[Terminé] Les Zozios gazouillaient [Libre]

Comme à son habitude, Garmyr c'était perdu. . . oui je sais ce n'est pas très original mais c'est un peu répétitif d'être le narrateur de cette énergumène. Je trouve ça plutôt amusant personnellement mais là n'est pas le sujet.

Comme depuis quelques temps déjà, Garmyr cherchait à changer d'air, il voulait visiter le monde qui avait toujours été plus ou moins inaccessible. Comme il n'avait jamais été à Minos, il pris un bateau en partance d'Eaque pour cette contrée amicale et merveilleuse. Quoi de mieux que se baigner dans la clarté pour se changer les idées.

Garmyr se trouvait depuis déjà plusieurs jours sur cette planète mais n'avait toujours pas vu âmes qui vivent depuis qu'il avait quitté Elysée. Les champs élysés étant de vastes plaines, avec quelques collines et des longues vallées, Garmyr s'y était perdu. Après trois jours de marche au hasard, Garmyr s'était assoupis dans son dernier camp sous un majestueux arbre qui semblait perdu ici tout seul. La nuit débutait juste mais il était épuisé, il avait grand besoins de repos. Il n'entendait même plus le petit couple d'oiseaux au dessus de son camp.

Le décors enchanteur de cette contrée faisait rêver, mais elle n'avait rien de magique pour quelqu'un qui la parcourait seul. Garmyr dormait profondément quand un bruit réveilla la famille de boules de plumes, peut-être un animal attiré par les flammes. Les oiseaux qui étaient pris de panique d'être réveillé à cette heure-ci, firent tomber des pierres qui se trouvaient dans le nid, sans vraiment savoir pourquoi, sr Garmyr. Il se réveilla en sursaut empoigna Brenya, se frotta la bosse que lui avait causé le cailloux de sa mains libre et demanda d'un voix mal assuré:

- Quel oiseau. . . cailloux ??. . . Aille!... Qui est là ?

- Chuuuut ! Faites un peu moins de bruit voulez-vous ? Il risque de vous entendre !

La voix, inquiète, peu puissante et bizarrement étouffée, appartenait à une femme d'après les intonations.
Et elle venait des branchages de l'arbre.
Malgré la proximité avec la lumière du feu de camp, la propriétaire de cette voix était invisible.

Garmyr avait entendu la voix, il était faible mais avait suffisamment de force pour résoudre au silence ce qui l'avait réveillé. Avec un visage blasé et peu réveillé (-->u_u comme ça )... Il n'hurla pas mais dit.
- Quoi qui ose me réveiller quand je suis fatigué se feras fermer son clapet . . . Qu'est-ce qui ne doit ps m'entendre au juste?
Garmyr avait saisi Fridya à deux mains elle avait donc sa forme allongée et élargie.

La voix reprit, d'un ton un peu agacé cette fois :

- Ecoutez, je suis désolée d'avoir effrayé les oiseaux en débarquant dans cette arbre et avoir indirectement provoqué votre réveil... je vous en prie, rangez votre arme et cessez de gesticuler. Il ne sait pas que je suis ici, mais il est sûrement pas très loin et risque de comprendre très vite où je suis si vous attirez son attention.
Vous, vous ne l'intéresserez pas, alors vous n'avez aucune raison de brandir cette arme.

Garmyr rangea son arme.
- Bien tentez de vous faire dévorer en silence.
Il reprit place sur sa couchette et attendait le moment propice ou ses oreilles lui diront que la chose est là. Il était réveillé et cette vois attirait sa curiosités. Finalement il se redressa et se mit à griller de la viande qu'il avait gardé de son dernier repas.
- On vas voir si il ne s’intéresse pas à moi, pensa-t-il.

- Ça, si je peux éviteeeeeeeeeeeerr !

La phrase s'acheva dans un cri et, une seconde plus tard, un objet sombre d'environ dix centimètres tomba des branches , percuta le haut du crâne de Garmyr, rebondit avec un "Aïe" sonore et termina sa course par terre.
Apparue dans la lumière, l'objet en question se révéla être une femme vêtue d'une robe de voyage noire. Détail important : elle mesurait dix centimètres de haut.
Elle s'épousseta, et ramassa un masque blanc à sa taille dans l'herbe :

- Et merde... désolée, j'ai glissé.

