[Archivé] Perdue pour perdue autant se perdre un peu plus encore ! [libre]

Odéline en découvrait un peu tous les jours. Siffroy l’hébergeait toujours en râlant un peu, mais elle, elle l’aimait bien et ne voulait pas partir ; Elle sortait souvent dans la ville lorsqu’il était absent. Mais aujourd’hui, il avait quelque chose à faire à Thésée, sur Eaque, et avait emmené la jeune fille avec lui, sous prétexte qu’il ne lui faisait pas confiance si elle restait seule là-bas, sur Minos. Du coup, elle était allée avec lui, s’émerveillant de tout ce qui tombait sous ses grands yeux bleus pâle. Puis, il lui avait demandé de l’attendre sur un banc, ce qu’elle avait fait un moment. Mais elle avait fini par s’ennuyer, à regarder les oiseaux, à vouloir les rejoindre, à se demander ce qu’il y avait derrière les nuages, question à laquelle sa science infuse ne semblait pas décidée à répondre. Alors, elle s’en était allée au hasard dans les rues. C'est en remettant le nez vers le sol qu'elle s'était rendue compte qu'elle s'était perdue.

*Zut.*

Elle poussa un soupir, et continua à s'enfoncer dans les ruelles. De toute façon, perdue pour perdue ... autant se perdre un peu plus, peut-être finirait-elle par retomber là où Siffroy l'avait laissée ! C'est alors qu'elle bouscula quelqu'un sans le vouloir et qu'elle vacilla, avant se perdre complètement l'équilibre et se retrouver les fesses par terre, dans une rue somme toute assez ensoléillée et fréquentée.

- ET NE REVIENS JAMAIS !


Me poussant sauvagement dehors, l'aubergiste ne prend même pas la peine de voir ce que je deviens et claqua violemment la porte de son établissement. J'étais tombée face contre terre et de tout mon long. J'étais tellement ivre, que je n'arrivais plus à soulever la tête, alors soulever tout mon corps ! Il le fallait bien pourtant !


Bandant tout les muscle de mon corps, je me fis force pour me relevé. Les passants, qui ont tous des jumeaux (drôle de ville !), me regardaient d'un oeil soit amusés, soit indignés. Oui, parce que je suis une femme bla bla bla... Après un moment j'arrive à me cramponné sur mes pieds, et commence à aligner un pied devant l'autre. Génial ! Mais à peine ai-je fait deux pas que j'ai eu des envies de relent. Me tenant cotre une porte, je me vide de tout liquide et du peu de solide qui me remplissait l'estomac. Ayant fini, je redresse la tête, en souriant, soulagée, pour voir l'enseigne de l'auberge que je venais de quitter... Ou d'être virer, c'est pareil. Soudain, je repris toute mes capacités et surtout celle de courir.


Trois cent mètres plus loin, je m'arrêtais à bout de souffle et aussi parce que j'étais pas loin de redonné un paquet. Je pris une grande inspiration et commença à marcher. Je titubais un peu mais les gens dehors marchaient tout aussi droit que moi ! Ahah ! Ils se moquaient mais ils ne sont pas mieux !


Puis d'un coup je me pris quelque chose à l'épaule qui me fis tanguer dangereusement, mais je tiens toujours. Héhé ! Je me retourne, un peu trop vite, et regarde l'objet non-identifié qui voulait mourir. Ne trouvant personne, je jetai un coup d'oeil par terre pour y trouver une petite fille, sur les fesses qui me regardait avec de grand yeux... Euh... Bleu, je crois. Sortit de mon hébétitude, je la regardais avec toute la colère qui pouvait en sortir malgré mon euphorie.


- Tu ne peux pas faire un peux attention, non ? grondais-je. Et ne me regarde pas comme ça, tu me fous la trouille !

La personne était une grande femme qui sentait l’alcool et une autre odeur, assez âcre qui soulevait le cœur d’Odéline. Elle l’apostropha avec colère, vivement, ce qui eut pour simple effet d’agrandir plus encore les yeux déjà immenses de la jeune fille. Elle était u peu étonnée, plus qu’effrayée en fait, par cette femme. Et puis quelle odeur franchement ! Odéine hocha rapidement la tête, avant de reculer pour sortir du champ d’infection, et de e relever. Déjà, elle se sentait un peu moins inférieure.

*Mais que lui arrive-t-il ?
Elle est ivre. L’ivresse est l’état dans lequel on se trouve lorsque l’on a absorbé trop d’alcool. Ceci trouble alors nos capacités. Seul le repos peut permettre de purger le corps de l’alcool.*

Odéline cligna des yeux.

- Je suis désolée madame.

Elle aurait bien ajouté que c’était la femme qui l’avait bousculée et donc elle qui devait faire attention, mais, de peur de se faire vertement réprimander de nouveau, voire pire, poussée par un instinct qu’elle ne se connaissait pas, elle préféra lui sourire.

