- DarkameInvité
[Archivé] Dépressif mais pas tant que ça [ Arya ]
Sam 16 Fév 2013 - 23:20
Accouder au bar, le nez dans sa ... 9 éme chope.
Un démon dépressif, du jamais vu !
D'un voix rendu rauque par l'alcool, il demanda un verre plus fort, un truc qui te trou la tête et te liquéfie le cerveau.
Un truc pour oublier .
L'auberge était bondée, plus une place de libre et un brouhaha monstre.
A la normal le démon aurait été horripilé par tout ce bruit, mais ayant un petit coup dans le nez, il pouvait le supporter.
Ou presque ...
Un gros balourd venait de se mettre au piano et beuglait des phrases incompréhensibles avec sa voix de castra.
Le verre de scotch que le jeune démon venait de commander éclata en un millier de morceaux, littéralement, et s'éparpilla sur le bar collant et le sol crasseux de la salle.
Son tabouret se retrouva éclaté sur le mur juste a dessus du pianiste et la tête de celui-ci se retrouva encastrée dans son instrument, le pied du démon sur l’arrière de crane.
Darkame venait de faire un bond immense, un peu aidé par ses ailes il faut bien le dire , et retomba sur le pauvre bougre qui s’enfonçait de plus en plus dans le bois avec un grincement sinistre.
Appart ce grincement d'ailleurs plus aucuns bruits ne se faisaient entendre et tous les regards étaient rivés sur lui.
Qui la tête du pauvre malheureux toucha enfin le plancher, le démon soupira et sourit.
Les joues rougies par l'alcool, il se dirigea lentement vers la porte mais heurta quelque chose.
Ou quelqu'un ...
Un démon dépressif, du jamais vu !
D'un voix rendu rauque par l'alcool, il demanda un verre plus fort, un truc qui te trou la tête et te liquéfie le cerveau.
Un truc pour oublier .
L'auberge était bondée, plus une place de libre et un brouhaha monstre.
A la normal le démon aurait été horripilé par tout ce bruit, mais ayant un petit coup dans le nez, il pouvait le supporter.
Ou presque ...
Un gros balourd venait de se mettre au piano et beuglait des phrases incompréhensibles avec sa voix de castra.
Le verre de scotch que le jeune démon venait de commander éclata en un millier de morceaux, littéralement, et s'éparpilla sur le bar collant et le sol crasseux de la salle.
Son tabouret se retrouva éclaté sur le mur juste a dessus du pianiste et la tête de celui-ci se retrouva encastrée dans son instrument, le pied du démon sur l’arrière de crane.
Darkame venait de faire un bond immense, un peu aidé par ses ailes il faut bien le dire , et retomba sur le pauvre bougre qui s’enfonçait de plus en plus dans le bois avec un grincement sinistre.
Appart ce grincement d'ailleurs plus aucuns bruits ne se faisaient entendre et tous les regards étaient rivés sur lui.
Qui la tête du pauvre malheureux toucha enfin le plancher, le démon soupira et sourit.
Les joues rougies par l'alcool, il se dirigea lentement vers la porte mais heurta quelque chose.
Ou quelqu'un ...
- InvitéInvité
Re: [Archivé] Dépressif mais pas tant que ça [ Arya ]
Dim 17 Fév 2013 - 0:54
Thanatos. Assez grande ville où les gens ne sont pas trop accueillant et où on peut sentir certaine tensions dans l'air. Je souris. Je vais bien me plaire ici. Il y a du monde dans la rue principale et je bouscule donc les personnes s'approchant trop près de moi. Ceux qui avait l'audace de se retourner pour protester, faisait front à ma beauté et en restait coi. Je ne faisais pas attention, trop occupée à chercher un lieux où m'établir.
En voilà un. "La Truie Dorée". Charmant. Un énorme fracas retentis à l’intérieur. Les murs tremblaient violemment où une fine pellicule s'écoulait, un nuage de poussière sortit de l'auberge, comme si tout avait explosé à l'intérieur. Ramenant mon bras pour me protéger la bouche, je souris. Je serai très bien là. Les gens s'était arrêté devant, formant un demi-cercle devant l'entrée, se rendant spectateur de "l'explosion de la Truie Dorée". Justement, les spectacles, c'est mon dada.
Je m'avançais quand quelqu'un sortit et me bouscula brusquement. Je me retourne pour dévisager l'inconnu. Ce qui me frappa d'abord sont ses yeux : rouge et vert. Un beau mélange. Un énorme et profonde cicatrice barrait son oeil grenat. Il était clairement bourré : il tenait à peine sur ses jambes et son visage rouge qui était ressortis pas la pâleur de sa peau. Le teint blanc, les cheveux blond, que l'on devinait blancs au soleil, avec une étrange coiffure. Grand et musclé. Tatoué au cou. Le noir lui va très bien, et l'épée attaché à son dos ainsi que la cape lui donne un air vagabond "bad boy" que les filles doivent aimer. Le genre de mec qui change de copine toutes les heures. Dommage, il est vraiment à croquer mais il n'est pas drôle. Je préfère les gars fidèles. Et déjà en couple, bien sûr.
Je ne dis rien, soupire, me retourne et m'installai au comptoir. Perché sur mon tabouret, je fis un sourire carnassier au barman et lui susurrais d'une voix chargé de promesses :
- Je voudrais une chambre pour un séjour indéterminé. Et je prendrais aussi une vodka. Si je pouvais aussi avoir un petit rabais, je saurais me montrer... Reconnaissante.
En voilà un. "La Truie Dorée". Charmant. Un énorme fracas retentis à l’intérieur. Les murs tremblaient violemment où une fine pellicule s'écoulait, un nuage de poussière sortit de l'auberge, comme si tout avait explosé à l'intérieur. Ramenant mon bras pour me protéger la bouche, je souris. Je serai très bien là. Les gens s'était arrêté devant, formant un demi-cercle devant l'entrée, se rendant spectateur de "l'explosion de la Truie Dorée". Justement, les spectacles, c'est mon dada.
Je m'avançais quand quelqu'un sortit et me bouscula brusquement. Je me retourne pour dévisager l'inconnu. Ce qui me frappa d'abord sont ses yeux : rouge et vert. Un beau mélange. Un énorme et profonde cicatrice barrait son oeil grenat. Il était clairement bourré : il tenait à peine sur ses jambes et son visage rouge qui était ressortis pas la pâleur de sa peau. Le teint blanc, les cheveux blond, que l'on devinait blancs au soleil, avec une étrange coiffure. Grand et musclé. Tatoué au cou. Le noir lui va très bien, et l'épée attaché à son dos ainsi que la cape lui donne un air vagabond "bad boy" que les filles doivent aimer. Le genre de mec qui change de copine toutes les heures. Dommage, il est vraiment à croquer mais il n'est pas drôle. Je préfère les gars fidèles. Et déjà en couple, bien sûr.
Je ne dis rien, soupire, me retourne et m'installai au comptoir. Perché sur mon tabouret, je fis un sourire carnassier au barman et lui susurrais d'une voix chargé de promesses :
- Je voudrais une chambre pour un séjour indéterminé. Et je prendrais aussi une vodka. Si je pouvais aussi avoir un petit rabais, je saurais me montrer... Reconnaissante.
- InvitéInvité
Re: [Archivé] Dépressif mais pas tant que ça [ Arya ]
Dim 17 Fév 2013 - 13:58
Après s'être frotté les yeux, poussé un grognement sinistre et fait déguerpir les passants curieux, le jeune démon resta immobile quelques instants , les mains sur les hanches avant de se rendre compte qu'il avait oublier son sac dans la salle.
Il revint donc et s'arrêta derrière la demoiselle qu'il avait du bousculer, comment le savait t-il ?
Ses mains avait frôler sa poitrine généreuse... Et puis c'était la seul femme assise dans cette lugubre salle !
Tout les clients le regardaient silencieusement et une atmosphère tendue s'instaura peu a peu dans l'auberge, même les clients du première étage n'osaient plus parler.
Un sourire apparut sur les lèvres du démon ce qui provoqua un mouvement de recul général qui le fit pouffer.
L'aubergiste qui se tenait derrière le bar, les mains sur les hanches venait de terminer sa conversation avec la demoiselle et le regardait, dépité.
" Tu ne changeras jamais ! Attends moi la je reviens "
Le démon venait de se masser l'épaule et retourna s'asseoir a coté de la jeune fille, le mouvement de panique ayant libéré quelques sièges. Un bout de son aile sortie de sous sa cape, toute striée de léger fil beige, du a une méchante chute dans une forêt.
Le jeune homme grimaça mais ne s'en rendit pas compte et se tourna vers la jeune femme.
" Je vous serais gré, ma demoiselle, de ne pas abîmer le seul tavernier qui veuille bien de moi dans cette ville. Et ne me regardez pas avec cet air d'incompréhension, voyez vous, nous sommes en quelques sorte cousins ... "
Il lui sourit a nouveau et attendit le retour de l'aubergiste.
Il revint donc et s'arrêta derrière la demoiselle qu'il avait du bousculer, comment le savait t-il ?
Ses mains avait frôler sa poitrine généreuse... Et puis c'était la seul femme assise dans cette lugubre salle !
Tout les clients le regardaient silencieusement et une atmosphère tendue s'instaura peu a peu dans l'auberge, même les clients du première étage n'osaient plus parler.
Un sourire apparut sur les lèvres du démon ce qui provoqua un mouvement de recul général qui le fit pouffer.
