanisait. Elle lui donnait une énergie et un folie qu'il n'avait que lorsqu'il était très bourré. Il s'amusait comme un dingue à cette fête macabre. Il se retourna vers Sorga et dit une dernière chose à Fridya.
- Soit gentille avec lui s'il te plait.
Garmyr serra le poing sur le manche, posa ses phalanges sur le torse de Sorga, et la lâcha dans ses mains.
- Je pense que comme j'ai une confiance aveugle en toi, elle devrait être sage. Maintenant, cours te réfugier sur un toit, où bats toi avec moi. Il faut se rapprocher de la grand place voir ce qu'il s'y trâme, j'ai la sensation que c'est par la bas qu'il faut aller.
Garmyr empoigna la faux dans ses deux mains et refaucha les zombies fraichement relevés. Juste à ce moment là, il débordait d'adrénaline et se surprit à chanter en coeur avec le groupe et la foule.
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Fall awake on my knees, summon the strenght... Of MAYHEM!
I AM THE STORM THAT IS APPROACHING!
PROVOKING, BLACK CLOUDS AND ISOLATION!
I AM RECLAIMER OF MY NAME,
BORN IN FLAMES, I HAVE BEEN BLESSED
MY FAMILY CREST IS A DEMON OF DEATH
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Re: [Archivé] Artgard, la cité perdu. [Pv: Deux, Sorga, Maeko]
Lun 24 Déc 2012 - 0:10
Garmyr, soudain, fut à côté de lui, tandis qu'une cacophonie se mettait à résonner dans la ville entière, et que les morts-vivants grognaient et râlaient en cœur, de plus en plus nombreux...
A cet instant, Sorga commençait vraiment à paniquer. Il comprenait de moins en moins ce qui se passait autour, et se demandait sérieusement ce qu'il faisait là.
Avant qu'il puisse dire ou faire quoi que ce soit, le métamorphe lui plaqua Fridya - la lame glacée - contre la poitrine. L'arme enchantée coula comme de l'eau d'elle-même et vint former une masse mouvante au bout de son bras droit.
Une masse informe, mouvante, comme si elle hésitait sur la marche à suivre... et surtout : une masse GLACEE !
L'homme-lézard avait l'impression que le sang de son bras gelait littéralement dans ses veines, et qu'il ne tarderait pas à geler le reste de son corps en remontant par vagues glacées jusqu'à son cœur. Même ses écailles semblaient crisser et se contracter face à l'assaut de ce froid.
Par réflexe - et parce qu'il paniquait de plus en plus - Sorga se mit à secouer le bras dans tous les sens pour essayer de déloger Fridya.
Sentant les pensées confuses de son hôte temporaire, la lame s'adapta en conséquence et suivit le mouvement chaotique : devenant tantôt un fouet tranchant, tantôt une masse, tantôt une lame, elle changeait de forme à chaque mouvement de bras de l'homme-lézard, allant faucher ici un bras, ici fracasser une tête de mort-vivant...
Sorga, tout à sa lutte contre le froid qui lui dévorait le bras, se mit à suivre Garmyr.
Il espérait que quelqu'un allait lui enlever Fridya des mains, avant de risquer de perdre un bras !
A cet instant, Sorga commençait vraiment à paniquer. Il comprenait de moins en moins ce qui se passait autour, et se demandait sérieusement ce qu'il faisait là.
Avant qu'il puisse dire ou faire quoi que ce soit, le métamorphe lui plaqua Fridya - la lame glacée - contre la poitrine. L'arme enchantée coula comme de l'eau d'elle-même et vint former une masse mouvante au bout de son bras droit.
Une masse informe, mouvante, comme si elle hésitait sur la marche à suivre... et surtout : une masse GLACEE !
L'homme-lézard avait l'impression que le sang de son bras gelait littéralement dans ses veines, et qu'il ne tarderait pas à geler le reste de son corps en remontant par vagues glacées jusqu'à son cœur. Même ses écailles semblaient crisser et se contracter face à l'assaut de ce froid.
Par réflexe - et parce qu'il paniquait de plus en plus - Sorga se mit à secouer le bras dans tous les sens pour essayer de déloger Fridya.
