[Terminé] Retrouvons-nous [pv Nathalia et Angel]

Ce petit moment prvilégié quotidien avec Odéline était toujours agréable. Nathalia le savourait souvent son amie avait une aura tellement apaisante pour Nathalia que quand elle buvaient le thé ensemble elle avait l'impression que rien ne pouvait venir entacher ça. C'est soupirante de bien être qu'elle bu sa première gorgée avant d'entendre les mots qui font toujours des frissons dans le dos.

"Nathalia, j'ai quelque chose à te dire"

*Ca y est Siffroy et elle ne voulaient plus d'elle dans leur maison ? Siffroy avait un souci de santé grave ? Ils allaient divorcer ? Quoi qu'est ce qui se passe pour que Odéline ait l'air si désolée et inquiète de ce qu'elle avait à annoncer. *

"Il y a environ deux mois, le père de Noïa a frappé à la porte.[...]"

*Angel ici ? quoi mais ? Je dois partir on est en danger je vais aller chercher Noïa on laissera un mot à siffroy que seul lui comprendra et on partira loin jusuq'à ce qu'il perde notre trace. Il faut partir vite*

Nathalia tremblait de tout son être elle n'entendait plus vraiment ce que son amie lui disait la panique était palpable dans son regard.

"[...] Je sais qui il est, mais je crois qu’il aimerait changer et veut vraiment vous voir. [...]

Les mots prononcés par Odéline avaient ramené Nathalia dans l'instant présent. Son regard était fixée sur son amie et elle l'écoutait maintenant attentivement.

"[...]Je lui ai dit que je refusais qu’il vienne te rencontrer ici, et qu’il ne verrait pas Noïa sans t’avoir revue, que vous ayez pu discuter. Je ne veux rien t’imposer, mais il t’attend dans un café, tu sais, celui à trois rues où on ne va pas beaucoup. Tu n’es obligée à rien, tu fais ce que tu veux. Je suis désolée de ne rien t’avoir dit pendant tant de temps, je pensais d’abord le sonder un peu, avant sans doute de refuser, mais … Ca s’est éternisé, et je n’ai pas à prendre de décision à ta place. Je te soutiendrai quoi que tu décides, et s’il ne doit plus jamais revenir, il ne reviendra plus jamais. Je suis désolée de t’imposer ça."

Les larmes coulaient sur ses joues elle était totalement incapable de dire quoi que ce soit. Elle était en état de choc. L'amour de sa vie pour qui elle avait fait l'erreur d'abandonner leur fille, celui a cause de qui elle était tombée dans la drogue et l'alcool et des délires absurdes., il était là à l'attendre. Il l'attendait elle et ce n'était plus elle qui l'attendait. Elle voulu serrer la main d'Odéline en retour pour lui montrer qu'elle avait compris son geste mais c'est comme si toutes les forces avaient quittées sont corps. De longue minute passèrent où l'aniformus n'était pas du tout présente enfin si elle était là physiquement mais une poupée de cire aurait fait tout autant l'affaire. Et petitt à petit elle repris ses esprits.

"Je peux avoir un peu plus de sucre dans mon thé s'il te plait ? "

Odéline lui servit un peu de sucre.

"Bon tu es entrain de me dire que l'homme que je n'ai jamais cessé d'aimer une seule seconde de ma vie est entrain de m'attendre à deux patés de maisons d'ici ? c'est bien ça ?

Elle pris la main de son amie entre les deux siennes.

"Odéline je t'en prie vient avec moi je ne veux pas y aller seule je ne veux pas perdre la raison encore une fois. Il est dangereux mais je l'aime tellement."