L'aubergiste qui se tenait derrière le bar, les mains sur les hanches venait de terminer sa conversation avec la demoiselle et le regardait, dépité.
" Tu ne changeras jamais ! Attends moi la je reviens "
Le démon venait de se masser l'épaule et retourna s'asseoir a coté de la jeune fille, le mouvement de panique ayant libéré quelques sièges. Un bout de son aile sortie de sous sa cape, toute striée de léger fil beige, du a une méchante chute dans une forêt.
Le jeune homme grimaça mais ne s'en rendit pas compte et se tourna vers la jeune femme.
" Je vous serais gré, ma demoiselle, de ne pas abîmer le seul tavernier qui veuille bien de moi dans cette ville. Et ne me regardez pas avec cet air d'incompréhension, voyez vous, nous sommes en quelques sorte cousins ... "
Il lui sourit a nouveau et attendit le retour de l'aubergiste.
- InvitéInvité
Re: [Archivé] Dépressif mais pas tant que ça [ Arya ]
Dim 17 Fév 2013 - 18:47
Le propriétaire n'avait pas l'air bien. Une grosse goutte de sueur perlait sur son front, il avait un air consterné le pauvre, ce qui me fit encore plus sourire. Il détourna les yeux pour les poser sur quelqu'un pas très loin de moi. Rien qu'à l'odeur je le reconnu comme étant celui qui m'était rentré dedans. Il puait l'alcool à des kilomètres et les clients ne parlaient toujours pas. Normalement, quand le fouteur de trouble est parti ça jacasse comme pas possible. Surtout dans une taverne !
- Tu ne changeras jamais ! Attends moi la je reviens.
Le blond à la tête de punk s'assit sur le tabouret juste à côté de moi et après un moment se tourna vers moi.
Je vous serais gré, ma demoiselle, de ne pas abîmer le seul tavernier qui veuille bien de moi dans cette ville. Et ne me regardez pas avec cet air d'incompréhension, voyez vous, nous sommes en quelques sorte cousins ...
Il me sourit et m'ignora. Déjà, il m'agaçait. Une forme noire dépassait de son manteau élimé. Je vois.
- Des cousins ?Riais-je, moqueuse. Tu insinues que je suis apparentée à une espèce répugnante comme toi ? Moi, quand je tue quelqu'un, je fais en sorte qu'il quitte ce monde heureux. Répliquais-je d'une voix basse. Et puis, je ne voulais pas le faire tout de suite. J'aurais attendu la dernière nuit de mon séjour.
L'aubergiste revient avec une clé et ma vodka. Je les pris tout en lui faisant un clin d'oeil et me lève sans un regard vers le démon. Car oui, c'était un démon, ce qu'il cache sous sa cape ceux sont des ailes.
Parcourant rapidement la salle des yeux, j'aperçois un couple au fond, assit l'un en face de l'autre, qui essayait de ne pas se faire voir en se tassant sur eux-même. La jeune femme me faisait dos, je pus donc fixer son copain en toute tranquillité. J'approche et il me voit. Je lui souris, ses yeux s'écarquillèrent et sa mâchoire se décrocha. Arrivé à la hauteur de la table, je m'assis en face du beau brun tout en poussant sans ménagement sa copine. J'entendis un vague "hey !" mais je ne m'en souciais guerre.
Je lui fis mon sourire le plus charmeur.
- Alors comme ça, on est tout seul ? Tu veux une bonne compagnie ?
Tout en disant ça, mon pied vient caresser sa jambe. Il ne me lâchait plus des yeux malgré les protestations de miss Grande-gueule. J'espérais que le balafré ne manque aucune miettes de la scène.
- Tu ne changeras jamais ! Attends moi la je reviens.
Le blond à la tête de punk s'assit sur le tabouret juste à côté de moi et après un moment se tourna vers moi.
Je vous serais gré, ma demoiselle, de ne pas abîmer le seul tavernier qui veuille bien de moi dans cette ville. Et ne me regardez pas avec cet air d'incompréhension, voyez vous, nous sommes en quelques sorte cousins ...
Il me sourit et m'ignora. Déjà, il m'agaçait. Une forme noire dépassait de son manteau élimé. Je vois.
- Des cousins ?Riais-je, moqueuse. Tu insinues que je suis apparentée à une espèce répugnante comme toi ? Moi, quand je tue quelqu'un, je fais en sorte qu'il quitte ce monde heureux. Répliquais-je d'une voix basse. Et puis, je ne voulais pas le faire tout de suite. J'aurais attendu la dernière nuit de mon séjour.
L'aubergiste revient avec une clé et ma vodka. Je les pris tout en lui faisant un clin d'oeil et me lève sans un regard vers le démon. Car oui, c'était un démon, ce qu'il cache sous sa cape ceux sont des ailes.
Parcourant rapidement la salle des yeux, j'aperçois un couple au fond, assit l'un en face de l'autre, qui essayait de ne pas se faire voir en se tassant sur eux-même. La jeune femme me faisait dos, je pus donc fixer son copain en toute tranquillité. J'approche et il me voit. Je lui souris, ses yeux s'écarquillèrent et sa mâchoire se décrocha. Arrivé à la hauteur de la table, je m'assis en face du beau brun tout en poussant sans ménagement sa copine. J'entendis un vague "hey !" mais je ne m'en souciais guerre.
Je lui fis mon sourire le plus charmeur.
- Alors comme ça, on est tout seul ? Tu veux une bonne compagnie ?
Tout en disant ça, mon pied vient caresser sa jambe. Il ne me lâchait plus des yeux malgré les protestations de miss Grande-gueule. J'espérais que le balafré ne manque aucune miettes de la scène.
- InvitéInvité
Re: [Archivé] Dépressif mais pas tant que ça [ Arya ]
Mar 2 Avr 2013 - 12:28
Darkame la regarda s'éloigner en marmonant :
Mais c'est plus drôle de les voir souffrir et d'agoniser dans le sang ...
Ça a une très jolie couleur le sang !
Le démon la suivit du regard avec un sourire en coin en la voyant s'approcher d'un pauvre et jeune couple sans défense.
La succube commença a aguicher le jeune homme, pur d'après la tête qu'il venait de tirer, mais les charme de sa "cousine" lui dit rapidant perdre la tête.
Il allait mourir, avant la fin de la journée.
Le jeune démon secoua la tête, navré de voir que la faiblesse des hommes était aussi grande.
Il regarda ensuite sa compagne et du lutter pour ne pas éclater de rire devant sa mine déconfite et ses yeux pleins de colère.
Darkame eut alors l'idée de copier la succube et peut être de la battre a son propre jeu même si c'était quasi impossible.
Pour se faire il marmonna une formule dans sa langue et ses ailes se rétratèrent en un claquement de doigt, accompagnées pas quelques craquements peu rassurant. Il avait déjà utilisé cette incantation lors de son séjour chez les rêveurs avec Séléné.
Il but ensuite le reste de sa bière et se leva nonchalamment pour se diriger vers la table des futurs ex-amoureux.
Sans se soucier de la succube et de sa future victime il s'assit sur la chaise a côté de la jeune femme et lui murmura d'une voix sauve et sensuelle au creux de l'oreille :
Puisque certain préfère la compagnie de fille aux intentions douteuse, peut être qu'un belle jeune femme comme vous sera assez intelligente pour le laisser tomber et de me faire le plaisir de partager une discussion avec moi.
Il lui dit son plus beau sourire, enfin le moins terrifiant. La jeune fille le regarda alors avec de yeux brillants, ce qui surprit d'ailleurs le démon, elle acquiesçât d'un hochement de tête et débuta une conversation.
Le démon jeta un petit regard mesquin a la succube puis retourna écouter le récit inintéressant que lui offrait sa proie.
- InvitéInvité
Re: [Archivé] Dépressif mais pas tant que ça [ Arya ]
Mar 2 Avr 2013 - 20:44
Tout en discutant avec... euh... truc, je repérais un mouvement vers le fond de la salle et je savais que c'était lui. Qu'est-ce qu'il me veut encore ? Il s'avança calmement vers notre table et j'attendis, les yeux fixés dans ceux de mon interlocuteur, qui était totalement obnubilé par notre "discussion" alors que je me concentrais sur les pas du punk-à-trois-sous. Je ne saurais dire pourquoi mais je voulais voir ce qu'il faisait. Je voulais me retourner et suivre sa démarche des yeux. Juste pour voir ce qu'il allait tenter. Un petit sourire en coin se dessina sur mes traits.
Il s'approcha de la gourde à côté de moi, s'assit à côté d'elle et lui sourit. Il ne m'a pas accordé un regard, rien. Je fronçai les sourcils. Décidément, il m'énerve de plus en plus. Mais, paradoxalement, il m'amuse. Il était différent. Je n'accordais plus d'attention à ma proie pour admirer la suite des évènements. Il avança son visage vers la fille. Si près que je crus tout d'abord qu'il allait l'embrasser, mais il continua sa route et se planta à quelque centimètre se son oreille et murmura des mots inaudibles pour moi.
Je vis le visage de la fille devenir légèrement rosé et ses yeux devenir brillant. Elle était déjà totalement sous son charme. Je ne sais pas comment elle a put faire ! Elle a des goûts en matière d'hommes qui laisse à désirer...
Il voulait jouer sur mon terrain de jeu ? Eh bien on va jouer ! Un grand sourire carnassier étira mes lèvres pulpeuse. Je n'allais pas perdre. C'est hors de question ! Il me regarda quelques secondes et son regard mesquin me brûla de détermination.