- Dites, madame, vous savez où nous sommes ?

Son air candide montrait sa bonne volonté et sa gentillesse : tout ce qu’elle voulait, c’était retrouver son chemin. Restait à avoir commet la femme, grise, allait interpréter ces paroles.

Elle me regarda avec ces grands yeux, qui s'écarquillèrent encore plus alors que je n'aurais pas pensé cela possible, non pas de peur comme je m'y attendais, mais d'étonnement. Son nez se fronça, elle acquiesça vivement puis recula rapidement sur les fesses. Un rictus de dégoût déforma son visage qui était assez joli d'ailleurs (sale peste !). Elle se releva lentement et me toisa timidement avec un air curieux. Une petite lueur dans ses prunelles avaient quelque chose de... Savant. C'est inexplicable mais c'est comme si elle se posait des questions et qu'elle obtenait les réponses toute seule, sans aucune aide. Je me fait des idées, j'ai vraiment trop bu !

- Je suis désolée madame.

Madame ? Elle cherche vraiment à m'énerver celle-là ! Mais ce n'est qu'une gamine simplette et je ne tape pas les déficients mentaux. Question d'honneur. Son sourire me confirma son état mental.

- Dites, madame, vous savez où nous sommes ?

- Arrête de m'appeler "madame" ! J'ai pas cinquante piges ! Et vois-tu, je n'en sais rien. Je ne sais même pas comment s'appelle cette ville, alors l'endroit exacte d'où nous sommes... Je marche droit devant moi et vois ce qu'il me tombe dessus.

Je regarde derrière moi, je ne sais pas pour quoi, et mes yeux tomba sur le ciel bleu où le soleil me brûlait les yeux. Mes membres sont tout engourdis et une irrépressible en vie de dormir se pointa. Où allais-je dormir encore ? Je n'aime pas la compagnie des gens sobres, ils sont trop sérieux. Et où trouve-t-on des gentilshommes pleins de vie ? Dans les tavernes ! Ces même tavernes où les accès m'y sont interdit. J'ai eu le temps en deux jours de faire toutes les auberges. Je les ai vraiment tous fait même les plus ignobles donc je ne vous raconte même pas l'hygiène, mais même là ils m'ont viré. Donc plus de bibi jusqu'à la nouvelle ville.

Je soupire en y pensant. J'aurais même envie de pleurer. Ce que je fis.

- J'en ai marre de cette ville ! Je ne peux même pas boire tranquille, tout le monde me jette ! Ce n'est pas ma faute si je n'ai pas d'argent, je ne demande que la charité, d'avoir quelque chose à boire ! Mais les gens ici sont égoïstes ! Oui, parfaitement monsieur ! Dis-je à un passant qui me regardait avec un oeil désapprobateur.

- J'en ai marre de cette ville ! Je ne peux même pas boire tranquille, tout le monde me jette ! Ce n'est pas ma faute si je n'ai pas d'argent, je ne demande que la charité, d'avoir quelque chose à boire ! Mais les gens ici sont égoïstes ! Oui, parfaitement monsieur !
Qui est t'elle pour me parler comme ça, en plus je peux sentir l'odeur de l'ivresse jusqu'ici, ca me dégoute, pourquoi les personnes qui pourrait profiter de la vie finisse comme ça ? hein ? c'est patétique, il ne savent pas la chance qu'il ont. alors pourquoi hein ? pourquoi cet enervement gratuit, surment dus a son ivresse, que faire ? l'ignorer et passer mon chemin ? ou devrais-je répondre ?
Quel être pathétique. ca me dégoute.

L'égoïste c'est vous, Vous apeller ca demander la charité ? vivre au dépend des autres dans le but de boire et de boire jusqu'a une ivresse qui frôle le délire ? Regarder-vous pleine de vie, et vous êtes la, ivre, vous tener a peine debout et ne controller pas vous parole, vous me dégouter sincèrement

Qui est cet enfant ? Jeune et pourtant confrontée a un être vivant qui ce comporte comme de la misère, semblable au mien. Je ne sait pas ce que je devrait faire. Dit Darius, je fait quoi la ? Je n'est même pas envie de me nourrir sur elle Laisse moi faire

Et voila en plus que vous hurler sur un enfant, vous êtes vraiment un être méprisable, et si vous n'ètes pas bien ici, parter donc! S'adressant a la petite fille Jeune enfant, cet être misérable vous importune-il ? moi oui en tout cas, Puis-je vous aider ? j'ai cru comprendre que vous êtes perdu non ? si je peux vous aider, laisser le moi savoir, sinon je vous conseiller de vous éloigner de cet forme de vie primaire et imbibée d'alcool

Il soutient mon regard d'un air à la fois affligé et méprisant.