Garmyr observa avec surprise l'être minuscule qui se dressait devant lui...
- Heum, je ne savais pas que Minos était peuplés d'êtres si ridiculement petit.
Soudain un oiseau fondit sur la fée... ou quoi que ce soit, mais Garmyr le fit disparaitre d'un coup de poing qui le fit voler loin hors de vue en lui faisant perdre quelques plumes.
- Celui-là réfléchiras à deux fois avant de vouloir vous dévorer encore.
Garmyr arracha un tout petit bout de sa viande et la tendit à la microscopique femme.
- Je sais pas si vous avez déjà eu le loisir de manger de la vrais viande... Mais tenez, je serais un mauvais guerrier si je ne proposait pas de l'aide aux nécessiteux..

- Huhu... normal, je ne suis pas de Minos.

La femme remit son masque sur son visage et, ignorant superbement le morceau de viande que Garmyr lui tendait, elle se rapprocha du feu.

- Au moins, l'odeur de la cuisson devrait cacher un peu la mienne.
Ah ! Avant que j'oublie : je ne sais pas où vous allez ni pourquoi vous y allez, mais vous faites fausse route.

Le ton de sa voix était maintenant amusé.
Une plume de l'oiseau que Garmyr venait de frapper tomba dans les flammes, et la femme l'observa se consumer en silence.

Garmyr l'observa de haut son air hautain commençait à le gratter.. Il dévora toute sa viande, ré-observa la lutine et lui lança.
- Je ne sais pas ce que vous faites là mais je crois que je vais vous laisser vous débrouiller avec vos problèmes. Je suis trop fatigué de toutes façon.
Garmyr attrapa une feuille de l'arbre qui était tombée et la déposa près du feu.
- Ça seras toujours mieux que de dormir dans la poussière.
Il arracha un bout de tissus d'une de ses sacoches et l'y déposa dessus.

- Vous êtes pleins de bonnes intentions ma parole ! Pour quelqu'un qui se balade avec autant d'armes sur lui, vous ne semblez pas avoir l'esprit très affuté par contre.
Enfin... je vous ai réveillé après tout, ceci explique peut-être cela. Ou étais-ce l'inverse ?

La femme tourna son masque lunaire vers Garmyr.
Après un long moment à l'observer sans rien dire, elle plongea son bras dans son sac et en sortit un grimoire presque aussi gros qu'elle.
Elle s'éloigna du feu et s'assit, le livre ouvert devant elle. Avec sa taille, elle disparaissait presque dans l'herbe...

- Voulez-vous que je vous raconte une histoire, pour vous aider à vous endormir ?
C'est un joli conte, pas encore terminé, sur les aventures d'un petit ourson et ses voyages...

Garmyr se fichait des piques que cette lutine lui envoyait.
- Au moins mes armes ne parlent pas ce qui en soi, est une qualité. Peu importe. je ne vous empêche pas de lire votre histoire à voix haute si vous le souhaitez.
Garmyr se demandait pourquoi c'était l'histoire d'un ourson.
- Un ourson.. C'est original.

- Aaaahhh... mais c'est peut-être que vous n'écoutez pas assez ! Peu importe, comme vous dites...
J'aurais pu choisir un autre animal pour ce conte, mais les ours ça marche bien généralement... rapport à l'identification au personnage toussa...

Elle tourna plusieurs pages de son livre. C'était difficile à dire vue la taille de l'objet et la lumière vacillante, mais il semblait bien que les pages étaient vierges.

- Alors... il était une fois donc, un petit ourson qui, ayant perdu ses parents à cause d'un vilain chasseur...
Oui, c'est une histoire dramatique, enfin, pas vraiment en fait, mais le début l'est assez.
Etant un ours, il ressentit à la fois une grande tristesse pour la disparition de ses parents, mais aussi une grande colère. Il descendit donc des montagnes du bout du monde où il avait sa tanière pour se mettre en quête de vengeance.
Ils sont comme ça les ours... bon, après, j'ai encore toutes les péripéties à écrire, les personnages secondaires à rencontrer toussa... j'avais pensé à un chat, et peut-être un lézard...