Sentant les pensées confuses de son hôte temporaire, la lame s'adapta en conséquence et suivit le mouvement chaotique : devenant tantôt un fouet tranchant, tantôt une masse, tantôt une lame, elle changeait de forme à chaque mouvement de bras de l'homme-lézard, allant faucher ici un bras, ici fracasser une tête de mort-vivant...
Sorga, tout à sa lutte contre le froid qui lui dévorait le bras, se mit à suivre Garmyr.
Il espérait que quelqu'un allait lui enlever Fridya des mains, avant de risquer de perdre un bras !
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Qui pourrait incinérer même le ciel pour défendre l'être aimé.
Ne laissant que des cendres.
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Re: [Archivé] Artgard, la cité perdu. [Pv: Deux, Sorga, Maeko]
Lun 24 Déc 2012 - 19:32
Les morts-vivants sortaient de partout, des maisons, des poubelles, des étals en levant les bras quand des notes étaient jouées et résonnaient à travers toute la ville, ils criaient même parfois, projetant des hurlements rauques et des jets de pourritures mêlées à de la salive alors que Deus courraient au milieu de la rue, toujours poursuivi. Au final cette ambiance était plutôt particulière mais pas désagréable bien que dangereuse.
Il arriva juste à temps sur la place où se déroulait le concert chaotique pour voir Garmyr être porté par des zombies, un bain de foule ! Un rêve de gamin !
Il récupéra une hache de son ami, quelle arme non seyante pour un roi !
-Je veux la même chose !
Deus accéléra et se jeta lui aussi dans la foule de zombie ! La première chose qu'il rencontra fut un poing en décomposition en plein pif dans la musique ambiante, il fut ensuite porté et jeté comme l'avait été son prédécesseur, au détail près que lui il ne se rattrapa agilement, il s'étala lamentablement.
A partir de ce moment là il se promit d'avoir sa vengeance sur ces stupides cadavres ambulants. Il se jura qu'un jour il se débarrasserait d'eux ! Mais il n'avait malheureusement toujours pas d'arme correcte et maniable. Il aperçut Garmyr de nouveau, l'ayant complètement laissé tombé, il courrait avec l'homme lézard sorti de nul part vers un endroit encore inconnu du roi. Il les rattrapa à la vitesse d'un TGV ce qui ne fut pas trop dur étant donné le sillage de morts non vivants qu'ils laissaient derrière eux et qui lui faisait une allée toute droite vers eux.
Le pauvre lézard semblait d'ailleurs se débattre avec sa propre arme le pauvre ... Nul doute que Deus aurait put s'en servir au moins une dizaine de fois mieux que lui ! Voir beaucoup beaucoup beaucoup beaucoup beaucoup plus ! Alors il passa sous un coup de fouet de glace assez dangereux puisqu'il décapita un zombie, attrapa l'engin, posa Brenya à la place, fit un signe de tête au gentil Sorga et repartit avec.
- Merci !
Maintenant gare à vous vils ennemis car voici le grand Roi de Rhadamanthe armé d'un machin froid assez particulier qui lui permettrait de tous vous détruire et qui prend maintenant la forme d'un Bâton !
Un bâton ? Pourquoi un bâton ? Est-ce que ce truc insinuait que les pensées de Deus n'étaient pas plus développées qu'un bâton ? Quelle arme pourrie sérieusement ! Et puis ce zombie qui s'approche par là fait peine à voir avec sa jambe en moins !
Le zombie en question mis sa main dans la figure de Deus et s'accrocha à ses cheveux à la façon d'une groupie enragée
- Pas le visage ! Pitié pas le visage !
Il envoya sa main tenant le bâton pour se débarrasser du mort-vivant fan de roi du mal et l'arme prit la forme d'une fine rapière qui traversa comme du beurre le corps déjà abîmé. Cette arme lui plaisait déjà nettement plus, il envoya voler le haut du corps d'un coup de pied et transperça un autre zombie arrivant à quatorze heures.
Dansant presque au milieu des ennemis il commença à s'escrimer au milieu d'eux, coupant et envoyant voler les corps par sa maitrise de cette arme, la seule qu'il savait manier du fait de son éducation noble. Un coup de pommeau par ci, un découpage par là, ça faisait un moment qu'il ne s'était pas un peu fait plaisir en maniant l'épée.