- L'égoïste c'est vous, Vous appelez ça demander la charité ? vivre au dépend des autres dans le but de boire et de boire jusqu'à une ivresse qui frôle le délire ? Regarder-vous pleine de vie, et vous êtes la, ivre, vous tenez a peine debout et ne contrôlez pas vous parole, vous me dégoûtez sincèrement

Non mais il est fou de me parler comme ça ? Plutôt suicidaire, en fait. Et en plus, je rêve ou il me fait la morale sur la "joie de vivre" ? C'est sûr qu'à côté de lui, je respire le bonheur à plein nez !

Il s'avança d'une démarche souple, lente. Il a quelque chose de félin en lui... Il se détourna magistralement de moi pour faire face à la petite blonde, qu'il transperça de ces yeux sanglant. Je me rends compte que je ne suis plus ivre mais totalement en alerte. Une des rares qualités chez moi, je suis un vrai détecteur à danger : dès que je le ressens... On va dire que je deviens une personne potentiellement douée d'une épée.

Ses sourcils se fronça d'un air soucieux. Il s'adressa à moi.

- Et voila en plus que vous hurlez sur un enfant, vous êtes vraiment un être méprisable, et si vous n'êtes pas bien ici, partez donc! S'adressant a la petite fille. Jeune enfant, cet être misérable vous importune-t-il ? Moi oui en tout cas, Puis-je vous aider ? J'ai cru comprendre que vous êtes perdu non ? Si je peux vous aider, laissez-moi le savoir, sinon je vous conseille de vous éloignez de cette forme de vie primaire et imbibée d'alcool

- HAHAHA ! Être aider par toi ? Laisse-moi rire mon minou !

Mais il m'a vraiment mise en colère. Ma main droite s'abattit sur son épaule, l'obligeant à me faire face qu'à moitié. C'est tout de même ça. Je plantai mes yeux à ces... Orbes rouges.

- "L'être misérable" peut te tuer avant même que tu es pris conscience de ta stupidité... Mais j'ai tout mon temps alors ! Ne gaspille pas ta salive et trace ta route jusqu'en enfer ! Je ne te sens pas, c'est comme si tout ton être était chargé en... Souffrance ? Non quelque chose de pire : de la désolation. Le regardant plus en détails : mais qui es-tu au juste ?

- "L'être misérable" peut te tuer avant même que tu es pris conscience de ta stupidité... Mais j'ai tout mon temps alors ! Ne gaspille pas ta salive et trace ta route jusqu'en enfer ! Je ne te sens pas, c'est comme si tout ton être était chargé en... Souffrance ? Non quelque chose de pire : de la désolation. Le regardant plus en détails : mais qui es-tu au juste ?

Plus elle ce raproche et plus elle me donne faim, c'est pas plus mal que je me nourisse et puis, ca, son comportement, je doute qu'elle puisse m'apporter quoi que ce soit d'autre, ce n'est pas une vie ca. Mais qui sait, elle pourrait m'aider peut être

Moi stupide, désabusée peut-être mais n'exagéron rien. De plus vous oser me parler de souffrence alors que vous buvait jusqu'a la déraison.

Que faire, je perd le contrôle, et je suis en Zone rouge en plus.
*lui posant la main sur une épaule après avoir dégagée ces cheveux délicatement*

Voyons, ce n'est pas de ca de vous rêver non ? Vous viser autre chose non ?
*Utilise son charme naturel*
Ne voulait vous pas venir vous désoualer un peu avant de continuer a discuter, N'effrayon pas cet enfant voyons

- Moi stupide, désabusé peut-être mais n'exagérons rien. De plus vous oser me parler de souffrance alors que vous buvait jusqu'à la déraison.

Il tendit la main vers moi et repoussa délicatement mes cheveux de mon épaule, me frôlant presque. Je frissonnai. Son expression avait changé. Son visage haineux n'était plus. Il était plus doux, plus posé, plus... Charmeur. Il posa sa main sur mon épaule et j'eus un deuxième frisson.

Voyons, ce n'est pas de ça de vous rêver non ? Vous viser autre chose non ? Ne voulait vous pas venir vous dessaouler un peu avant de continuer a discuter, N'effrayons pas cet enfant voyons.

- Je suis totalement sobre et je ne sais pas ce que tu essaie de faire exactement mais ça ne me plait pas.

Mensonge. Je n'ai vraiment pas l'habitude de mentir mais là, mon instinct me dit qu'il le faut. Le problème est que je suis bien trop attiré par lui. Moi. Antonella. Qui jamais, ô grand jamais, n'a pensé au désir et à l'amour entre deux créatures. Mais lui, il arrive à me faire imaginé des choses qui semble pas m'appartenir. Deux corps entrelacés... NOS corps entrelacés ! La texture de sa peau sous mes mains, la façon dont il me touche, ses lèvres parcourant mon cou avec un sourire en coin qui se veut charmeur et craquant. Un incendie s'allume alors au niveau de mon bas-ventre. Une violente pulsion ordonne de me jeter dans ses bras. Mais je ne peux pas, je ne dois pas ! J'ai toujours tout fait pour repousser les hommes trop avenant, et je pensais y être vacciné depuis longtemps autant eux que moi, mais apparemment pas.