Je me reportais vers mon objet-d'une-nuit et me rendis compte qu'il lorgnait d'un oeil mauvais nos deux voisins de jeux. D'un coup je me levai, basculant ma chaise en arrière, frappai ma main gauche sur la table pour m'aider à me pencher le plus possible vers cet imbécile, tendis l'autre main vers lui, empoigna ses cheveux à l'arrière du crâne, et l'embrassa en pleine bouche avec une violence qui me surprit même à moi.
Ses lèvres n'avaient aucune saveur et étaient banales. C'était ennuyant à mourir. J'ouvris légèrement la bouche pour pouvoir suçoter sa lèvre inférieur, signalant qu'il fallait passer au choses sérieuses. Heureusement, il comprit le message et entre-ouvra la bouche et j'y faufilais ma langue, dans un baiser qui se voulait endiablé. Mais ça ce n'était juste une impression extérieur. Et... chose qui essayait, vainement, de me répondre dignement. Pour moi, c'était d'un ennuie ! C'était plat, fade et sans aucun intérêt, peut-être à part pour se nourrir, ce que je fis pour faire une pierre, deux coups.
Après deux bonnes minutes, je le relâchais. Il retomba sur sa chaise encore à bout de souffle et hagard de ce qu'il venait de se passer. J'étais toujours appuyé sur la table, offrant à mon partenaire d'un jour, une magnifique vue.
- Tu n'as pas besoin d'elle. Susurrais-je. Je suis là, moi.
M'approchant un peu plus de lui.
- Je suis toute seule cette nuit et j'ai peur dans le noir. Tu viendras me tenir compagnie ? Demandais-je avec un sourire coquin, tout en me mordillant la lèvre inférieure.
Il était dors et déjà dans mes filets.
Échec et math !
Il s'approcha de la gourde à côté de moi, s'assit à côté d'elle et lui sourit. Il ne m'a pas accordé un regard, rien. Je fronçai les sourcils. Décidément, il m'énerve de plus en plus. Mais, paradoxalement, il m'amuse. Il était différent. Je n'accordais plus d'attention à ma proie pour admirer la suite des évènements. Il avança son visage vers la fille. Si près que je crus tout d'abord qu'il allait l'embrasser, mais il continua sa route et se planta à quelque centimètre se son oreille et murmura des mots inaudibles pour moi.
Je vis le visage de la fille devenir légèrement rosé et ses yeux devenir brillant. Elle était déjà totalement sous son charme. Je ne sais pas comment elle a put faire ! Elle a des goûts en matière d'hommes qui laisse à désirer...
Il voulait jouer sur mon terrain de jeu ? Eh bien on va jouer ! Un grand sourire carnassier étira mes lèvres pulpeuse. Je n'allais pas perdre. C'est hors de question ! Il me regarda quelques secondes et son regard mesquin me brûla de détermination.
Je me reportais vers mon objet-d'une-nuit et me rendis compte qu'il lorgnait d'un oeil mauvais nos deux voisins de jeux. D'un coup je me levai, basculant ma chaise en arrière, frappai ma main gauche sur la table pour m'aider à me pencher le plus possible vers cet imbécile, tendis l'autre main vers lui, empoigna ses cheveux à l'arrière du crâne, et l'embrassa en pleine bouche avec une violence qui me surprit même à moi.
Ses lèvres n'avaient aucune saveur et étaient banales. C'était ennuyant à mourir. J'ouvris légèrement la bouche pour pouvoir suçoter sa lèvre inférieur, signalant qu'il fallait passer au choses sérieuses. Heureusement, il comprit le message et entre-ouvra la bouche et j'y faufilais ma langue, dans un baiser qui se voulait endiablé. Mais ça ce n'était juste une impression extérieur. Et... chose qui essayait, vainement, de me répondre dignement. Pour moi, c'était d'un ennuie ! C'était plat, fade et sans aucun intérêt, peut-être à part pour se nourrir, ce que je fis pour faire une pierre, deux coups.
Après deux bonnes minutes, je le relâchais. Il retomba sur sa chaise encore à bout de souffle et hagard de ce qu'il venait de se passer. J'étais toujours appuyé sur la table, offrant à mon partenaire d'un jour, une magnifique vue.
- Tu n'as pas besoin d'elle. Susurrais-je. Je suis là, moi.
M'approchant un peu plus de lui.
- Je suis toute seule cette nuit et j'ai peur dans le noir. Tu viendras me tenir compagnie ? Demandais-je avec un sourire coquin, tout en me mordillant la lèvre inférieure.
Il était dors et déjà dans mes filets.
Échec et math !
- InvitéInvité
Re: [Archivé] Dépressif mais pas tant que ça [ Arya ]
Jeu 4 Avr 2013 - 22:12
Au fil du flot incessant de parole de la brune * Pas vraiment mon style * il s'était peu a peu rapproché.
Lorsque le mouvement brusque de la succube lui fit détourner les yeux, un sourire étira ses lèvres découvrant ses canines luisante.
Cependant il laissa sa concurrente rouler une galoche qui semblait fortement l'ennuyer et baissa une nouvelle fois les yeux sur sa proie, elle n'avait pas cesser de parler.
Ce bruit de fond insupportable lui faisait bourdonner les oreilles et pour y mettre fin, il l'embrassa sans réelle fougue.
Fade et intéressant, comme la plupart des baisers d'humaines.
C'est la que les démones et autres créatures maléfiques sont les plus douées a vrai dire.
Elle était rouge lorsque leurs lèvres se séparèrent.
D'un regard aguicheur, il lui glissa encore une fois quelques mots a l'oreille.
Elle sourit et se leva, le démon lui fixait maintenant la succube et son repas d'un oeil rieur.
La jeune fille se dirigeait vers le bar et le tenancier lui tendit une paire de clef, elle se dirigea ensuite vers les escalier en lançant un regard langoureux au démon qui frissonna en trouvant la chose dégoûtante.
Elle monta pas pas l'escalier et disparut enfin dans les sombres couloirs de l'auberge.
Darkame se leva enfin et d'un pas lent arriva a coté de la succube, toujours penchée vulgairement sur sa table.
Il passa un bras autour de sa taille et se colla contre elle, de son autre main il lui attrapa le menton et la força a le regarder.
Son sourire n'avait pas quitté ses lèvres et il lui dit d'une voix rauque :
Tu sais, a quatre ça aurait pu être tellement plus drôle ...
Il l'embrassa alors et recula vers les escalier en la regardant.
Il finit par se retourner et monter a l'étage rejoindre sa conquête.
Lorsque le mouvement brusque de la succube lui fit détourner les yeux, un sourire étira ses lèvres découvrant ses canines luisante.
Cependant il laissa sa concurrente rouler une galoche qui semblait fortement l'ennuyer et baissa une nouvelle fois les yeux sur sa proie, elle n'avait pas cesser de parler.
Ce bruit de fond insupportable lui faisait bourdonner les oreilles et pour y mettre fin, il l'embrassa sans réelle fougue.
Fade et intéressant, comme la plupart des baisers d'humaines.
C'est la que les démones et autres créatures maléfiques sont les plus douées a vrai dire.
Elle était rouge lorsque leurs lèvres se séparèrent.
D'un regard aguicheur, il lui glissa encore une fois quelques mots a l'oreille.
Elle sourit et se leva, le démon lui fixait maintenant la succube et son repas d'un oeil rieur.
La jeune fille se dirigeait vers le bar et le tenancier lui tendit une paire de clef, elle se dirigea ensuite vers les escalier en lançant un regard langoureux au démon qui frissonna en trouvant la chose dégoûtante.
Elle monta pas pas l'escalier et disparut enfin dans les sombres couloirs de l'auberge.
Darkame se leva enfin et d'un pas lent arriva a coté de la succube, toujours penchée vulgairement sur sa table.
Il passa un bras autour de sa taille et se colla contre elle, de son autre main il lui attrapa le menton et la força a le regarder.
Son sourire n'avait pas quitté ses lèvres et il lui dit d'une voix rauque :
Tu sais, a quatre ça aurait pu être tellement plus drôle ...
Il l'embrassa alors et recula vers les escalier en la regardant.
Il finit par se retourner et monter a l'étage rejoindre sa conquête.
- InvitéInvité
Re: [Archivé] Dépressif mais pas tant que ça [ Arya ]
Ven 5 Avr 2013 - 1:16
Soudain un bras m’entoura la taille et me happa contre un torse musclé et avant même que je n'ai pu protesté, une main m'emprisonna le menton pour me forcer à me tourner vers lui. Toujours lui. Lui et ses yeux rieurs qui transpercent et empoisonnent. Je ne pouvais faire un mouvement. Et il souriait le bougre ! Il souriait alors qu'il me surprenait !
Tu sais, a quatre ça aurait pu être tellement plus drôle ... Déclara-t-il de sa voix rauque.
Puis il m'embrassa, sans plus de cérémonies. Mais il pire dans tout ça c'est que, malgré le fait que je n'y répondais pas, trop surprise par cet assaut, j'aimais ça. Comme est-ce possible ? Pourtant fallait bien se l'avouer, son baiser, même en étant très chaste, était divin. Il avait les lèvres tellement douces que cela en était presque risible. Douces mais aussi chaudes et sucrées.