Garmyr se sentait amusés par cette petite fripouille.
- Effectivement je m’identifie bien à l'ourson.
N'ayant pas décliné son identités il lança.
-Pourquoi ne pas appeler l'ourson Garmyr, le chat Nathalia et le lézard Sorga tant que nous y sommes.
Il se redressa sur son lit, observa la une pomme et demi et rit.
- Vous savez vous m'amusez, je trouve tout ça très intéressant, débordant d' originalités. J'ai tout de même une impression de déjà vus.
Il aimait Ironiser cette situation plus qu'abracadabrante. Cette petite personne l'amusait vraiment.
- J'ai une autre idée, le lezard et l'ours pourraient se rencontrer et affronter une armée de zombies dans la crypte des origines du lézard non? ça pourrait être intéressant. Quant au chat, je vous laisse vous amuser après tout, c'est votre histoire n'est-ce pas ?
Il se remit à rire. Quelques minutes plus tard.
- Eh bien, vous a-t-on dévoré la langue? Vous êtes bien silencieuse.
Il gardait son air amusé en fixant la petite demoiselle.

La femme redressa subitement la tête.

- J'aurais dû m'en douter ! Dix sept mille huit cent douze divisé par quatre cent vingt-et-un donnent... un résultat bien trop compliqué à calculer de tête. Et surtout, sans intérêt !
Bon, si vous vous identifiez bien à l'ourson, ça veut dire que ça marche... même si ma cible reste les enfants. Du coup, je sais pas trop comment vous devriez le comprendre...
C'est gentil à vous de proposer une idée, mais ça ne marchera pas : trop glauque. Quant aux noms, je préfère ne pas en mettre du tout. Ça permet d'aider encore l'identification par rapport aux personnages, et lui donne une certaine universalité.

Elle referma son grimoire, le rangea dans son sac qui ne sembla pas se déformer malgré la taille de l'objet, puis se releva pour s'étirer en baillant :

- Finalement, je ne suis pas sûre que ce conte fasse une bonne histoire pour des enfants. Les thèmes abordés sont peut-être trop compliqués, et toutes les idées que j'ai pour les péripéties donnent une couleur assez sombre au dénouement. Et comme je n'aime jamais changer le cours naturel des histoires que j'écris...
*Soupir*
- Dur dur d'être conteur...

Garmyr écoutait la femme sans vraiment l'écouter. Quand elle dit, "Dur dur d'être conteur", Garmyr pensa haute voix.
- Dur dur de dormir plutôt..
Il retomba sur sa couchette. Il était éreinté. Vraiment fatigué.
- Vous savez, il ne faut pas sous-estimer les enfants, il comprennent souvent mieux qu'on le penses. Même si, l'histoire ne leurs donne pas l'explication désirée, il peuvent y trouver quelque chose à eux, qui leurs est intimement propre. Je veux dire, on a tous une façon différente de comprendre les choses, enfant ou adultes, les opinions seront toujours personnels.
Il se tourna sur le coté et regarda la petite personne.
- Je n'ai jamais entendu parler de personne aussi petites que vous.. Où vivez-vous ? Est-ce une malédiction ?

La femme s'étira de nouveau, les bras tendus au dessus de sa tête. Gardant la pose, elle se pencha sur le côté, puis sur l'autre.

- Je vis un peu partout. J'ai bien une maison, mais je n'arrive jamais à me souvenir où la porte d'entrée se trouve, alors je me contente d'avoir les étoiles en guise de toit.
Enfin... on verra les autres questions plus tard. Pour l'heure, Morphée vous appelle.
Saluez-le de ma part.