- Arrête ça tout de suite ! Criais-je effrayée plus qu'en colère

Je dégage vivement mon épaule de sa main.

- Je suis totalement sobre et je ne sais pas ce que tu essaie de faire exactement mais ça ne me plait pas.
Intéressant comme réaction, je ne m'attendait pas a ça, alors c'est donc cela mon vraie pouvoir ?Je déplaît plutôt que comme les mien qui peuvent obtenir ce qu'il je veux en usant de mon charme et de geste amical. J'ai cru la sentir frisonner, elle doit être terrifier, mais j'ai tellement faim. Que faire, ce n'est pas une situation a laquel je suis habituée. J'ai beau détester les incubes eux au moins arrive a ce servir de leur nature pour progresser. Moi je n'y arrive pas, je ne suis ni un incube, ni un être libre, ironiquement drôle en soit.

- Arrête ça tout de suite !

Elle repousse ma main et parait effrayer, je devrait me montrer plus proche de ma nature qui sait, je vais tenter la diplomatie. Elle n'a pas l'air de manquer de manière et de sensibilité bien qu'elle est une grande geule. Je pence pouvoir m'en sortir, ou au moins la calmer et laisser cette petite fille hors de cette situation.

*Il s'incline*
Pardonner Milady je n'est pas voulue vous oportuné, nous somme partie d'une mauvaise base. j'essayer simplement de rassurer cette jeune fille, il ne faudrait pas qui lui arrive quoi que ce soit, elle qui est belle comme l’innocence voir presque autant que vous

*Il tend ça main*
Permetter moi de me présenter, je me nomme Risa, j'ai longtemps vécu et mes épreuve m'ont fait m'endurcir contre mon grès, je n'est jamais voulu vous déranger en soit, je vous prie de m'excuser, Puis-je savoir votre nom, oh belle dame ?
Je pourrait surement me rassasié avec ça, et puis elle n'a pas l'air si méchante que cela, dangereuse certe, mais elle n'est pas mauvaise

Après m'avoir longuement regardé, il s'incline. Chez moi c'est un signe de capitulation et de respect. Et même de soumission. Mais je ne pense pas qu'il veuille aller aussi loin. Je me calme un peu, étant redevenu maître de moi-même, mais toujours en alerte.

- Pardonner Milady je n'est pas voulu vous oportuné, nous somme partie d'une mauvaise base. j'essayer simplement de rassurer cette jeune fille, il ne faudrait pas qui lui arrive quoi que ce soit, elle qui est belle comme l’innocence voir presque autant que vous

Je fronce les sourcils. Milady ? Moi, belle ? Ça pue le piège à pigeon à un kilomètre mais je n'ai pas pu empêché mon coeur d'avoir plusieurs raté entre moult battements effrénés. Ces méthodes moyenâgeuse ne vont tout de même pas faire effet, si ? J'aurais voulu me taper la tête contre un mur en crépis ! Bon, calmons-nous. C'est vrai on est parti sur de très mauvaises bases. Mais c'est sa faute non mais ! Est-ce que j'écoute les conversation des autres moi ? Non ! Je me mêle de se qui me regarde !

Il me tendis soudainement la main.

- Permettez-moi de me présenter, je me nomme Risa, j'ai longtemps vécu et mes épreuves m'ont fait m'endurcir contre mon grès, je n'est jamais voulu vous déranger en soit, je vous prie de m'excuser, Puis-je savoir votre nom, oh belle dame ?

- Antonella. Tu te méprends sur mes intentions. Je n'ai aucunement envie de faire du mal à cette fille. Elle m'a bousculé et m'a demandé son chemin.

Un sourire moqueur se dessine naturellement sur mes lèvres.

- Maintenant, si les petite fille t'intéresse tant que ça... Mais je ne suis pas sûr que les autorités apprécieront.

- Antonella. Tu te méprends sur mes intentions. Je n'ai aucunement envie de faire du mal à cette fille. Elle m'a bousculé et m'a demandé son chemin.

Elle a pas pris aussi bien que je ne le pensait, peut-être ne suis-je pas vraiment un incube, ma merde de père n'est qu'une simple humain après tout. Bien autant ce calmer et essayer de m'adapter, et puis, je sait qu'elle attend quelque chose de moi. Sinon elle m'aurait rit au nez ou m'aurais frapper.
Il va falloir faire preuve de plus de sagesse que ce que je pensait, après tout, tout ne m'est pas dus, même pas une vie de repos après tout ce que j'ai vécu

Elle souris d'une façon mesquine, je sens que c'est pas gagné

- Maintenant, si les petite fille t'intéresse tant que ça... Mais je ne suis pas sûr que les autorités apprécieront.