J'allais lui rendre son baiser quand il se détacha de moi et recula lentement jusqu'aux escaliers, sans me lâcher du regard. Je le maintenais sans rien laisser transparaître. C'est une fois qu'il eut tourné le dos et monté les marches que je me rendis compte que j'avais retenu mon souffle. Je respirai difficilement suite à notre échange et cela me troublé plus que de raison. Pourquoi être autant bouleversée pare démon ? Ce sentiment étrange me prend dans les tripes et une peur grotesque en suivit. Qu'est-ce donc ça ?
Quoique ce soit il fallait l'annihiler. Et tout de suite. Et pour détruire quelque chose il faut s'en prendre à la source. Mais j'avais aussi une curieuse envie de savoir ce que donnerait l'accomplissement de se désire qui ne cessait de croître. J'avais autant l'envie de le tuer que de désire pour lui. Et je sais parfaitement comment allier les deux. Des images obscènes envahissent ma tête, mettant en scène ce démon et moi dans toutes les positions possibles et imaginables.
Je montais les marches qui menaient à l'étage et le voit traversant le couloir étroit de l'auberge, d'un pas nonchalant. Ma vue sur son dos musclé ne faisait qu'augmenté ma résolution et je le rattrapai assez vite.
Sans m'en rendre compte, je l'avais plaqué contre le mur et embrassé avec agressivité en lui agrippant ses cheveux blonds avec force, histoire de lui faire mal, en plaquant tout mon corps contre le sien. Ce baiser me brûlait tout entière. Jamais je n'avais ressentis ça auparavant. Je voulais en voir plus, aller plus loin.
Je le regardais en même temps avec un regard de défi. J'en profitais pour me nourrir pour pouvoir l'affaiblir et gagner un peu plus de terrain. mais au moment d'absorber son énergie vital, rien ne se passa. Il était totalement impossible de se nourrir avec lui et le peux que je réussissais à lui subtiliser avait un goût de souffre. C'était démoniaque, malsain.
Mais le fait le plus étrange, c'est que ça ne me dérangeait pas. Oh non ! Ça m'excitait plus encore et je pressai mes lèvres plus encore contre les siennes, si cela était encore possible. Je les ouvris légèrement attendant qu'il prenne l'occasion.
Tu sais, a quatre ça aurait pu être tellement plus drôle ... Déclara-t-il de sa voix rauque.
Puis il m'embrassa, sans plus de cérémonies. Mais il pire dans tout ça c'est que, malgré le fait que je n'y répondais pas, trop surprise par cet assaut, j'aimais ça. Comme est-ce possible ? Pourtant fallait bien se l'avouer, son baiser, même en étant très chaste, était divin. Il avait les lèvres tellement douces que cela en était presque risible. Douces mais aussi chaudes et sucrées.
J'allais lui rendre son baiser quand il se détacha de moi et recula lentement jusqu'aux escaliers, sans me lâcher du regard. Je le maintenais sans rien laisser transparaître. C'est une fois qu'il eut tourné le dos et monté les marches que je me rendis compte que j'avais retenu mon souffle. Je respirai difficilement suite à notre échange et cela me troublé plus que de raison. Pourquoi être autant bouleversée pare démon ? Ce sentiment étrange me prend dans les tripes et une peur grotesque en suivit. Qu'est-ce donc ça ?
Quoique ce soit il fallait l'annihiler. Et tout de suite. Et pour détruire quelque chose il faut s'en prendre à la source. Mais j'avais aussi une curieuse envie de savoir ce que donnerait l'accomplissement de se désire qui ne cessait de croître. J'avais autant l'envie de le tuer que de désire pour lui. Et je sais parfaitement comment allier les deux. Des images obscènes envahissent ma tête, mettant en scène ce démon et moi dans toutes les positions possibles et imaginables.
Je montais les marches qui menaient à l'étage et le voit traversant le couloir étroit de l'auberge, d'un pas nonchalant. Ma vue sur son dos musclé ne faisait qu'augmenté ma résolution et je le rattrapai assez vite.
Sans m'en rendre compte, je l'avais plaqué contre le mur et embrassé avec agressivité en lui agrippant ses cheveux blonds avec force, histoire de lui faire mal, en plaquant tout mon corps contre le sien. Ce baiser me brûlait tout entière. Jamais je n'avais ressentis ça auparavant. Je voulais en voir plus, aller plus loin.
Je le regardais en même temps avec un regard de défi. J'en profitais pour me nourrir pour pouvoir l'affaiblir et gagner un peu plus de terrain. mais au moment d'absorber son énergie vital, rien ne se passa. Il était totalement impossible de se nourrir avec lui et le peux que je réussissais à lui subtiliser avait un goût de souffre. C'était démoniaque, malsain.
Mais le fait le plus étrange, c'est que ça ne me dérangeait pas. Oh non ! Ça m'excitait plus encore et je pressai mes lèvres plus encore contre les siennes, si cela était encore possible. Je les ouvris légèrement attendant qu'il prenne l'occasion.
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Re: [Archivé] Dépressif mais pas tant que ça [ Arya ]
Ven 5 Avr 2013 - 21:34
Plaqué contre un mur, collé à un succube, ses lèvres contre les siennes et une occasion unique de lui montrer son "savoir-faire".
Elle avait légèrement ouvert les lèvres créant ainsi une porte d'accès et la langue du démon s'y engouffra sans hésitation.
Sa main gauche attrapa violemment la nuque de la succube et prassa d'avantage leurs lèvres, sa main droite quant a elle s'était posée sans aucune douceur sur le bas de son dos.
Après quelques minutes d'une soupe de langue, il reprit son souffle et passa la main dans la chevelure dorée de la succube, l'autre descendie plus bas le long de ses fesses pour venir attraper sa cuisse et la ramener sur sa hanche.
Un sourire ornait ses lèvres et il lui chuchota :
Ton petit manège ne marche pas sur les démons. Ou en tout cas pas sur un roi ...
Il la repoussa courte l'autre mur et se colla tout contre elle, il replaça la jambe de la demoiselle sur sa hanche et la força a pencher la tête sur le côté pour venir poser un baiser ardent sur son coup avant de l'embrasser à nouveau, violemment.
Elle avait légèrement ouvert les lèvres créant ainsi une porte d'accès et la langue du démon s'y engouffra sans hésitation.
Sa main gauche attrapa violemment la nuque de la succube et prassa d'avantage leurs lèvres, sa main droite quant a elle s'était posée sans aucune douceur sur le bas de son dos.
Après quelques minutes d'une soupe de langue, il reprit son souffle et passa la main dans la chevelure dorée de la succube, l'autre descendie plus bas le long de ses fesses pour venir attraper sa cuisse et la ramener sur sa hanche.
Un sourire ornait ses lèvres et il lui chuchota :
Ton petit manège ne marche pas sur les démons. Ou en tout cas pas sur un roi ...
Il la repoussa courte l'autre mur et se colla tout contre elle, il replaça la jambe de la demoiselle sur sa hanche et la força a pencher la tête sur le côté pour venir poser un baiser ardent sur son coup avant de l'embrasser à nouveau, violemment.
- InvitéInvité
Re: [Archivé] Dépressif mais pas tant que ça [ Arya ]
Sam 6 Avr 2013 - 18:50
Il ne lui en fallut pas plus. Il comprit le message et me répondit de la plus outrageuse des façons et j'en étais heureuse. Toutes les sensations se bousculaient et j'en dégustais chaque vague qui déferlait dans tous les membres de mon corps. Sa main puissante m'empoigna les petits cheveux de la nuque pour mieux me plaquer contre lui, tandis que son autre main s'écrasa sur mes reins pour les mêmes raisons que sa jumelle.
Notre échange dura quelques minutes, les minutes les plus longues que je n'ai jamais connu malgré toutes ces conquêtes à mon actif. Quand il s'éloigna, notre respiration était brûlante et haletante. Il me caressa le bas du dos, mes hanches, continua sur mon fessier jusqu'à ma cuisse nue, qu'il ramena à lui. Il souria.
- Ton petit manège ne marche pas sur les démons. Ou en tout cas pas sur un roi... Me chuchota-t-il.
Un roi ? Je comprenais mieux maintenant. Tout mes pouvoirs étaient strictement inutiles face un roi démon, je l'avais entendu dire quand j'étais petite. Une comptine relatait même une épopée entre un roi démon vicieux et une succube idiote. Jamais un roi démon ne pourra mourir sous mes caresses. Un démon banal le peut, je suis assez puissante pour cela, mais pas un roi. Et cela m’effraya.
Avant que je n'ai pu agir, il me plaqua à son tour sans ménagement contre le mur adverse, me collant, supprimant toutes possibilités de fuite. Même si la situation l'exigeait, l'envie en fut coupé après ce qui suit. Il me tira sur ma chevelure de façon à ce que mon cou soit totalement vulnérable et sa bouche y fondis, comme affamé. Il y déposa de violent baiser, qui n'en était pas moins ardent et, j'en était sûr, allait laisser des traces indélébiles. Je respirais difficilement. Jamais des caresses m'eurent fait autant d'effet.
Sa bouche quitta mon cou pour rejoindre mes lèvres, qui ne demandais que ça. Je lui répondis avec toute la violence dont j'étais capable, jusqu'à que je me souvienne de qui il était.
- Es-tu vraiment un roi ? Les rois démons ne se saoulent pas dans une auberge miteuse et ne devrait pas se livrer à de tels débauches. Raillais-je avec un sourire mesquin.