Elle se détourna, et fit quelques pas dans l'herbe qui lui arrivait quasiment à la poitrine.
Surgi de nulle part, une forme sombre et ailée tomba soudain du ciel et s'abattit sur la tête de la femme.
Un dragon rouge, gros comme un chat, apparut pendant une fraction de seconde à la lumière des flammes, le temps pour lui d'attraper la femme entre ses pattes et de décoller aussitôt.
Son vol sembla aussitôt plus laborieux, à cause du poids qu'il transportait et surtout des gesticulations de son fardeau...

- Hé ! Tu triches là ! C'était pas prévu au programme, espèce de sac à main ! Et comment tu veux atterrir maintenant hein ?

Garmyr qui avait observé la scène et sentit l'animal approcher, quand le petit dragon rouge se saisit de la jeune femme minuscule, il était déjà en trin d'armer ses jambes, pour bondir de toutes ses forces. Le dragon avait décollé depuis quelques mètres surement trois. Garmyr se saisit du dragon, posa sa mains sur sa tête pour ne pas qu'il puisse le mordre ou je ne sais quoi. Il s'adressa à la mini-femme.
- Morphée attendras un peux.
Il se posa sur le sol, retira la lutine des pattes du dragon, le gardait pourtant toujours immobilisé. Il s'assit sur le sol et attendit une explication.

Maeko se remit sur ses jambes, s’épousseta une nouvelle fois puis s'approcha du dragonnet maintenu par l'homme.
Le lézard volant ne cessait de se débattre, tentant de se dégager de la poigne de fer des doigts qui le tenaient, des flammes sortant de sa gueule à intervalles réguliers.
La femme posa une main sur une des cornes du dragon, qui s'immobilisa aussitôt. Elle s'adressa ensuite au lézard, ayant l'air d'avoir oubliée la présence de l'homme ou son regard interrogateur :

- Tu as... perdu, Lampion. Huhu...
Tu aurais dû prendre en compte la présence de cet homme avant de venir me chercher.
- Criouuuu !
- Cavalier oui, mais rien ne me l'interdisait.
- Criouu ?
- Bon... d'accord.

Soudain, il y eut un flash bleu : femme et dragon disparurent.
C'était comme s'ils n'avaient jamais été là.
Quelques secondes plus tard, un Criouuu retentit depuis les frondaisons de l'arbre, suivi par :

- Ah tu veux faire la belle ? Tu sais que, comme tu viens de perdre cette manche, je peux te donner un handicap ?

Voyant que la femme et l'animal étaient comme cul et chemises, Garmyr décida de laisser tomber et retomba dans sa rêverie pour retrouver le sommeil. Il pensa, à tout ce qu'il avait fait depuis a sortie des montagnes.. Il avait besoins de faire une pause dans un endroit ou il ne serait jamais allé, ce serait une très bonne chose. Aller à la plage, il aime l'eau, il aurait l'occasion d'apprendre à nager. Ce serait super. Enfin bref il serait mieux ailleurs.

La voix de la femme reprit après un instant, devenue murmure :

- Chuuuut ! Fais un peu moins de bruit Lampion, il pourrait t'entendre... on verra demain matin pour les détails.
Bonne nuit les petits !

Le silence se fit dans l'arbre.
Après plusieurs minutes, les oiseaux qui avaient été dérangés d'une bien étrange manière revinrent vers leur nid... pour tomber bec à museau avec un petit dragon, qui leur fit un joli sourire...

Garmyr avait passé la nuit à faire un étrange rêve sur sa montagne, probablement des souvenirs de lieux... Il ne se souvenait pas mais il irait bien un jours vérifier. Quand il se réveilla, il était déjà presque midi, il sortit de quoi se nourrir de sa besace. Malheureusement il n'avait plus rien à boire. Il se leva et se mit en quête d'un cours d'eau douce. Après quelques minutes il n'avait rien trouvé, mas ce n'était pas grave il allait vite reprendre la route.

- Vous cherchez un endroit en particulier ?

La femme se tenait derrière Garmyr.
Revenue à une taille plus normale, elle avait raccroché son masque à sa ceinture et tenait dans ses mains une bouteille de verre noir. Le petit dragon, perché sur ses épaules, mâchouillait une plume d'oiseau.
Le duo observait Garmyr avec une curiosité visible, teintée d'une forme d'espièglerie qui paraissait dans leurs sourires.