Si elle veux jouer comme ça, je pense qu'elle ne pourra me tenir tête bien longtemps

*Lâche un rire presque nerveux*
Voyons, bien sur que non, je suis bien trop vieux pour elle et puis je voulait simplement l'aider, qu'y a t'il de mal a cela hein ?

Ce relève et fixe Antonella avec un sourire presque moquer

Moi quand on me demande mon chemin je ne m'énerve pas car on m'a viré d'un bar, si j'ai bien compris. Je tient a dire que je suis également trop vieux pour vous probablement, bien plus vieux que vous ne pouvait l'imaginer

*Il s'approcha de sa proie*
Sur ce, je connait des endroit pour boire ou on ne vous virera pas pour si peu, tant que vous ne tuer personne vous pourrait rester sur place, je peux même vous aider a payer vos verres si vous le shouaiter, mais tout ce paye a un moment ou a un autre.

*Il tend sa main formellement*
Cela vous convient-il ?

[pitié, attendez-moi ! x) A partir de maintenant ordre de passage ! Odéline-Antonella-Risa ou Odéline-Risa-Antonella au ptremier qui répond, mais on s'attend les uns les autres, sauf mention contraire !]

La colère de la femme ivre continua à se déverser sur elle sans explication. Oui, certes, elle avait l’air jeune mais … C’est alors qu’elle se mit à pleurer, sur un ton terriblement plaintif, se plaignant de ne plus rien pouvoir boire ce quui fit sourire la jeune fille. Elle s’apprêtait à lui poser une main sur l’ »épaule pour la rassurer, quand elle comprit que la femme ne s’était pas adressée au bon bonhomme. Grand, brun, les yeux rouges … Très séduisant, quoiqu’Odéline n’y soit pas réellement … sensible. Trop bizarre pour cela. Il s’approcha d’elle, l’enguirlanda correctement. Ce n’était pas de la charité, elle était misérable, méprisable, dégoutante, et qui plus est s’énervait conte une enfant.

*C’est … C’est moi ça ?*

Il lui proposa de l’aide contre l’autre femme, et surtout de l’aider à se repérer. Etrangement, les yeux rouges semblaient la transpercer et Elle ne se sentait pas très … rassurée. Elle n’était vraiment, vraiment, vraiment pas tombée sur les bons numéros cette fois …

*Siffroy …*

Avant qu’elle ne puisse même esquisser un geste pour répondre, la femme avait dégainé une épée, l’avait forcé à se tourner, et le mençait de mort, parlant d’enfer, de désolation de souffrance. Odéline déglutit. Le ton montait …

*Béhékine …*

C’est alors qu’elle posa une question. Qui était-il ?
Ses yeux rouges brillaient, il semblait dégager un charme naturel. Alors la voix s’activa dans l’esprit d’Odéline.

*Il est un incube. Ils sont beaux, particulièrement beaux et attirent femmes comme hommes mais ils ont une différence fondamentale avec les Succubes : Ils aiment à garder leur victime en vie, il leur volent de l'énergie sans les tuer et ainsi avoir un garde-manger esclave qui les suive partout pour se nourrir quand ils le souhaitent. Ils restent complètement imbus de leur personne en général. On notera qu'ils ne possèdent pas toujours d'ailes à l'opposé des Succubes.
Ils vivent souvent dans des châteaux abandonnés, parfois rénovés par leur propre soin, ils ne sortent en ville que pour trouver de nouvelles proies, gardant leur nourriture, ils peuvent avoir jusqu'à une quinzaine d'être envoûtés à leur botte et il leur est même arrivé dans l'histoire d'Elysion de les faire se reproduire pour récupérer plus de nourriture et d'esclaves. Tout ceci est bien sur généralité mais pas vérité générale.

- Oups. Au secours, non ? Essayons de se sortir de cette sale situation. Réfléchis Odéline, réfléchis bien. Allez petite fille, allez. Non, pas petite fille. Allez, juste !*

Sa décision fut vite prise. Elle fu malheureusement coupée dans son élan par la continuité de leur échange de civilités pas tout à fait civilisées. La femme, sobre ? Cela donnait à Odéline une sérieuse envie de rire. Ce qui ne la faisait pas rire par contre, c’étai la réaction qu’elle avait. Une sorte de fascination mâtinée de répulsion. Il enchaîna en se présentant. Risa donc … Et elle ? Antonella apparemment. Bon, chouette. Ils enchainèrent sur des sous-entendus qu’elle ne comprit pas forcément, innocente qu’ele était, avec son âge indéterminé.
Il fut u peu sec avec Antonella, avant de lui proposer d’aller boire. Ah mais non ! Ah mais non ! Elle voulait rentrer, elle, rentrer ! Elle se glissa entre les deux.