Je me rapprochais de son oreille pour pouvoir lui en mordillait le lobe pour lui chuchoter :
- Surtout pas avec un succube.
Je me dégageais de son étreinte sans le lâcher du regard.
- Par ta faute, j'ai pratiquement enfreint notre première règle, la règle d'or de toutes succubes : ne jamais partager sa couche avec une créature qui pourrait y survivre... C'était chouette, mais c'est fini.
Notre échange dura quelques minutes, les minutes les plus longues que je n'ai jamais connu malgré toutes ces conquêtes à mon actif. Quand il s'éloigna, notre respiration était brûlante et haletante. Il me caressa le bas du dos, mes hanches, continua sur mon fessier jusqu'à ma cuisse nue, qu'il ramena à lui. Il souria.
- Ton petit manège ne marche pas sur les démons. Ou en tout cas pas sur un roi... Me chuchota-t-il.
Un roi ? Je comprenais mieux maintenant. Tout mes pouvoirs étaient strictement inutiles face un roi démon, je l'avais entendu dire quand j'étais petite. Une comptine relatait même une épopée entre un roi démon vicieux et une succube idiote. Jamais un roi démon ne pourra mourir sous mes caresses. Un démon banal le peut, je suis assez puissante pour cela, mais pas un roi. Et cela m’effraya.
Avant que je n'ai pu agir, il me plaqua à son tour sans ménagement contre le mur adverse, me collant, supprimant toutes possibilités de fuite. Même si la situation l'exigeait, l'envie en fut coupé après ce qui suit. Il me tira sur ma chevelure de façon à ce que mon cou soit totalement vulnérable et sa bouche y fondis, comme affamé. Il y déposa de violent baiser, qui n'en était pas moins ardent et, j'en était sûr, allait laisser des traces indélébiles. Je respirais difficilement. Jamais des caresses m'eurent fait autant d'effet.
Sa bouche quitta mon cou pour rejoindre mes lèvres, qui ne demandais que ça. Je lui répondis avec toute la violence dont j'étais capable, jusqu'à que je me souvienne de qui il était.
- Es-tu vraiment un roi ? Les rois démons ne se saoulent pas dans une auberge miteuse et ne devrait pas se livrer à de tels débauches. Raillais-je avec un sourire mesquin.
Je me rapprochais de son oreille pour pouvoir lui en mordillait le lobe pour lui chuchoter :
- Surtout pas avec un succube.
Je me dégageais de son étreinte sans le lâcher du regard.
- Par ta faute, j'ai pratiquement enfreint notre première règle, la règle d'or de toutes succubes : ne jamais partager sa couche avec une créature qui pourrait y survivre... C'était chouette, mais c'est fini.
- InvitéInvité
Elle ne semblait plus très demandeuse après la révélation que le démon venait de lui faire.
Elle esseya de se dérober à son étreinte mais la mai qui a la seconde d'avant lui agrippait la nuque vint violemment s'écraser contre le mur, a quelques centimètres seulement du visage de la succube.
L'autre fit de même pour l'autre côté ne laissant ainsi aucune echapatoire a sa proie.
Un sourire narquoi et sadique naquit sur ses lèvres, des flammes de haine brûlaient au fond de son yeux sanglant et ses ailes réapparurent instantanément déchirant presque sa chair, toutes déployées.
Il haletait de rage et n'artuculait plus aucune de ses mots.
Sache que si j'en suis réduit a boire dans des tavernes crasseuses c'est parce que mon royaume, ma famille, mon héritage, tout a été détruit par des démons faibles et couards, des lâches qui ne vivront plus très longtemps.
A leur mort, tout me sera rendu : la gloire, l'honneur, la richesse et le pouvoir qui m'est dût !
Ses mains se crispèrent et il baissa la tête. La brunette qui l'attendait depuis un petit moment sorti alors de la chambre et les vit ainsi. folle de rage elle se precipita sur le demon et sa compagne pour les separer. Darkame tendit tout juste le bras et le cou de la cruche vint s'ecrasé entre ses doigts.Il resta ainsi quelques minutes puis la lâcha, elle retomba sur don postérieur trop rembondit pour être charmant et se recroquevilla sur elle même. Le démon se détourna alors de la succbe en se retournant. Son sac fut alors violent projeté sur sa hanche et les couronne qu'il contenait s'entrechoquèrent dans un bruit cristallin.
Le démon marmonna une injure et vérifia qu'elles étaient toutes intactes.
Il se retourna une nouvelle fois sur la succube.
Va, fini ce que tu a commencé avec l'autre poltron. Amuse toi bien.
Son regard meurtrier se posa a nouveau sur l'intruse.
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Re: [Archivé] Dépressif mais pas tant que ça [ Arya ]
Sam 6 Avr 2013 - 20:29
Un roi déchu. Voilà ce qu'il était. Il avait tout perdu, dit-il, à cause de faibles démons. Je ne fis plus du tout attention à la fille qui a déboulé comme une furie, jalouse de notre proximité. J'ai été pourtant déçu qu'il se contente de la bousculer, elle aurait mérité plus grave punition. Malgré la haine dans ses yeux qui me fit tressaillir, (de peur ou de désir, ça je ne sais pas encore) la colère me monta.
- Alors qu'attends-tu pour le récupérer ?! Je déteste les hommes qui s'apitoie sur leur sort sans se battre. Édifie un nouveau royaume, à ton image. Ça ne devrait pas être aussi difficile si tu es si puissant que ça ! Tu tiens tant que ça à le récupérer ? Alors réunis des hommes fort et bats-toi !
J'avais hurlé ces derniers mots, folle de rage. Je ne savais pas pourquoi je me préoccupais de ça, tout ce que je savais c'est que je ne voulais pas qu'il reste là à boire jusqu'à plus soif à prévoir son futur règne, alors qu'il pouvait récupérer son trône maintenant ! Pourquoi me donnais-je autant de mal ?... Je soupirais.
- Quant à moi, dis-je avec le sourire et les mains sur les hanches, m'avançant vers lui, résolue mais peu convaincu, je vais bien me le taper ! Et j'espère qu'il y a assez d'hommes dans toute la ville pour me rassasier, parce que je ne suis pas prête à m'arrêter !
- Alors qu'attends-tu pour le récupérer ?! Je déteste les hommes qui s'apitoie sur leur sort sans se battre. Édifie un nouveau royaume, à ton image. Ça ne devrait pas être aussi difficile si tu es si puissant que ça ! Tu tiens tant que ça à le récupérer ? Alors réunis des hommes fort et bats-toi !
J'avais hurlé ces derniers mots, folle de rage. Je ne savais pas pourquoi je me préoccupais de ça, tout ce que je savais c'est que je ne voulais pas qu'il reste là à boire jusqu'à plus soif à prévoir son futur règne, alors qu'il pouvait récupérer son trône maintenant ! Pourquoi me donnais-je autant de mal ?... Je soupirais.
- Quant à moi, dis-je avec le sourire et les mains sur les hanches, m'avançant vers lui, résolue mais peu convaincu, je vais bien me le taper ! Et j'espère qu'il y a assez d'hommes dans toute la ville pour me rassasier, parce que je ne suis pas prête à m'arrêter !
- InvitéInvité
Re: [Archivé] Dépressif mais pas tant que ça [ Arya ]
Dim 7 Avr 2013 - 1:48
Il souriait simplement.
Le commentaire de la succube l'amusait finalement plus qu'il ne l'agaçait en tout cas.
Une armée ... Contre un cousin aussi frèle et un oncle obèse qui ne voit meme plus ses pieds !
Ce ne serait que du gâchis, une sortie d'argent trop importante et inutile.
Loin d'être en colère il laissa la succube approcher. Quand elle fut assez près il la saisi par les hanches et la remena a lui.
Le sourire aux lèvres il lui murmura au creux de l'oreille :
Connais tu le sens du mot vengeance ?
Ce qu'il va ce passer dans les prochains jours, c'est la plus grande cérémonie que le peuple démoniaque n'est jamais connu.
Le courronement d'un nouveau Haut-roi, celui qui règnera en maître sur Radamanthe.
Ce titre vois-tu était réservé a mon père ou a l'un de ses héritiers. Mon frère étant mort très jeune et mon père ayant perdu la vie, il n'y a que moi pour pouvoir y prétendre, ce pendant je suis toujours porté disparu et je compte bien jouer mon effet de surprise.
Les usurpateurs ne sont que mon cousin idiot et son père impotent, rien que le son de ma voix ou la vu de mes immenses ailes leur suffirait a périr de peur.
Pas besoin d'une armée !
Il l'avait gardée tout contre lui le temps de son monologue, la regardant avec envie et délice, caressant sa peau douce. Il ne s'en était même pas rendu compte avant qu'il et prononcé le dernier mot,
Le démon resta encore quelques instants a la contempler, sans sourire mais avec envie.
La dernière remarque de la succube lui revint en tête et un coin de sa bouche se releva legerement.
Il murmura une phrase entrecoupée par les baisers chaste qu'il posait sur la nuque de la demoiselle :
Aucun homme ne peut satisfaire le besoin d'une succube, il n'y a qu'un démon qui puisse y arriver. Plus endurant et plus robuste mais surtout plus sauvage.
Avant qu'elle ne puisse répliquer, il s'empara de ses lèvres qui le narguaient depuis déjà un bon moment.