Il se rendit compte qu'il était d'ailleurs proche de Garmyr.
-Hey on va où au fait ?
Il arriva juste à temps sur la place où se déroulait le concert chaotique pour voir Garmyr être porté par des zombies, un bain de foule ! Un rêve de gamin !
Il récupéra une hache de son ami, quelle arme non seyante pour un roi !
-Je veux la même chose !
Deus accéléra et se jeta lui aussi dans la foule de zombie ! La première chose qu'il rencontra fut un poing en décomposition en plein pif dans la musique ambiante, il fut ensuite porté et jeté comme l'avait été son prédécesseur, au détail près que lui il ne se rattrapa agilement, il s'étala lamentablement.
A partir de ce moment là il se promit d'avoir sa vengeance sur ces stupides cadavres ambulants. Il se jura qu'un jour il se débarrasserait d'eux ! Mais il n'avait malheureusement toujours pas d'arme correcte et maniable. Il aperçut Garmyr de nouveau, l'ayant complètement laissé tombé, il courrait avec l'homme lézard sorti de nul part vers un endroit encore inconnu du roi. Il les rattrapa à la vitesse d'un TGV ce qui ne fut pas trop dur étant donné le sillage de morts non vivants qu'ils laissaient derrière eux et qui lui faisait une allée toute droite vers eux.
Le pauvre lézard semblait d'ailleurs se débattre avec sa propre arme le pauvre ... Nul doute que Deus aurait put s'en servir au moins une dizaine de fois mieux que lui ! Voir beaucoup beaucoup beaucoup beaucoup beaucoup plus ! Alors il passa sous un coup de fouet de glace assez dangereux puisqu'il décapita un zombie, attrapa l'engin, posa Brenya à la place, fit un signe de tête au gentil Sorga et repartit avec.
- Merci !
Maintenant gare à vous vils ennemis car voici le grand Roi de Rhadamanthe armé d'un machin froid assez particulier qui lui permettrait de tous vous détruire et qui prend maintenant la forme d'un Bâton !
Un bâton ? Pourquoi un bâton ? Est-ce que ce truc insinuait que les pensées de Deus n'étaient pas plus développées qu'un bâton ? Quelle arme pourrie sérieusement ! Et puis ce zombie qui s'approche par là fait peine à voir avec sa jambe en moins !
Le zombie en question mis sa main dans la figure de Deus et s'accrocha à ses cheveux à la façon d'une groupie enragée
- Pas le visage ! Pitié pas le visage !
Il envoya sa main tenant le bâton pour se débarrasser du mort-vivant fan de roi du mal et l'arme prit la forme d'une fine rapière qui traversa comme du beurre le corps déjà abîmé. Cette arme lui plaisait déjà nettement plus, il envoya voler le haut du corps d'un coup de pied et transperça un autre zombie arrivant à quatorze heures.
Dansant presque au milieu des ennemis il commença à s'escrimer au milieu d'eux, coupant et envoyant voler les corps par sa maitrise de cette arme, la seule qu'il savait manier du fait de son éducation noble. Un coup de pommeau par ci, un découpage par là, ça faisait un moment qu'il ne s'était pas un peu fait plaisir en maniant l'épée.
Il se rendit compte qu'il était d'ailleurs proche de Garmyr.
-Hey on va où au fait ?
- GarmyrMinosien.ne
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Re: [Archivé] Artgard, la cité perdu. [Pv: Deux, Sorga, Maeko]
Sam 26 Jan 2013 - 0:26
A chaque fauchage de Garmyr, il se sentait de plus en plus excité, l'adrénaline montait en flèche dans son corps. Mais ça paraissait bizarre pour Garmyr, il avait l'impression que ça n'était pas un sentiment à lui. Il reprit un instant de calme lorsqu'il remarqua que Deus venait de prendre Fridya à Sorga... Elle ne lui avait pas gelé le bras et semblait avec pris une forme fixe. Décidément ce nouveau roi était vraiment surprenant. Sorga avait pour le coup Brenya. Il remarqua que le monarque se trouvait près de lui, lorsqu'il lui demanda où ils allaient.