Elle avait l'impression d'être remonté à ce jour ou elle avait appris l'existence d'un bébé en création dans son organisme et la prétendu mort de l'homme qu'elle allait maintenant retrouver.  Cette sensation que tout ce qui était fait était fait de manière automatique par son corps et qu'elle n'avait pas vraiment de pouvoir y fare quelquelque chose mais cette fois si elle ne marchait pas seule et Odéline lui donnait toute sa force pour tenir debout et continuer à marcher vers son passé et peut être son avenir  Toutes les fois où elle s'était arrrêtée en chemin c'était pour savoir si elle avait encore le contrôle de ses pieds et qu'elle pouvait faire demi tour à tout moment. Et elle l'avait vérifié celà  très souvent.  Puis devant le café elle s'était figée serrant la main d'Odéline faisant même un pas en arrière. Elle ne voulait plus elle ne voulait plus voir l'amour de sa vie.  Et en prononçant cette phrrase dans sa tête elle se rendit compte qu'elle en mourrait d'envie parce que elle n'y croyait pas il ne pouvait pas être là il ne l'aurait pas attendu aussi longtemps elles avaient mis tant de temps à venir qu'il ne serait plus là de toute façon surement reparti trouver Eden et lui faire un enfant à elle aussi.

Voilà la colère était l'émotion qui la protégerait bien plus que la peur ou la tristesse. La colère c'est avec cette émotion qu'elle avait passé la port mais aussitôt les cheveux en batailles reconnu la olère s'était envolée laissant place  la surprise. Elle l'avait fixé du début à la fin du trajet jusqu'à s'asseoir en face de lui tenant Odéline et ne la lâchant sous aucun prétexte.

"servez-vous, c’est pour vous"

Elle pencha la tête sur le côté continuant de l'observer cherchant chaque similitude avec ses souvenirs et tout ce qui avait changé depuis la dernière fois ou ils avaient eu une conversation. Une vraie conversation pas sur le terrain des jeux Olympique.

"Ahem … Merci. D’être venue. J’avais peur que … Tu ne veuilles pas."

Elle fronça les sourcils il y avait quelque chose dans sa voix de changé. Elle ne savait pas quoi.

"J'aurais compris. Je suis … content que tu sois là."

Les larmes montaient doucement dans le regard de Nathalia. Elle avait espérait entendre ces mots pendant tant d'année. Le soir à l'hôpital elle regardait par la fenêtre prenant n'importe quelle ombre d'oiseau nocturne pour celle de son Angel et là c'était belle et bien lui qui prononçait ces mots lui disant qu'il était content de la voir. Elle voulait hurler sa joie sa colére sa peur son étonnement tout ce qu'elle ressentait mais aucun son ne sortait de sa bouche. juste les pression rgulière de la main de son amie la raccrochait à la réalité. Tout ceci n'est pas un délire de son esprit malade non.

"Je suis désolé, pour toutes … ces années. Je te présente toutes mes … excuses."

Il était désolé ? Ca c'était vraiment nouveau elle avait besoin de vérifier si c'était bien le même Angel qu'elle connaissait et pas juste quelqu'un qui se faissait passer pour lui. Et pour ça elle devait savoir.

"Tu n’as pas à me pardonner. Je ne suis pas là … Pour ça."

La rouquine redressa sa tête défronça ses sourcils ça y est elle avait trouvé elle savait comment tester si c'était bien lui. Un moment qui était à eux rien qu'à eux et que personne d'autre qu'eux ne serait capable de reconnaître.  La voix d'Odéline lui permettait toujours l'assurance de la réalité.

elle lui lâcha doucement la main.  se levant se dirigeant vers Angel jusuq'à pouvoir lui attraper doucement la main et la guider jusqu'à son coeur. Pas sa poitrine non son coeur juste en dessous.

"Ecoute. Tu crois vraiment qu’il battrait ainsi si c’était un simple pardon ?"

Elle l'avait légèrement modifié mais c'était cette phrase qu'il lui avait dite et que leur histoire avait commencé. puis elle retourna s'asseoir guettant la réaction de l'homme et récupérant la main de son amie

C'était bien lui tout ça état bien vrai. Elle le voyait il savait il savait alors c'était forcément lui. Alors Nathalia s'autorisa à le lâcher des eux quelques secondes pour regarder Odéline et lui sourire. C'est le moment qu'avait choisit le serveur avait choisit d'interrompre ce moment hors du temps. Comme un chien dans un jeu de quille il avait fait exploser cette bulle dans laquelle était enfermée Nathalia depuis son entrée ici. Elle fit signe qu'elle prenait la même chose que son amie avant de reposer de nouveau ses yeux sur l'homme qui l'avait tant brisée.