- InvitéInvité
Re: [Archivé] Dépressif mais pas tant que ça [ Arya ]
Dim 7 Avr 2013 - 11:22
Il me saisit le bassin pour me ramener à lui. Je sentais son sourire contre ma joue et dans un murmure il m'exposa son plan. Si c'était aussi simple pourquoi attendre ? Je bouderai presque si je ne trouvais pas ça ridicule. Pendent son discours, il me caressa simplement, comme on le fait à un cheval pour l’apaiser, mais avec la tendresse en plus. C'en était troublant. Il me regarda, ses yeux brillants de désirs et sourit tout en nichant sa tête dans mon cou pour y déposer de légers baisers qui me firent frissonner.
- Aucun homme ne peut satisfaire le besoin d'une succube, il n'y a qu'un démon qui puisse y arriver. Plus endurant et plus robuste mais surtout plus sauvage.
Il avait murmuré ces mots et cela redoubla mes frissons. Comment peut-il avoir autant d'effet sur moi ? Le pire dans tout ça, c'est que c'est vrai. Jamais je ne serais satisfaite, même avec tous les hommes des trois mondes réunis.
Il m'embrassa encore une fois, mais comme les précédents, ce baiser ne ressemblait pas aux autres. Il était pressant et chargé de désirs. Je ne pus résister plus longtemps. Mes mains rejoignirent ses cheveux et mes cuisses nues, ses hanches. J'étais à présent sur lui et cela me fit rire. Je ne sais pas pourquoi, mais je me fis penser à une adolescente en chaleur et je m'aurais bien mit une bonne claque.
J'avais approfondit le baiser, les lèvres meurtris par sa violence, et je gémis plusieurs fois sous les assauts de sa langue. Si ça continue, je ne pourrais plus l'arrêter et je signerai en même temps mon arrêt de mort.
- Arrête ! Criais-je en tapant son épaule. Si on va plus loin, je serai traquée et tuée pour mon hérésie. Je te l'ai dit, c'est strictement interdit. Même si j'ai quelques talents pour le combat, je ne peux pas tuer mes semblables. C'est contre nature. Et puis, elles te chasseront toi aussi !
J'avais dis ça ma bouche à quelques millimètres de la sienne, et je la regardais intensément. Argh ! Comme ma faiblesse était grande en ce moment !
- Aucun homme ne peut satisfaire le besoin d'une succube, il n'y a qu'un démon qui puisse y arriver. Plus endurant et plus robuste mais surtout plus sauvage.
Il avait murmuré ces mots et cela redoubla mes frissons. Comment peut-il avoir autant d'effet sur moi ? Le pire dans tout ça, c'est que c'est vrai. Jamais je ne serais satisfaite, même avec tous les hommes des trois mondes réunis.
Il m'embrassa encore une fois, mais comme les précédents, ce baiser ne ressemblait pas aux autres. Il était pressant et chargé de désirs. Je ne pus résister plus longtemps. Mes mains rejoignirent ses cheveux et mes cuisses nues, ses hanches. J'étais à présent sur lui et cela me fit rire. Je ne sais pas pourquoi, mais je me fis penser à une adolescente en chaleur et je m'aurais bien mit une bonne claque.
J'avais approfondit le baiser, les lèvres meurtris par sa violence, et je gémis plusieurs fois sous les assauts de sa langue. Si ça continue, je ne pourrais plus l'arrêter et je signerai en même temps mon arrêt de mort.
- Arrête ! Criais-je en tapant son épaule. Si on va plus loin, je serai traquée et tuée pour mon hérésie. Je te l'ai dit, c'est strictement interdit. Même si j'ai quelques talents pour le combat, je ne peux pas tuer mes semblables. C'est contre nature. Et puis, elles te chasseront toi aussi !
J'avais dis ça ma bouche à quelques millimètres de la sienne, et je la regardais intensément. Argh ! Comme ma faiblesse était grande en ce moment !
- InvitéInvité
Re: [Archivé] Dépressif mais pas tant que ça [ Arya ]
Dim 7 Avr 2013 - 13:45
Il la regarda encore quelques instants en silence. Soudain un sourire apparut sur ses lèvres et il dut lutter pour ne pas exploser de rire.
Alors se mordant la lèvres il déposa son charment paquet sur le sol et respira profondément pour ne par rire, les yeux rieurs a la limite des larmes.
le démon sa calma enfin au bout de quelques minutes puis reprit totalement le controle de lui pour venir acculer encore une fois la succube contre le mur en face de lui.
Vois-tu, le fait d'imaginer une horde de séduisantes demoiselles a mes trousses me flattes et me fait fantasmer plutot que de m’effrayer.
Et puis si toi tu ne peux pas les arreter, moi je le peux, tu n'aura qu'a rester avec moi ~
il la regardait droit dans les yeux, attendant une réaction de sa part, silencieux.
- InvitéInvité
Re: [Archivé] Dépressif mais pas tant que ça [ Arya ]
Dim 7 Avr 2013 - 15:27
Je croise les bras surprise de la demande qu'il venait de me faire.
- Je ne doute pas que le fait qu'une bonne dizaine de superbes femmes sanguinaires qui te courent après, flattent ton ego, riais-je, mais tu connais la portée de ta demande j'espère. Je resterai avec toi qu'à la condition que tu me paies. Je suis seule et ça ne changera pas. C'est une liberté, une indépendance que je dois préserver mais c'est aussi une punition. Une succube vit en communauté avec les siens, moi je suis condamné à vivre en solitaire. Donc, si tu veux que je reste juste pour une partie de jambes-en-l'air, il faudra s'attendre à ce qu'une succube veuille te tuer, que tu risques ta vie pour l'abattre, puisque je ne peux le faire moi-même et que tu me paies. Je crois que tu as plus à y gagner si nous nous en tenons là... Je suis, en quelque sorte, maudite. Finis-je avec un sourire sans joie.
Je me surpris à espérer qu'il accepte. Le paiement était peut-être un peu trop mais je n'ai confiance en personne et s'il lui vient à l'idée de rompre le contrat, je pourrais toujours me consoler avec l'argent. Me consoler ? De quoi ? Je me fiche totalement de ce qu'il pourrait bien faire ! Qu'il joue s'il en a envie, c'est moi qui aurais l'avantage de la situation !... Ah ! Ma petite Arya ! Qui peut bien croire à ces histoires à part toi ?
- Tu vois ? Même les démons peuvent comprendre que le plaisir ne vaut pas le coût quand on a beaucoup trop à y perdre...
Avec un soupire résigné et abattu. Je contourne le blond et avance plus loin dans le couloir, pour arriver jusqu'à la porte de ma chambre que je referme derrière moi, après y être rentrée. Quand je levai les yeux, le mec de tout à l'heure, que j'avais totalement oublié, était allongé sur mon lit, entièrement nu. Comment a-t-il fait pour venir jusqu'ici ? Comment a-t-il su que c'était ma chambre ?
- Je ne doute pas que le fait qu'une bonne dizaine de superbes femmes sanguinaires qui te courent après, flattent ton ego, riais-je, mais tu connais la portée de ta demande j'espère. Je resterai avec toi qu'à la condition que tu me paies. Je suis seule et ça ne changera pas. C'est une liberté, une indépendance que je dois préserver mais c'est aussi une punition. Une succube vit en communauté avec les siens, moi je suis condamné à vivre en solitaire. Donc, si tu veux que je reste juste pour une partie de jambes-en-l'air, il faudra s'attendre à ce qu'une succube veuille te tuer, que tu risques ta vie pour l'abattre, puisque je ne peux le faire moi-même et que tu me paies. Je crois que tu as plus à y gagner si nous nous en tenons là... Je suis, en quelque sorte, maudite. Finis-je avec un sourire sans joie.
Je me surpris à espérer qu'il accepte. Le paiement était peut-être un peu trop mais je n'ai confiance en personne et s'il lui vient à l'idée de rompre le contrat, je pourrais toujours me consoler avec l'argent. Me consoler ? De quoi ? Je me fiche totalement de ce qu'il pourrait bien faire ! Qu'il joue s'il en a envie, c'est moi qui aurais l'avantage de la situation !... Ah ! Ma petite Arya ! Qui peut bien croire à ces histoires à part toi ?
- Tu vois ? Même les démons peuvent comprendre que le plaisir ne vaut pas le coût quand on a beaucoup trop à y perdre...
Avec un soupire résigné et abattu. Je contourne le blond et avance plus loin dans le couloir, pour arriver jusqu'à la porte de ma chambre que je referme derrière moi, après y être rentrée. Quand je levai les yeux, le mec de tout à l'heure, que j'avais totalement oublié, était allongé sur mon lit, entièrement nu. Comment a-t-il fait pour venir jusqu'ici ? Comment a-t-il su que c'était ma chambre ?
- InvitéInvité
Re: [Archivé] Dépressif mais pas tant que ça [ Arya ]
Dim 7 Avr 2013 - 16:11
Le démon la regarda partir un peu surprit.
Lorsque qu'elle referma la porte, il cligna deux trois fois des yeux pour être sur de ce qu'il venait d'entendre.
Alors qu'il était plongé dans ses pensés, la brune se releva et se jetta sur lui en pleurant et en essayant de le frapper.
Agacé, le démon la repoussa mais elle l'assaillait encore et encore. Énervé, il fini par l'attraper, et se dirigeant vers la porte de la succube dont il ne connaissait toujours pas le nom il l'enfonça d'un seul coup de pied.