La femme déboucha sa bouteille, et but une gorgée.
- Criouuu !
Elle fut prise d'un fou rire, et recracha une partie du liquide qu'elle venait de boire en un nuage de fines gouttelettes. L'odeur d'alcool se répandit, tandis que la femme s'essuyait la bouche en pouffant :

- Huhu... Tu es con Lampion des fois.

Les yeux de Garmyr changèrent quand il sentit le doux arôme qui se répandais dans l'air... Un alcool qu'il aimait par dessus tout, celui qui te fais croire qu'il nous réchauffe, mais refroidis tes extrémités à chaque, le doux nectar des pirates, la niôle des mers...
- Du Ruhm !!! (Desolé max j'ai pas pu m'en empêcher xDD)
Comme il venit de se réveiller et que la nuit avait été fort mouvementée, il ne remarqua que plus tard le changement de taille de la femme..
- Tiens, vous êtes de tailles humaine maintenant, première nouvelle, moi qui aimait penser pouvoir vous écraser avec mon pouce au vous alliez me réveiller une secondes fois... Non je plaisante. Je ne prendrais pas de vies inutilement.
Il fixa ensuite la créature, il l'a trouvait appétissante, mais elle semblait dotée d'intelligence, il changea donc son avis en se rappelant ce qu'il venait de dire.
- Qu'est-ce que je chercher ? J’erre sans réel but depuis quelques temps. Je vais ici là, j'aide ceux qui ont besoins d'aide. Peu importe, je passe le temps.
Il était encor trop engourdis pour commencer pleinement la journée.
- Si vous permettez, je vais prendre une minute pour me réveiller pleinement. Si vous avez faim, j'ai quelques bouts de viandes et des aromates dans cette besace. Servez vous n’hésitez pas, je retournerait surement chasser dans l'après-midi.
Garmyr s'accroupit sur le sol et commença à faire une série de pompes frénétiques pour accélerer son réveil.

- Oui. Du rhum.
Huhu... Vous en voulez ?

Voyant que l'homme se mettait à faire des pompes, elle sortit de son sac une chaise pliante - plus grande que son sac d'ailleurs... - et s'assit tranquillement, les jambes croisées devant elle.
Lampion descendit aussitôt de ses épaules pour venir se rouler en boule sur les genoux de la femme.

- C'est la deuxième fois en peu de temps que vous me proposez à manger. Dois-je en conclure que la nourriture est très importante à vos yeux ?
Huhu... si ça vous dit, j'ai peut-être quelque chose à vous proposer pour passer le temps et finir de vous réveiller par la même occasion...

Un sourire parfaitement machiavélique étira sa bouche, tandis qu'une lueur sauvage faisait briller ses yeux d'une flamme telle celles que crachaient Lampion.

- Un campement de brigands loin de leur terre natale se trouve à une dizaine de kilomètres d'ici. Guère plus de cinquante, mais je suis prête à partager si vous pouvez suivre la cadence.

Garmyr cessa ses pompes au son de la proposition de la boisson.
- J'accepte le Rhum, et pour le reste est-ce un défi?
Garmyr se dressa devant la femme, la fixa dans le blanc de l'oeil avec un regards pire qu le siens. Après la sale nuit qu'il avait passé, une petite boucherie de scélérat ne lui ferait pas de mal.
- Je n'ai pas pour coutume de tuer inutilement mais, si ce sont des bandits, alors je ne suis pas contre!
Garmyr empogna Brenya, et la lança dans le ciel. Elle redescendit avec un oiseau, un genre de pigeon. Il se pencha vers le petit dragon et lui dit.
- J'sais pas ce que tu mange mais je pense que tu n'auras pas besoins de moi pour la cuisson ?... Et oui, la nourriture est importante, c'est l'une des bases de la vie.
Il attendit la suite des évènement, aussi que la dame lui prête sa bouteille de rhum!