"Quand je te regarde je sais que tu souffre je sais que ce que j'ai vécu ça te fait aussi mal que ce que j'ai pu avoir mal et c'est parce qu'une part de moi est heureuse de savoir que tu souffre que je comprends pourquoi tu as fait tout ce que tu as fait enfin je crois..."

Elle pris une pâtisserie et en découpa une miette sans même la porter à sa bouche elle avait juste besoin de s'occuper les doigts sans briser ceux d'odéline. Ca y est les émotions affluaient et elle savait qu'elle ne pourrait plus maîtriser grand chose et qu'elles allaient toutes passées et dans un ordre indéterminé. Il semblait que la première a vouloir sortir était la colère.

"En fait non je ne comprends rien du tout si ce n'est que tu ais voulu me faire souffrir à un moment donné pour une raison que j'ignore. Si tu peux me la donner j'en serais ravie et en suite tu n'étais pas obligée d 'Embarquer Ede,=n avec toi là dedans si ? Et pourquoi bon sang pourquoi ?"

Et voilà la tristesse qui débarque en même temps que les larmes.

"Je sais que tu sais ce que ça fait d'être seul. J'étais si seule si tu savais si seule avec pour seul compagnie ça "

Elle sortie de son décolleté le pendentif qui ne la quittait jamais elle l'ouvrit lui montrant une photo de Eden et elle ainsi qu'une photo de eux deux et une photo d'elle et Noïa bébé laissant tomber le bout de tissu qu'elle avait récupéré sur le lieus de sa sois disant mort. Celui qu'elle avait montré à Noïa la première fois qu'elle était venu la voir à la maison de repos.

"J'en ai même abandonné notre fille tellement j'étais obsédée par l'idée de te retouver pour ne plus ressentir le vide. Par un brin de jugeote je l'ai laissée à la personne la plus merveilleuse que la lune ait jamais porté"

C'était tristesse et colère qui parlaient elle posa la main sur la jambe de Odéline un instant comme pour lui dire merci d'être qui tu es et d'être là encore.

"Tu ne sais pas ce que c'est d'abandonner son propre enfant. L'enfant que tu ne supportait plus regarder dans les yeux car ce tout petit bébé minuscule et inoffensifavait le même regard que son "défunt" père."

La colère était remontée en flèche pourtant elle parlait bas elle ne voulait que personne d'autre n'entende ce qu'elle avait à dire. Seul le gâteau qui finissait en confetti et les traces de mascaras sur ses joues étaient les témoins des émotions balancé la tronche de cet homme.

"Alors explique moi explique moi pourquoi j'ai subi tout ça dans quel but ? tu étais où ? Et pourquoi tu voulais me détruire et tu as presque réussi à le faire plusieurs fois d'ailleurs ? "

La présence d'Odéline était une bénédictions des Grands Rois. Sans ça Nthalia n'aurait jamais tenu le coup elle aurait fuit à toute jambes sans avoir de réponses à ses questions. Questions qu'elle mourrait d'envie de poser. Elle était pendue aux lèvres de son ex amant, l'écoutant attentivement, buvant ses paroles comme si elles allaient expliquer tout ce qu'il clochait chez elle mais ce n'était pas le cas. Plus son récit avançait plus elle sentait son coeur se briser en autant de miettes que le biscuit qu'elle avait nerveusement massacré.
Elle le reconnaissait bien là, il n'avait jamais était doué pour dire les choses et encore moins quand il s'agissait de choses qui le touchait personellement et qui pouvait blesser la personne en face.

La tristesse avait pris le pas sur la colère et Nathalia avait du mal à retenir ses sanglots quand il lui racontait comment il avait séduit Eden alors que Daël lui avait volé ce baiser. Elle n'en avait jamais voulu et il était évident pour elle que si il n'aait pas été dans l'équation tout n'aurait pas tourné au cauchemars comme ça pour la famille Koneko-Dust Il la haïssait et il voulait la détruire. Est ce que ça lui était vraiment passé ? Nathalia n'en était pas certaine.
Sournoisement insidieusement la peur était venu se glisser dans les sentiments de la rouquine. C'est quand il se mit à parler de drogue et d'enfants tout ça dans la même phrase que la peur sauta littéralement à la gorge de la maman.