- Tout droit, vers la plus grosse maison!
Garmyr se stoppa quand même pour féliciter le roi.
- Fridya sembles vous apprécier, ça prouves que vous êtes une personne de valeur! Je suis fier d'être là avec vous deux !
Conclut-il dans un rugissement. Il jeta un oeil ensuite à Sorga.
- Tu la lance en regardant ta cible, elle fera le reste! Sinon, tu tranche à vue sans la lâcher.
Garmyr reprit la tête de la course et tout trois fauchaient tout ce qui se trouvait devant eux avec plus ou moins d'aisance. Lorsqu'il arrivèrent vers la fausse, ils furent vite submergés par les zombies de la fausse. Si bien qu'ils furent rembarrés jusqu'à la première avenue. Un zombie d'une taille imposante se trouvait devant le bâtiment que Garmyr avait choisis pour être l'auberge de Mjöll. Il semblait s'en rapprocher peu à peu. Garmyr observa son environnement. Oh un bloc. Garmyr couru vers celui-ci le souleva et le lança sur le dit zombie. Il reç le bloc qui le transforma instantanément en une grosse tache rouge de sang.
- Au moins cet affreux là ne reviendra pas.
Les zombies de l'allée commencèrent à se recoller les membres un peu n'importe comment.
- Bon, il faut qu'on fasse sortir le type qui a reçu le maléfice. Donc à vos guise les amis, il faut qu'on lèbère la place, ce qui devrait être simple vu qu'ils sont tous dans la musique.
Une seule et dernière chose ne sortit de la bouche de Garmyr avant qu'il ne parte à la charge devant les deux autres.
- GHIHI !
- Tout droit, vers la plus grosse maison!
Garmyr se stoppa quand même pour féliciter le roi.
- Fridya sembles vous apprécier, ça prouves que vous êtes une personne de valeur! Je suis fier d'être là avec vous deux !
Conclut-il dans un rugissement. Il jeta un oeil ensuite à Sorga.
- Tu la lance en regardant ta cible, elle fera le reste! Sinon, tu tranche à vue sans la lâcher.
Garmyr reprit la tête de la course et tout trois fauchaient tout ce qui se trouvait devant eux avec plus ou moins d'aisance. Lorsqu'il arrivèrent vers la fausse, ils furent vite submergés par les zombies de la fausse. Si bien qu'ils furent rembarrés jusqu'à la première avenue. Un zombie d'une taille imposante se trouvait devant le bâtiment que Garmyr avait choisis pour être l'auberge de Mjöll. Il semblait s'en rapprocher peu à peu. Garmyr observa son environnement. Oh un bloc. Garmyr couru vers celui-ci le souleva et le lança sur le dit zombie. Il reç le bloc qui le transforma instantanément en une grosse tache rouge de sang.
- Au moins cet affreux là ne reviendra pas.
Les zombies de l'allée commencèrent à se recoller les membres un peu n'importe comment.
- Bon, il faut qu'on fasse sortir le type qui a reçu le maléfice. Donc à vos guise les amis, il faut qu'on lèbère la place, ce qui devrait être simple vu qu'ils sont tous dans la musique.
Une seule et dernière chose ne sortit de la bouche de Garmyr avant qu'il ne parte à la charge devant les deux autres.
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Immoral Temtations takes over my mind, condemned.
Fall awake on my knees, summon the strenght... Of MAYHEM!
I AM THE STORM THAT IS APPROACHING!
PROVOKING, BLACK CLOUDS AND ISOLATION!
I AM RECLAIMER OF MY NAME,
BORN IN FLAMES, I HAVE BEEN BLESSED
MY FAMILY CREST IS A DEMON OF DEATH
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Votre personnage et ses relations
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Re: [Archivé] Artgard, la cité perdu. [Pv: Deux, Sorga, Maeko]
Lun 25 Fév 2013 - 17:23
Lorsque la masse glacée de Fridya quitta son bras pour aller se poser sur celui de Deus Wise, Sorga ne cacha pas son soulagement.