- Bonjour monsieur l’incube Risa ! Bonjour Antonnella Je m’appelle Odéline ! Je suis très contente de vous rencontrer. Et pus, je ne suis pas vraiment une enfant je crois, mais je ne suis pas sûre. Et pour répondre à votre question d’il y a longtemps avant, oui, je suis perdue. Vous savez où on est ? J’aimerais bien rentrer chez moi …

Elle ne savait plus trop que dire, mais au moins elle était entre eux … un peu coincée, certes, mais entre eux. Elle leur fit un sourire. Elle était absolument trop mignonne.

- Bonjour monsieur l’incube Risa ! Bonjour Antonnella Je m’appelle Odéline ! Je suis très contente de vous rencontrer. Et pus, je ne suis pas vraiment une enfant je crois, mais je ne suis pas sûre. Et pour répondre à votre question d’il y a longtemps avant, oui, je suis perdue. Vous savez où on est ? J’aimerais bien rentrer chez moi …

Cet enfants, ou non, aparement était une bénédiction divine, elle m'évite de me tracasser de l'autre au moins, et puis je pourrait l'aider... mais attend, d'ou elle sait que je suis un incube ? Je me démarque certes, mais en un coup d'yeux elle a sus, elle est maline et réfléchit elle au moins. Que faire, aider cet ivrogne qui a soif de boisson mais sur laquel je pourrait me nourrir, ou cet enfants qui aspire la vie? Ma décision est prise, une ivrogne ça ce trouve facilement, alors qu'un enfants perdu, et qui de plus a osé parler de ma nature ainsi. Il faut que j'aide cet enfants.

Bonjour Odéline, tu m'a l'air plein de vie et de savoir, Ici vois tu nous sommes a Thésée, mais ça je suppose que tu le savait déjà, nous sommes a quelque rue de la partie portuaire de la ville si ça peut t'aider a te repérer je me ferait un plaisir de t'y escorter. J'aimerer bien même te ramener jusqu’à chez toi mais moi je n'en connait pas autant sur toi que toi sur moi, je ne sait donc pas ou tes parent habitent

Prend instinctivement la main de la fille et reprend une posture neutre, ce tourne légèrement vers Antonella et lui lance de quoi ce payer quelque vers

Ne t'en fait pas, part et bois cette fois-ci c'est gratuit, sinon si tu as besoin de plus tu n'a qu'a me chercher, mais je te ferait me rembourser a un moment je suppose, mais je ne sait si je reviendrait sous peu en ville.

Ce que je viens de faire pourrait ce révéler utile, et puis, mieux vaut ne pas prendre trop de risque, de plus je vais pouvoir aider cet enfants, en quelque sorte c'est un pas de plus vers "l'humanité" que je recherche tant non ?

- Bonjour monsieur l’incube Risa ! Bonjour Antonnella Je m’appelle Odéline ! Je suis très contente de vous rencontrer. Et pus, je ne suis pas vraiment une enfant je crois, mais je ne suis pas sûre. Et pour répondre à votre question d’il y a longtemps avant, oui, je suis perdue. Vous savez où on est ? J’aimerais bien rentrer chez moi …

Je crois que je pourrais l'embrasser ! Elle vient de me sortir d'affaire. Une millième de seconde de plus, je prenais sa main et nous partions dans la beuverie la plus proche, tout en sautillant, dans la joie et la bonne humeur, jusqu'à qu'il me saoule pour pouvoir mieux me tuer. Un INCUBE non de dieu ! Quand j'étais petite mon frère me racontait des histoires parlant d'êtres capable d'avaler la vie. Enfin, dans mon pays, c'est ce que l'on racontait mais j'ai entendu une histoire similaire pour les Incubes. Donc tout ces sentiments étranges et troublants ne sont pas de moi mais créent pas lui ? Je me détendis. J'avais commencé à penser des trucs bizarres... Des choses tordantes ! Haha ! Un Incube. Les monde est peuplé d'êtres vraiment étranges...

- Bonjour Odéline, tu m'a l'air plein de vie et de savoir, Ici vois tu nous sommes a Thésée, mais ça je suppose que tu le savais déjà, nous sommes a quelque rue de la partie portuaire de la ville si ça peut t'aider à te repérer je me ferais un plaisir de t'y escorter. J'aimerais bien même te ramener jusqu’à chez toi mais moi je n'en connait pas autant sur toi que toi sur moi, je ne sais donc pas où tes parents habitent

Il prit la main de la blonde et se tourna légèrement vers moi, il me fixa et mon estomac se tord. Il me jeta une bourse bien garni.

- Ne t'en fais pas, pars et bois cette fois-ci c'est gratuit, sinon si tu as besoin de plus tu n'as qu'à me chercher, mais je te ferais me rembourser à un moment je suppose, mais je ne sais si je reviendrais sous peu en ville.

Je le regarde, sans vraiment comprendre, puis je regarde ce petit sac de cuir et le soupèse. Je le toise, je me tourne vers la fille. Le re-regarde et lentement un immense sourire naquit sur me lèvres. Elle ne risque absolument rien avec lui, c'est clair !