Face à la peur il y a trois façon de réagir, la fuite qui était inenvisageable, l'attaque qui avait été considéré mais abandonné puis l'immobilité, faire la morte dans l'espoir que le prédateur passe son chemin. Le prédateur ici était Angel Dust, le plus grand tueur à gage qu'elle n'ait jamais connu puis aussi le sbire de l'entité la plus dangereuse d'Elysion. Nathalia Koneko petite aniformus de presque 30 ans n'avait aucune chance face à un tel prédateur.

Et pourtant la peur se dissipa quelques instant plus tard. Il ne l'avait pas fait. Il n'avait pas drogué sa fille ni utilisé cette dernière pour la corrompre non. Il était tombé en amour pour elle comme un père le fait quand il coupe le cordon et entend le premier cri de son enfant. Ainsi la peur qui habitait la petite proie fit place à un sentiment de compassion. C'était étrange elle avait peur et était en colère contre Angel mais avait de la compassion pour le père de sa fille. Ainsi elle ne put retenir le besoin de lui caresser la main qui était sur la tasse. Ce fut u geste furtif mais tendre. Elle avait à peine touché qu'elle avait retiré immédiatement sa main presque comme si ce contact l'avait brulé.

C'était maintenant de nouveau son tour de parole.

"Ta fille, Notre fille, ne sait pas que tu es en vie. Et elle ne le saura pas jusqu'à ce que je comprenne et que je sois certaine que tu n'es pas un danger pour elle. Et ça c'est pas gagner quand tu me hais encore. Je ne crois pas qu'on puisse se débarasse de se sentiment aussi facilement. Et si tu me hais tu voudra encore me faire du mal et me faire du mal n'est pas une bonne chose pour notre enfant. Alors je vais te demander de ne plus me haïr pour pouvoir espérer un jour la voir. "

Elle avait lâcher ses conditions maintenant elle allait revenir sur des détails du réçit de l'amour de sa vie pour mieux comprendre.

" Il y a des choses que je ne comprend pas. Daël était le seul responsable il n'y a pas une seconde de ma vie ou j'ai cessé de t'aimer et un baiser non partagé a suffit pour détruire tout l'amour que tu me portais ? Est ce que tu m'as ne serait ce qu'aimé un jour ? Et puis je comprends que tu ne veuilles pas en parlé et tu n'es pas obligé mais ces tortures dont tu parles je ne les comprends pas tu es l'homme le plus fort que je connaisse pour resister à ce genre de choses ... enfin j'aimerais comprendre comment ils ont fait pour te détruire à ce point et comment faire pour... pour... pour te réparer..."

Elle avait chuchoté les trois dernier mots presque comme si elle avait honte de vouloir encore le sauver après tout ce qu'il venait de lui raconter.

Elle s'était vidée peu à peu de ses émotions. Nathalia ne tremblait presque plus comme si elle avait fini de ressentir tout ce qu'elle avait à ressentir. Ca avait été un torrent qu'elle avait lâcher sur Angel Dust 10 ans d'émotion envoyé en pleine face en moins d'une heure. Dix ans d'émotion résumé à se torrent.

Elle le sentait elle avait assez pleuré. Elle avait assez été en colère elle avait été assez effrayés, elle avait été assez triste maintenant il fallait protéger. Avant tout protéger Noïa puis peut être après Angel. Et il était hors de question que Siffroy et Odèline et tout ce qu'ils avaient entreprit de bâtir ensemble ne souffre dans cette histoire.

"Tu n'as jamais voulu que je travaille avec toi mais maintenant tu n'as plus le choix. Je ne te fais pas confiance ni pour nous protéger ni pour te protéger toi même. Tu vas devoir m'expliquer tout en détail absolument tout ce que j'ai à savoir pour pouvoir mettre notre fille en sécurité."

Le changement d'attitude avait été soudain. Alors que ses joues éttaient encore marqué par les sillons de larmes ses mains elles ne tremblaient plus , n'étaient plus accroché à celles d'Odéline son phare dans la tempête. Non maintenant elle les avaient croisé devant elle prête à y déposer son menton quand elle aurait fini de parler. Cela était surement la première fois que et l'un et l'autre pouvait voir ce côté de Nathalia ce côté froid et prêt à tout qu'elle s'était forgé en cherchant désespérément ce qui était arrivé à l'amour de sa vie.