Voyant l'homme allongé, nu, sur le lit et au vu de la taille de son attribut le démon ne put réprimer un nouveau rire.
son rire rauque éclata d'un seul coup et rebondit contre les murs pour emplir la pièce plongée dans l'obscurité .Il lâcha la brune qu'il tenait sous le bras, elle s'écrasa par terre tandis que le démon du s'appuyer contre un mur, se tenant les cotes et essayant tant bien que mal ses larmes.
Lorsqu'il réussit enfin a se calmé, le couple séparé pleurait dans un coin. Cette vue lui tira un autre de ses sourire pervers et sadiques.
Darkame se désintéressa totalement d'eux et se retourna vers la succube.
Bien, je crois que tu a plus a y'a gagner que tu ne le pense.
Comme tu le sais, je ne vais pas tarder a reprendre ce qu'il m'est dut. Dans quelques mois je serais de nouveau assis sur un trône.
De plus, puisque tu vis en exile, tu gagne la compagnie d'un charmant jeune homme, c'est a dire MOI.
Et en plus de ces deux choses déjà exceptionnelle, tu pourras te satisfaire de tout homme ou autre créature sur lesquelles tu aura jeter ton dévolu !
Le tarif sera définit plus tard, quoi que je trouve ça très dégradant de se faire payer pour dévoiler ses charmes.
Le démon avait simplement tendu la main et semblait plus joyeux que jamais avec son sourire jusqu'aux oreilles.
Lorsque qu'elle referma la porte, il cligna deux trois fois des yeux pour être sur de ce qu'il venait d'entendre.
Alors qu'il était plongé dans ses pensés, la brune se releva et se jetta sur lui en pleurant et en essayant de le frapper.
Agacé, le démon la repoussa mais elle l'assaillait encore et encore. Énervé, il fini par l'attraper, et se dirigeant vers la porte de la succube dont il ne connaissait toujours pas le nom il l'enfonça d'un seul coup de pied.
Voyant l'homme allongé, nu, sur le lit et au vu de la taille de son attribut le démon ne put réprimer un nouveau rire.
son rire rauque éclata d'un seul coup et rebondit contre les murs pour emplir la pièce plongée dans l'obscurité .Il lâcha la brune qu'il tenait sous le bras, elle s'écrasa par terre tandis que le démon du s'appuyer contre un mur, se tenant les cotes et essayant tant bien que mal ses larmes.
Lorsqu'il réussit enfin a se calmé, le couple séparé pleurait dans un coin. Cette vue lui tira un autre de ses sourire pervers et sadiques.
Darkame se désintéressa totalement d'eux et se retourna vers la succube.
Bien, je crois que tu a plus a y'a gagner que tu ne le pense.
Comme tu le sais, je ne vais pas tarder a reprendre ce qu'il m'est dut. Dans quelques mois je serais de nouveau assis sur un trône.
De plus, puisque tu vis en exile, tu gagne la compagnie d'un charmant jeune homme, c'est a dire MOI.
Et en plus de ces deux choses déjà exceptionnelle, tu pourras te satisfaire de tout homme ou autre créature sur lesquelles tu aura jeter ton dévolu !
Le tarif sera définit plus tard, quoi que je trouve ça très dégradant de se faire payer pour dévoiler ses charmes.
Le démon avait simplement tendu la main et semblait plus joyeux que jamais avec son sourire jusqu'aux oreilles.
- InvitéInvité
Re: [Archivé] Dépressif mais pas tant que ça [ Arya ]
Dim 7 Avr 2013 - 16:56
Mes yeux s'étaient agrandis. Après avoir déboulé dans ma chambre et hurlé de rire à la vue du bouffon sur mon lit, le démon de tout à l'heure venait d'accepter ma proposition. Et il était sérieux en plus ! Un immense sourire inonda mon visage j'en rigolai même de bonheur. Je lui pris la main qu'il me tendait, scellant un pacte silencieux.
- Tu sais, ce n'est pas la première fois que je fais payer. Dis-je, toujours avec le sourire. Le principal c'est que je fasse des heureux, non ? Ne t'inquiète pas ! Pour toi, je ferai un rabais.
J'avais ponctué ma phrase par un clin d'oeil aguicheur. Je me rapprochais doucement de lui.
- Et puis, comme ça je t'aiderai à le reprendre ce trône. Mais assez parlé, passons à l'action. Déclarais-je avec un air coquin.
Ma main toujours dans la sienne, je le tiré vers le lit sans le lâcher des yeux. A l'arrivé, je me tournai vers le poltron recroquevillé.
- Dégage ou je t'arrache les boyaux par l'orifice. Emmène ta traîné avec toi.
Ma voix était sourde et très sérieuse, il se leva donc, non sans trembler et tira presque sa prostituée dehors en refermant la porte derrière lui.
Je souris alors et poussai mon démon sur le lit avec un sourire vainqueur. J'enlevais mes bottes, mon manteau noir, ne restant que ma combi-body et mes bas de fines laine de la même coleur, puis m'assis sur ses genoux.
- Au fait, moi c'est Arya.
- Tu sais, ce n'est pas la première fois que je fais payer. Dis-je, toujours avec le sourire. Le principal c'est que je fasse des heureux, non ? Ne t'inquiète pas ! Pour toi, je ferai un rabais.
J'avais ponctué ma phrase par un clin d'oeil aguicheur. Je me rapprochais doucement de lui.
- Et puis, comme ça je t'aiderai à le reprendre ce trône. Mais assez parlé, passons à l'action. Déclarais-je avec un air coquin.
Ma main toujours dans la sienne, je le tiré vers le lit sans le lâcher des yeux. A l'arrivé, je me tournai vers le poltron recroquevillé.
- Dégage ou je t'arrache les boyaux par l'orifice. Emmène ta traîné avec toi.
Ma voix était sourde et très sérieuse, il se leva donc, non sans trembler et tira presque sa prostituée dehors en refermant la porte derrière lui.
Je souris alors et poussai mon démon sur le lit avec un sourire vainqueur. J'enlevais mes bottes, mon manteau noir, ne restant que ma combi-body et mes bas de fines laine de la même coleur, puis m'assis sur ses genoux.
- Au fait, moi c'est Arya.
- InvitéInvité
Re: [Archivé] Dépressif mais pas tant que ça [ Arya ]
Lun 15 Avr 2013 - 13:34
Dégage ou je t'arrache les boyaux par l'orifice. Emmène ta trainée avc toi.
Le démon ne pu réprimer un sourir sadiquement satisfait.
Il regarda la succube et murmura quelques propos sur le fait de la distinction de cette phrase et des autres propos comme quoi les démons étaient soit disant dégoûtant..
Il ne lui en teint pas rigueur très longtemps, cols unit puis aussi sur le lit, sa succube puisqu'il peut maintenant utiliser se qualificatif, sur les genoux. Sa combi moulait bien trop des formes pour que le démon ne puisse de retenir encore de les caresser.
Elle fini par lui donner son prénom, Arya, un autre sourire vit le jour sur les lèvres de Darkame.
Tout en caressant la peau douce de ses cuisses et entre de baisers dans le cou il lui souffla le sien.
Bien Arya, le démon avec qui tu vas passer le reste de ta vie se prénomme Darkame et maintenant chut et laisse moi profiter de ce succulent moment .
Pour lui intimer cet ordre il l'embrassa furieusement la collant plus fort contre lui.
- InvitéInvité
Re: [Archivé] Dépressif mais pas tant que ça [ Arya ]
Mar 16 Avr 2013 - 22:57
Darkame.
Une nuée de papillons s'agita dans mon ventre.
Il m'embrassa fiévreusement, m'intimant au même moment le silence. Ma langue exigea presque aussitôt l'entrée de sa bouche et il s’exécuta, entrouvrant légèrement les lèvres histoire de me taquiner. J'en profitai promptement et vins immédiatement frôler la sienne, la caresser, la titiller. Ma langue était comme un serpent vif et chaud.
Au bout d'un certain moment, je dû m'éloigner pour respirer. Mais même si la séparation était une torture, j'appréciais la pause.
- Sais-tu que je ne mourrais pas avant très... Très... Très... Très... Très... Longtemps ? Susurrais-je contre son cou, d'où je ponctuais mes pauses par des baisers brûlants. Ce qui ne me dérange pas en somme...
Je l'attirai à moi pour l'embrasser avec fougue. Oh oui, cela ne me dérangeait pas ! La chaleur du corps de Darkame m'envahis. Ma tête me tournait à tel point que j'avais l'impression de tomber en arrière, alors que j'étais bien cramponnée au démon.
Je le poussai alors sur le lit, le surplombant. Je prenais goût au petit jeu auquel nous jouons. Le bout de mes lèvres frôlèrent alors la cicatrice lui barrant l'oeil. Continuant mon chemin, je suis le relief de sa mâchoire puissante d'où striait de minuscules points de poils qui me donnèrent un frisson incontrôlé. Je poursuis avec son cou à la fois fin et solide, traversant la bosse de sa clavicule pour enfin arriver à son torse musclé. Je posai alors ma paume, voulant profiter pleinement de tous les centimètres de peau que je pourrais toucher. Mais son haut d'habit me gênait et il ne me fallut pas longtemps pour m'en débarrasser. A la vue de son torse parfaitement dessiné, j'en restai pétrifié d'admiration et d'une envie folle de le lacérer avec mes ongles, juste histoire de détruire cette beauté qui me faisait languir et me déchirer de l'intérieur.