- Bon ! Je vais boire un coup alors ! Dis-je tout sourire. Vous venez avec moi ? J'ai de l'argent que j'ai gagné à la sueur de mon front. Allez ! C'est ma tournée !

Je ne vais tout de même pas les quitter alors qu'on vient juste d'être amis ! Et puis j'ai une dette envers Odéline.

Odéline se fit remercier, prendre la main. D’ailleurs ceci lui procura un long frisson mal venu et désagréable et sembla brouiller son cerveau et ses sens d’envies étranges et déplacées. Elle secoua la tête en fronçant les sourcils, alors qu’Antonella leur proposait d’aller boire ensemble. Odéline écarquilla les yeux. Boire ? Oh oui ! Un sirop de grenadine serait le bienvenu, à coup sûr !

- Oh oui, avec plaisir ! Par contre, voulez vous bien me lâcher monsieur ? Votre contact me fait penser à de drôles de choses …

Son ton était absolument adorable. Risa la lâcha et tous trois partirent vers un bar, quelque part ailleurs. Au moment d’entrer, Odéline sortit un papier un stylo de sa poche, et écrivit l’adresse du bar assorti du « Viens me chercher s’il te plait, je ne saurai pas rentrer seule ! ». Elle appela un oiseau qui passait par là, qui vint se poser sur sa main.

- Coucou toi ! TU veux bien prendre ça, et l’amener à Siffroy s’il te plait ? Tu sais où il est ?
- Oui Odéline ! J’y vais tout de suite !
- Merci !
- De rien !

Elle lui sourit, et l’oiseau s’envola, message au bec. Antonella et Risa entrèrent par la porte, Odéline, elle, traversa le mur à côté d’eux. Ils allèrent d’asseoir à une table de vieux chêne massif, entourés d’ivrognes et de gens discutant à voix basse. Alors qu’ils s’installaient un serveur vint vers eux leur demander ce qu’ils souhaitaient.

- Une grenadine s’il vous plaît ! Avec une paille !

Elle lui fit un mignon sourire et retourna tripoter son bracelet avec des yeux curieux. Elle n’avait pas vu le regard surpris du bonhomme …

D'un commun accord nous partons vers un bar; boire un coup, voila ce qu'il me fallait pour me remettre les idée en place.

J'entrer par la porte suivit d'Antonelle mais la petite Odéline elle était déjà dedans alors qu'elle était derrière nous. je ne cherche pas particulièrement a comprendre mais ça m'étonner tout de même

Je m'assit au bar et la petit demanda d'une voix énergétique : Une grenadine s’il vous plaît ! Avec une paille !

Je regarder la personne qui ce tenait derrière le bar et je lâcher presque nonchalamment :
Deux bière bien servit pour moi et un vers de votre alcool le plus fort aussi. Je règle pour les trois

Il ce tourna vers Antonella et lui dit: Tu peux te faire plaisir, j'aurais de quoi payer

Puis il dit a Odéline: Tu veux qu'on t’accompagne cher toi après ? avec un sourire naïf sur ses lèvres

"... Prendre un verre, nous allons prendre un verre !" pensais-je en chantonant.

La vie est belle et les oiseaux chantent ! Je rentre dans l'auberge et vois que la petite était déjà installé.

"Haha ! Quelle brave petite !"

Je m'installe sur un tabouret à côté de l'incube, quand une voix fluette demande fort :

- Une grenadine s’il vous plaît ! Avec une paille !

"Une grenadine ? Tiens, je ne connais pas cette alcool ! J'ai de la concurrence à ce que je vois..."

Je n'avais pas quitté mon sourire depuis que Cet homme généreux m'avait donné de l'argent. Quel type bien ! D'ailleurs, il déclara fort :

- Deux bières bien servit pour moi et un verre de votre alcool le plus fort aussi. Je règle pour les trois.

Il me paie un verre d'alcool fort alors qu'il vient de me donné de l'argent pour que je le paie ? Il est très étrange mais surtout très généreux ! Je le regardais avec reconnaissance. Il se tourna vers moi.

- Tu peux te faire plaisir, j'aurais de quoi payer.

J'en ai eu les larmes aux yeux. Jamais personne n'a eu de telles gentilles attentions. Mon coeur eut soudain un rythme éffreiné. Détournant mes yeux des siens, je plaquais ma mains sur mon coeur, essayant de calmer leurs battements beaucoup trop forts. Mais que m'arrive-t-il ? M'a-t-il vraiment dis que je pouvais boire autant que je voulais sans que je me préoccupe des dépenses ? Allait-il tout payer ? Il est si attentionné !

- Tu veux qu'on t’accompagne cher toi après ?