"Quand j'aurais toutes les cartes en main je te raconterai ce que j'estime que tu mérite de savoir sur notre fille."

Elle était dure avec cet homme qu'elle voyait exprimer des émotions qu'elle n'aurait jamais su lire sur son visage alors qu'il la formait. Leur première leçon avait été celle de la séduction ou il l'avait engueulé car elle n'en faisait pas assez et en montrait trop de ses véritables émotions et intentions. Aujourd'hui il pouvait voir qu'il lavait conntinué de la former même quand elle le croyait mort.

Un instant elle avait espéré une autre réponse que celle qui lui servait. Il était normal qu'il ne puisse rien dire de plus mais qui ne tente rien n'obtient rien. Elle soupira se laissant tomber au fond de sa chaise avant de se redresser pour boire un peu de son jus de fruit et de déposer sa tête sur l'épaule d'Odéline. Elle était vidée émotionnellement physiquement mais son cerveau trouvait encore la force on ne sait où de mouliner tout ce qu'il venait de lui dire. elle soupira une nouvelle fois avant d'attraper ce qui ressemblait à une tartelette à la framboise Elle s'aprêtait à mordre dedans squand elle s'embla s'interrompre elle même.

"Et si ... Non..."

Elle secoua la tête non ça ne marcherait pas si Inferno avait prit totalement possession du corps d'Eden elle n'existait plus du tout... Elle croqua dans sa tartelette poussant un petit soupir d'appréciation avant de reboire un verre de jus de fruit.

" Il doit bien y avoir un moyen de les détruire tout de même... Où de les renvoyer de là où ils viennent non ? "

Elle cogitait à toute allure et ne trouvait rien qu'elle puisse faire en même temps elle n'était personne.


" Odéline qu'est ce que tu penses de tout ça toi ?"

Elle voulait sincèrement l'avis de son amie et elle ne savait pas comment allait être interprété le tout ça mais peut importe l'avis d'Odéline comptait pour Nathalia et que ce soit concernant Angel ou concernant l'ombre elle voudrait savoir ce que son support moral sans faille pouvait bien en penser.

Nathlia écoutait sérieusement son amie jusuqu'à que celle ci la menace et menace Angel du doigt tendu. Enfin menace est un bien grand mot c'était plutôt une sorte d'avertissement. Nathalia jetta un regard qu'elle espérait complice à son ex-amant dont elle avait oublié le manque d'humour. Quand Odéline n'était plus dans son champs ed vision elle ne put s'empêcher de rire un peu. Cette fille était la personne la plus précieuse dans sa vie en dehors de son enfant. Une amie, une soeur, une maman, un pillier elle abordait encore bien des casquette et jamais Nathalia ne s'était dit pouvoir trouver quelqu'un sur qui compter autant dans sa vie.
Elle avait compté sur des gens dans sa vie. Les Sterben qu'elle avait blessé et fuit, Eden qu'elle avait blessé au ppoint de la faire disparaître et Angel dust qui était devant elle après presque dix année d'absence. Aujourd'hui c'était différent elle le savait elle avit construit une famille composé de piéce détachées avec Aëlia, Odéline, Siffroy, Noïa et Renild.

" Pourquoi tu n'es pas venu me voir moi directement ? Pourquoi passer par Odéline ?"

Elle avait cessé de rire et était revenu à son attitude serieuse. Elle voulait savoir pourquoi c'était son amie qui avait du subir les premiers pas de rédemption de Angel Dust.

"Tu sais que je ne t'aurais jamais fuit si tu m'avais trouvé un moment où  j'étais seule ? Quitte à mourir j'aurai préféré que ce soit de ta main. Bon ce n'est pas la question là. Juste je ne t'aurai pas fui. Je ne t'ai jamais fui..."