Je me mis sur les genoux, faisant glisser lentement le bout de mes doigts dans les lignes qui révélaient sa puissance à tous ceux qui seraient assez fous pour le défier. Quand ils arrivèrent à son bas-ventre, stoppé par le pantalon, j'empoignai alors celui-ci, affirmant ma volonté pour la suite et me baissai lentement tout en ancrant mes émeraudes foncés de désir dans son regard ardant, pour finalement dessiner une fine ligne avec ma langue, de son nombril jusqu'au tissu solide.
Je souris alors, espiègle, attendant qu'il réponde à mon jeu.
Une nuée de papillons s'agita dans mon ventre.
Il m'embrassa fiévreusement, m'intimant au même moment le silence. Ma langue exigea presque aussitôt l'entrée de sa bouche et il s’exécuta, entrouvrant légèrement les lèvres histoire de me taquiner. J'en profitai promptement et vins immédiatement frôler la sienne, la caresser, la titiller. Ma langue était comme un serpent vif et chaud.
Au bout d'un certain moment, je dû m'éloigner pour respirer. Mais même si la séparation était une torture, j'appréciais la pause.
- Sais-tu que je ne mourrais pas avant très... Très... Très... Très... Très... Longtemps ? Susurrais-je contre son cou, d'où je ponctuais mes pauses par des baisers brûlants. Ce qui ne me dérange pas en somme...
Je l'attirai à moi pour l'embrasser avec fougue. Oh oui, cela ne me dérangeait pas ! La chaleur du corps de Darkame m'envahis. Ma tête me tournait à tel point que j'avais l'impression de tomber en arrière, alors que j'étais bien cramponnée au démon.
Je le poussai alors sur le lit, le surplombant. Je prenais goût au petit jeu auquel nous jouons. Le bout de mes lèvres frôlèrent alors la cicatrice lui barrant l'oeil. Continuant mon chemin, je suis le relief de sa mâchoire puissante d'où striait de minuscules points de poils qui me donnèrent un frisson incontrôlé. Je poursuis avec son cou à la fois fin et solide, traversant la bosse de sa clavicule pour enfin arriver à son torse musclé. Je posai alors ma paume, voulant profiter pleinement de tous les centimètres de peau que je pourrais toucher. Mais son haut d'habit me gênait et il ne me fallut pas longtemps pour m'en débarrasser. A la vue de son torse parfaitement dessiné, j'en restai pétrifié d'admiration et d'une envie folle de le lacérer avec mes ongles, juste histoire de détruire cette beauté qui me faisait languir et me déchirer de l'intérieur.
Je me mis sur les genoux, faisant glisser lentement le bout de mes doigts dans les lignes qui révélaient sa puissance à tous ceux qui seraient assez fous pour le défier. Quand ils arrivèrent à son bas-ventre, stoppé par le pantalon, j'empoignai alors celui-ci, affirmant ma volonté pour la suite et me baissai lentement tout en ancrant mes émeraudes foncés de désir dans son regard ardant, pour finalement dessiner une fine ligne avec ma langue, de son nombril jusqu'au tissu solide.
Je souris alors, espiègle, attendant qu'il réponde à mon jeu.
- InvitéInvité
Re: [Archivé] Dépressif mais pas tant que ça [ Arya ]
Lun 20 Mai 2013 - 13:30
Il frissona longuement.
D'abord les doigts d'Arya avaient dessiné la ligne de ses muscles, puis sa langue, titillant sa peau tiède, l'avait fait frémir au plus profond de lui.
Le démon la renversa soudainement pour se retrouver en position de force, la succube sous lui, la tête entre ses bras musclés. Il n'avait qu'à plier les bras pour l'embrasser, ce qu'il fit sans plus d'hésitation.
Tout en caressant du bout des lévres la peau chaude et douce de son cou, ses mains parcouraient avidement le corps de sa partenaire, ne voulant pas oublier une parcelle de peau qui lui appartenait désormais.
Gêné par le cuir, il défit lentement la fermeture éclair qui retenait les seins de sa compagne, déposant a chaque arrêt un baiser ardent sur sa peau.
Arrivé au nombril, le démon releva la tête et revint embrasser les lèvres pulpeuses de la succube tout en dégageant sa poitrine de leur gaine de cuir.
Se redressant doucement il découvrit alors deux seins ronds, fermes, a la couleur exquise dont la peau semblait aussi douce que du satin.
Il est alors normal qu'il ne pût réprimer l'envie d'y poser ses lèvres quelques secondes, s'impréniàt au passage du parfum surcré de la peau d'Arya.
Le démon se redressa a nouveau et posa les yeux sur le corps magnifique qui n'attendait que lui, il se mordi la lèvre inférieure et glissa sa main gauche dans celle de la succube en l'embrassant a nouveau, tandis que la droite venait titiller son téton rose et aguicheur maintenant découvert.
Son rythme cardiaque s'accélérait de minute en minute.
Sa main avait prit plus d'assurance sur le sein de la succube, le démon jouait subtilement avec avant de soudainement venir mordiller le téton qui lui faisait de l'œil depuis qu'il l'avait découvert.
- InvitéInvité
Re: [Archivé] Dépressif mais pas tant que ça [ Arya ]
Jeu 23 Mai 2013 - 21:13
Il me touchait partout, laissant des traces brûlantes et indélébiles sur ma peau. Il m'embrassait avec ferveur et passion et moi, je répondais avec encore plus d'intensité, espérant me noyer en lui. Je me sentais fondre alors que, paradoxalement, je me crispais sous les tremblements de ma faim. Cette faim que j'ai vainement essayé de réprimer.
A quoi bon renier ma nature ? Je suis une succube. Un être supérieur capable de réduire en esclavage tout être pourvu de désir et de les en condamné. Mais là, je ne contrôle plus rien. Comme si c'était moi qui étais réduit à assouvir les pulsions de ce démon et je pris peur. Pour le première fois de ma vie j'ai vraiment eu peur. Peur de ne pas pouvoir garder ce statut de dominatrice, de meneuse de jeu, et que je sois, à mon tour, asservit. Très étrange comme sentiment et surtout très détestable.
D'un coup, j'agrippe les épaules de mon bourreau et le renverse sur le dos. A califourchon sur lui, les mains toujours crispé sur les épaules, je décide de le traiter comme les autres. En même temps, pourquoi ne le ferais-je pas ? Mes ongles se plantent profondément dans sa chair, juste pour lui faire mal, pour le plaisir de voir son visage se tordre. Mais ma vue s'obscurcit, et je ne pus voir ce visage. Une faim sexuelle fait hurler tout les muscles de mon corps et mes pupilles se dilate dangereusement. J'ai tellement faim ! Ma respiration se fait de plus en plus lourde, de plus en plus saccadé. Des grognement bestiaux montent de ma gorge. Ma mâchoire me fait mal, comme si je voulais ardemment enfoncer mes dents dans sa chair et déchirer chaque fibre de sang, arracher tout ce qui se trouvait sous mon corps. Quand une succube a faim et qu'elle ne peut pas se nourrir correctement, elle devient un monstre affamé, rempli de désir, de pulsion.
Je me relève précipitamment dès que je pris conscience de ce que je faisais, le coeur battant qui faisait convulser ma poitrine, ma respiration toujours lourde. Mais même après ce sursaut, je plongeais de nouveau dans cette transe incontrôlable. Je voyais flou sous le coup de mon trouble, mais je voyais encore mon démon et ces prunelles verte et rouge derrière un rideau flavescent. J'étirais alors, un sourire carnassier. Il allait voir ce qu'était une vraie succube !
A quoi bon renier ma nature ? Je suis une succube. Un être supérieur capable de réduire en esclavage tout être pourvu de désir et de les en condamné. Mais là, je ne contrôle plus rien. Comme si c'était moi qui étais réduit à assouvir les pulsions de ce démon et je pris peur. Pour le première fois de ma vie j'ai vraiment eu peur. Peur de ne pas pouvoir garder ce statut de dominatrice, de meneuse de jeu, et que je sois, à mon tour, asservit. Très étrange comme sentiment et surtout très détestable.
D'un coup, j'agrippe les épaules de mon bourreau et le renverse sur le dos. A califourchon sur lui, les mains toujours crispé sur les épaules, je décide de le traiter comme les autres. En même temps, pourquoi ne le ferais-je pas ? Mes ongles se plantent profondément dans sa chair, juste pour lui faire mal, pour le plaisir de voir son visage se tordre. Mais ma vue s'obscurcit, et je ne pus voir ce visage. Une faim sexuelle fait hurler tout les muscles de mon corps et mes pupilles se dilate dangereusement. J'ai tellement faim ! Ma respiration se fait de plus en plus lourde, de plus en plus saccadé. Des grognement bestiaux montent de ma gorge. Ma mâchoire me fait mal, comme si je voulais ardemment enfoncer mes dents dans sa chair et déchirer chaque fibre de sang, arracher tout ce qui se trouvait sous mon corps. Quand une succube a faim et qu'elle ne peut pas se nourrir correctement, elle devient un monstre affamé, rempli de désir, de pulsion.
Je me relève précipitamment dès que je pris conscience de ce que je faisais, le coeur battant qui faisait convulser ma poitrine, ma respiration toujours lourde. Mais même après ce sursaut, je plongeais de nouveau dans cette transe incontrôlable. Je voyais flou sous le coup de mon trouble, mais je voyais encore mon démon et ces prunelles verte et rouge derrière un rideau flavescent. J'étirais alors, un sourire carnassier. Il allait voir ce qu'était une vraie succube !
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