Je tournais vivement vers cette petite peste. Il l'avait parlé d'une voix tellement mielleuse contrairement à moi ! Je la fusillais du regard. Qu'est-ce qu'elle a cette petite allumeuse, hein ? Elle joue son numéro de petite innocente effarouchée, mais je sais bien que ce n'est que de la comédie ! Elle éssaie de l'avoir pour elle toute seule !

Le patron de l'établissement arriva avec les commende et je vidais en deux seconde le contenu, sans même l'avoir dégusté. A quoi bon ?! Personne ne m'aime dans ce monde d'égoïste !!! Je tapais violemment ma tête contre le comptoir après avoir redemandé la même chose mais en triple doses.

Il voulait payer ? Ah ça ! Il va payer !

Siffroy fit irruption comme un éclair dans le barre, le rouge aux joues d'avoir couru, il était vraiment crevé mais Odéline dans un bar comme celui-ci était relativement effrayant, elle aurait pu se faire attraper par n'importe quel idiot de larsouille et ça aurait mal fini.
Il la vit au milieu d'une bande de gros musclés, bonhommes alcoolos a l'air pas très net.

-Poussez vous !

Il se fraya un chemin au milieu attrapa Odéline par le bras qui finissait juste sa grenadine et la tira avec lui, à la vitesse de la lumière pour la sortir du bar et la ramener à la maison où elle aurait droit à une longue explication, elle y aurait peut-être même droit maintenant

-Odéline ! Qu'est-ce que tu faisais ici ! Tu sais très bien que cet endroit n'est pas correct pour quelqu'...

Ils disparurent au loin

[Kidnapping éclair, sortie de topic ! XD]

[Odéline est partie aussi du coup ... A vous ! ]

Un homme fit irruption comme un éclair dans le barre, le rouge aux joues d'avoir couru.

-Poussez vous ! dit-il d'une voix essoufflé

Il se fraya un chemin au milieu attrapa Odéline par le bras qui finissait juste sa grenadine et la tira avec lui, ils disparurent au loin

Hein ? Quoi ? pourquoi ? comment savait-il qu'on était ici, ça devait être un parent d'Odéline mais il est venu sans rien dire... étrange...
J'était perdu, et je commencer a voir faim... que faire ?

Tu ne devrait pas rester la Antonella, et puis tu as a boire, alors je ne vois pas pourquoi tu te plaindrait..
Il marqua un pause, comme pour attendre qu'elle parte

tu compte rester la ?

Je relève ma tête lourde vers le bruit de l'intrusion. Je ne vis qu'un vieillard prendre la gamine stupide et attardé et l'emmener en braillant. Cette petite scène m'enchanta fort et, le sourire aux lèvres, je ne pus résister à l'envie de lui dire au revoir d'un grand geste de la main.

- Tu ne devrait pas rester la Antonella, et puis tu as a boire, alors je ne vois pas pourquoi tu te plaindrait...

Je l'ignorais totalement.

- tu compte rester la ?

D'un coup j'arrête mon geste. J'étais en suspension. Je tourne vers lui des yeux ronds avec une belle expression outré. Non mais pour qui me prenait-il ?

- Bien sûr que je reste là ! Répondis-je, presque vexée. Puis l'attrapent par le col. Et toi tu restes là !

J'avais approché mon visage pour mieux planté mes yeux dans les siens et souriais avec un air carnassier. Non mais oh ! Je suis idiote mais il ne faut pas me chercher...

L'aubergiste revient enfin avec ma commande et en repasse une autre dès le premier vers, sur les trois, posé devant moi. J'engloutis les deux premiers tandis que le dernier, je le faisais durer plus longtemps. Du moins jusqu'à ma troisième "livraison".

- Tu n'es pas très bavard. Je vais m'ennuyer et dormir sur mon tabouret si tu ne me divertis pas un peu...

Elle comptait donc rester la...
J'en pouvait plus, les battement dans ma tête s'exemplifient; j'arrive plus a le contrôler, il faut que je fasse quelque chose et vite...
Elle s’approcher de moi, d'un peu trop prêt, il fallait rester calme.
Les battement, les battement, je n'en pouvait plus...
j'entendit au loin une voix Tu n'es pas très bavard. Je vais m'ennuyer et dormir sur mon tabouret si tu ne me divertis pas un peu

Il avala ses verres en un instant, ce leva brusquement, attrapa par le bras une personne quelconque dans le bar, la traîna dans les toilettes, il en ressorti quelque seconde plus tard, il avait l'air calme, il marcher, il avait un sourire au coin des lèvres. Il s'assit

Excuse moi pour ça, tu disait ? pas bavard moi ? oui ça m'arrive, mais bon, c'est assez bruillant ici et y ajouter deux voix ne ferrait qu'empirer la situation de plus je t'est inviter, donc tu ne devrait pas te plaindre ça serrait mal poli, si tu veux discuter je peux te suivre dans n'importe quel discussion, mais je n'ai pas envie d'en initier une, je serrait pas de quoi parler