C'est vrai du soir ou elle avait suivit son odeur à aujourd'hui elle ne l'avait jamais fui. Elle l'avait toujours cherché et lui l'avait toujours fui. Du jeu du chat et de la souris il était le prédateur mais elle était le chat. Elle courrait sans arrête après la souris qui pouvait l'anéantir. Son amour pour Angel Dist est le plus grand de ses bonheur et le plus terrible de ses malheur pourtant Nathalia Koneko n'a jamais ne serait ce qu'envisager de vivre en cessant de penser à lui.

Elle pris une grande inspiration avant de fouiller dans sa veste qui était sur la chaise. Elle en sorti une série de photographies de photomaton en déchira une partie et la fit glisser face cachée à Angel. C'était une photo faite au pArc Tout est absolument génial Noïa et Elle avait sur la tête des serre tête à ressort avec des énormes coeur de toutes les couleurs au bout, sur la tête et elle faisaient une grimace. Elle remis le trois autres dans ssa poche de veste.

Nathalia l'avait observé en détail scrutant a moindre information sur le visage cde cet homme. Elle avait cru déceler une pointe de tendresse en regardant la photo de sa fille. Elle sentit son coeur fondre puis battre encore plus fort comme s'il voulait sortir de sa poitrine. Elle l'aimait elle l'aimait plus que tout au monde et son corps entiers était entrain de s'en rappeler. Cette pointe d'affection pour une photo avait suffit à raviver toute la flamme qui l'avait autrefois consumé presque entièrement.

"Merci. Elle te ressemble beaucoup. Elle est très belle, même en grimaçant. Je peux te demander où vous étiez, pour cette photo ?"

Sa voix toujours aussi froide eu pour effet de calmer le coeur de la rouquine. De la ramener dans la réalité qui était celle de ce jour où ils se retriuvait pour la première fois sansq qu'ils veuille la tuer.

" On était au parc Tout ets super génial pour son anniversaire avec Siffroy et Odéline. Je garde toujours sur moi cette série de photo que je trouve très drôle. Je sais que c'est pas ton truc de rire... Mais Noïa et moi on rit beaucoup ensemble d'ailleurs elle a un rire qui ressemble au mien."

Nathlia avait cherché le regard de Angel tout du long ou elle parlait. Quand elle évoquait Noïa et leur souvenirs ensemble elle souriait toujours. Elle voulu tenter de retouvcher encore une fois la main du tueur mais elle se ravisa au dernier moment. C'était trop pour une seule journée. Même si elle mourrait d'envie de le prendre dans ses bras de lui dire combien elle l'aime toujours et combien elle rêve de lui refaire l'amour. Odéline était entrain de revenir à leur table Nathalia la laissa passer pour s'asseoir.

"Tu as vu on a été sage tout le monde est vivant et encore là. "

Elle posa sa tête sur l'épaule de son amie en émettant un petit rire à la fois sincère gêné et nerveux. Oui nerveux. Tout ça en trop peu de temps avait mis tous les nerfs de nathalia à vif comme si on la picorait de partout mais en même temps elle était heureuse de sentir tout celà.

Nathalia, tu as encore des questions à lui poser ? Ou tu préfères remettre ça à un autre moment ? Tu ne te sens pas trop fatiguée ?

La rouquine se redressa doucement soudant son amie puis son ex amant. Est ce que elle avait encore des questions à lui poser ? Environ un million mais elle n'étaiit pas sure de pouvoir le faire maintenant. Un autre moment ? C'était une idée intéressante elle devait trier le pour et le contre. Si elle était fattiguée ? Elle était épuisée au bord de l'implosion de fatigue Elle ne savait plus si ses jambes la porteraient jusqu'à la maison et le reste était passé en mode pilote automatique depuis qu'elle avait cessé de pleurer. Tout des rire aux mots au fait de parler de manger était une vitrine quand à l'intérieur tout s'était écroulé. Elle ferait le tri plus tard.

"J'aimerai rester encore un peu si ça ne t'embête pas Odéline ? "

Ses yeux passèrent de la blonde au brun. Elle avait besoin de réimprimer son image dans sa mémoire comme si trop de chose avaient changé et pourtant elle reconnaissait ces traits qu'elle avait caressé des millions de fois qu'elle avait embrassé presque autant de fois.