Il frictionna son bras pour tenter de le réchauffer un peu, puis le jeune roi lui mit Brenya dans les bras.
Pendant une seconde, l'homme-lézard observa la hache, se demandant quoi faire avec.
Il était vraiment dépassé par les événements en fait, et se contentait de suivre le métamorphe au milieu de la foule de morts-vivants.
L'un des zombies, oubliant un temps la cacophonie qui passait pour de la musique dans le coin, tendit une main décharnée dans sa direction. Sorga répondit à l'invitation au câlin par un coup de hache lancé à la va-vite. Le tranchant de l'arme traversa le bras comme du beurre mais, peu habitué au maniement d'une lame lourde, Sorga n'arriva pas à stopper son bras et Brenya termina sa course dans le crâne du zombie d'à côté qui n'avait pourtant rien demandé.
Il fallut plusieurs secondes à Sorga et pas mal de mouvements de va-et-vient pour libérer la hache de la tête de ce mort-vivant et, lorsqu'il y parvint enfin et qu'il se redressa, il s'aperçut qu'il était seul, entouré par une horde de morts qui peu à peu se tournaient vers lui. Deus et Garmyr étaient déjà une trentaine de mètres, progressant à coup de faux et de rapière au milieu de la place.
L'homme-lézard paniqua définitivement.
Ses écailles virèrent au gris, comme s'il tentait de se confondre avec les pierres. Son coeur battant la chamade, il frappa autour de lui pour écarter les mains décharnées qui tentaient de l'attraper. Une brèche s'ouvrit dans la foule compacte, et il se précipita dedans. Bien vite, il se retrouva face au mur du bâtiment le plus proche.
Désirant pour l'instant rien d'autre que s'éloigner le plus possible des morts-vivants, il se mit à escalader la pierre. Comme le gros lézard qu'il était, il s'immobilisa une fois sur le toit, en position presque allongée, reprenant son souffle et ses yeux observant avec nervosité les environs.
Il frictionna son bras pour tenter de le réchauffer un peu, puis le jeune roi lui mit Brenya dans les bras.
Pendant une seconde, l'homme-lézard observa la hache, se demandant quoi faire avec.
Il était vraiment dépassé par les événements en fait, et se contentait de suivre le métamorphe au milieu de la foule de morts-vivants.
L'un des zombies, oubliant un temps la cacophonie qui passait pour de la musique dans le coin, tendit une main décharnée dans sa direction. Sorga répondit à l'invitation au câlin par un coup de hache lancé à la va-vite. Le tranchant de l'arme traversa le bras comme du beurre mais, peu habitué au maniement d'une lame lourde, Sorga n'arriva pas à stopper son bras et Brenya termina sa course dans le crâne du zombie d'à côté qui n'avait pourtant rien demandé.
Il fallut plusieurs secondes à Sorga et pas mal de mouvements de va-et-vient pour libérer la hache de la tête de ce mort-vivant et, lorsqu'il y parvint enfin et qu'il se redressa, il s'aperçut qu'il était seul, entouré par une horde de morts qui peu à peu se tournaient vers lui. Deus et Garmyr étaient déjà une trentaine de mètres, progressant à coup de faux et de rapière au milieu de la place.
L'homme-lézard paniqua définitivement.
Ses écailles virèrent au gris, comme s'il tentait de se confondre avec les pierres. Son coeur battant la chamade, il frappa autour de lui pour écarter les mains décharnées qui tentaient de l'attraper. Une brèche s'ouvrit dans la foule compacte, et il se précipita dedans. Bien vite, il se retrouva face au mur du bâtiment le plus proche.
Désirant pour l'instant rien d'autre que s'éloigner le plus possible des morts-vivants, il se mit à escalader la pierre. Comme le gros lézard qu'il était, il s'immobilisa une fois sur le toit, en position presque allongée, reprenant son souffle et ses yeux observant avec nervosité les environs.
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Le désir de protéger est comme une flamme.
Qui réchauffe l'âme en temps de paix.
Qui s'embrase à la moindre menace.
Qui pourrait incinérer même le ciel pour défendre l'être aimé.
Ne laissant que des cendres.
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Re: [Archivé] Artgard, la cité perdu. [Pv: Deux, Sorga, Maeko]
Lun 20 Mai 2013 - 13:22
Alors il fallait libérer la place pour faire sortir un maudit et s'en occuper, tous ces pauvres zombies qui allaient mourir une deuxieme fois, c'est pas chouette de mourir déjà rien qu'une alors deux ! Deus avait commencé à rouiller dans le maniement de l'épée, le noble art ne lui revenait pas aussi facilement que quand il s'entraînait avec les professeurs du palais de Minos et ses réflexes sentaient le renfermé, il devrait se débrouiller à Rhadamanthe pour se faire importer un professeur ou alors s'occuper peut-être de faire venir des gens des rues pour s'y remettre un peu.
Pendant qu'il pensait tout cela il découpait quelques morts-vivants, l'un s'accrocha à sa botte, il lui décocha un coup de pied dans la mâchoire, heureusement que leurs réflexes à eux non plus n'étaient pas très développées, ils émettaient des gargouillis quand on leur écrasait la tête comme ça, enfin, le roi était un adepte des solutions de facilité où il ne devrait pas trop se salir les mains, il s'ouvrit doucement une brèche à travers l'armée dans laquelle il nageait pour e poster plus loin, il tourna sur lui même, cherchant du regard un endroit sûr et correct, il escalada un mur couvert de lierre duquel il faillit tomber pendant qu'en bas, Garmyr continuait à détruire et détruire encore et encore ces choses qui se baladaient en ville.
Une fois sur le toit de l'habitation escaladée, Deus concentra les flux magiques de la lumière qu'il pouvait capter autour de sa main, dans sa main , il sentit comme à son habitude les photons s'y rassembler, et remuer de plus en plus vite, bloqués par sa magie, sans pouvoir s'échapper, il pouvait en relâcher assez pour que le jet de lumière découpe une cible, il continua à les emmagasiner, faisant attention de ne pas faire venir trop de magie, il n'était pas un expert de la magie non plus, juste un peu touche à tout. Mais avec un seul rayon il ne ferait pas un si bon travail, alors il eut une bonne idée, une vraie pour une fois !
Il fit passer Frydia dans sa main dans la quelle il chargeait sa magie et laissa partir le laser qui se propagea dans la glace, déviant, diffractant, interférant, la glace eu un effet prismatique et le rayon d'exécution partit en formant des raies sur une grandes surfaces comme des lames de lumière destructrices
- Garmyr ! Esquive !
Pendant qu'il pensait tout cela il découpait quelques morts-vivants, l'un s'accrocha à sa botte, il lui décocha un coup de pied dans la mâchoire, heureusement que leurs réflexes à eux non plus n'étaient pas très développées, ils émettaient des gargouillis quand on leur écrasait la tête comme ça, enfin, le roi était un adepte des solutions de facilité où il ne devrait pas trop se salir les mains, il s'ouvrit doucement une brèche à travers l'armée dans laquelle il nageait pour e poster plus loin, il tourna sur lui même, cherchant du regard un endroit sûr et correct, il escalada un mur couvert de lierre duquel il faillit tomber pendant qu'en bas, Garmyr continuait à détruire et détruire encore et encore ces choses qui se baladaient en ville.
Une fois sur le toit de l'habitation escaladée, Deus concentra les flux magiques de la lumière qu'il pouvait capter autour de sa main, dans sa main , il sentit comme à son habitude les photons s'y rassembler, et remuer de plus en plus vite, bloqués par sa magie, sans pouvoir s'échapper, il pouvait en relâcher assez pour que le jet de lumière découpe une cible, il continua à les emmagasiner, faisant attention de ne pas faire venir trop de magie, il n'était pas un expert de la magie non plus, juste un peu touche à tout. Mais avec un seul rayon il ne ferait pas un si bon travail, alors il eut une bonne idée, une vraie pour une fois !
Il fit passer Frydia dans sa main dans la quelle il chargeait sa magie et laissa partir le laser qui se propagea dans la glace, déviant, diffractant, interférant, la glace eu un effet prismatique et le rayon d'exécution partit en formant des raies sur une grandes surfaces comme des lames de lumière destructrices
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