"Qu'est ce que tu entends par faire les choses bien cette fois ci ? Je veux comprendre à quoi m'attendre dans un avenir proche"

C'était peut être la dernière question qu'elle allait lui poser aujourd'hui mais rien n'était sur. Elle avait besoin de rester à côté de lui encore un peu de s'imprégner de sa présence comme si elle était persuadée qu'il allait disparaître encore du jour au lendemain. Elle repris un petit gateau qu'elle mangea petit bouts par petits bouts toujours dans cette idée d'étirer le temps avant qu'on ne le lui vole.

"Je suis désolée de te faire répéter les choses et surtout celle qui doivent te paraitre évidente mais ... Mais tout ça est si soudain pour moi que j'ai besoin de réentendre de comprendre d'être sure d'avoir bien compris ..."

Son elle de masque social c'était fait la malle il avait lui aussi fait son maximum en mangeant ne pleurant pas riant même. Son masque social son masque de convention qui avait pris le relais quand elle s'étaiit vidée d'énergie et d'émotion avait été lui aussi épuyisé. Elle était de nouveau cette femme fragile qui avait passé la porte ne sachant pas différencier le réel et l'irréel de la situation.

Il était là elle en était certaine. Pourtant elle doutait aussi. Il voulait apprendre a connaître sa file elle entait certaine. Le doute était quand même là. Odéline savait tout Odéline était là. Odéline était réelle. Odéline lui répéterai elle aussi s'il le fallait. elle lui sera la main.

Elle s'imprégnait une dernière fois du visage de l'amour de sa vie et senntie que ce n'était pas suffisant. Mais elle devait garder ce besoin pour elle. Il ne la laisserait pas faire. Il ne l'aimait plus. Plus comme elle elle l'aimait.

"Pour ce qui est de ce revoir je te laisse estimer le temps et la sécurité nécessaire pour venir me voir en sortie de travail essaye plutôt quand je suis de service d'après midi je sais que tu sais comment t'informer correctement sur ça je ne me fais pas de soucis. Après ça on verra pour qu'un soir après l'école tu rencontre officiellement ta fille. "

Elle quitta le visage de l'homme un iinstant pour plonger dans les yeux de son amie. Ils était grands et bleu et bien réels.

" Odéline on peut rentrer à la maison."

Ce n'était pas une question mais une affirmation. Elle redirigea son regard vers Angel Dust. En se levant et en enfilant sa veste elle ne l'avait pas quitté des yeux. Elle devait lui passer devant pour se diriger vers la sortie.

"Au revoir... Angel ..."

Elle ne pu s'empêcher de caresser la joue avec un semblant de barbe dessus. Il était bien là c'était bien vrai. Elle marcha droite comme un i jusqu'à la sortie attendit de ne plus être dans le champs de vision de l'homme pour s'écrouler et pleurer encore et encore. A croire que les émotions n'étaient pas toutes sorties.

Alors que Odéline se glissait dan sle bain avec la rouquine cette dernière s'appuya contre elle laissant couler ses larmes une fois de plus. Elle n'en pouvait plus et pourtant elle continuait à laisser ses larmes couler.

"Merci Odéline merci. Je t'aime tellement Odéline. Tu es ma famille. Toi et Siffroy vous êtees ma redemption mon amour ma vie avec les petite. Et... je t'aime. "

Elle renifla un grand coup en sanglotant pendant qu'Odéline commençait à lui masser la tête.

"Et pourtant je l'aime aussi alors qu'il m' a fait si mal tu le sais qu'il m'a fait mal hin moi aussi je le sais et pourtant je l'aime j'avais juste envie de l'embrasser de le prendre contre moi de tout le temps où on était là bas j'avais tout mon corps qui voulait se jeter sur le sien j'ai lutté si fort si tu savais. "

Elle commençait à se c almer et lle se releva difficilement mais voulait regarder son amie dans les yeux pour lui demander la chose suivante. C'est ainsi les cheveux moussu et le maquillage tout étalé sur le visage qu'elle regardait son amie avec l'air le plus désespéré du monde se raccrochant à ses lèvres comme un enfant à ses rêve.

"Odéline promet moi de me garder près de toi et de Noïa. Promet le moi"