[Terminé] Le bleu de l'océan... Une pause bien méritée. [Sp Eden]

Après plusieurs mois de vadrouille, Garmyr revint sur Eaque. Il aimait bien Eaque, elle lui rappelait Thür. Il été né de parents Rahdamantiens de Deimos qui avaient décidés de vivre en Eaque à cause du climat plus agréable. Thür avait appris la culture de ses parents, celle de Deimos, la croyance du paradis des guerriers. Harvengarde. Thür avait évidemment transmit cette croyance à sa femme minosienne, Mjoll puis plus tards à Garmyr, qu'il avait adopté et aimé comme le fils qu'il ne pouvait physiquement pas avoir.

Garmyr savait que Thür avait été élevés ici, il espérait retrouver une trâce de grands parents quelconques. Mais il s'attendait à y trouver des tombes.

Garmyr avait enfilé un short qu'il avait fabriqué avec sa vieille tunique et se promenait pieds nu dans le sable. Il luisait au soleil dévoilant les formes de ses muscles qui paraissait invisible sous sa tenue habituelle. Il était pas très imposant mais bien dessinés.

La plage était ensoleillée l'eau presque turquoise. Garmyr n'était pas friand de ce climat, mais Fridya le protégeait de la chaleur fort-heureusement.

La plage était déserte, il n'y avait qu'une jolie brune qui paressait sous le soleil. Il y avait quelque chose dans son parfum qui rappelait quelque chose à Garmyr.

Garmyr sourit à la jolie brune et continua sa route. Il cherchait toujours la présence de la famille de Thür. Il était pas passé loin de la jeune femme. C'est qu'au bout de dix mètres de marche en plus et il se rendit compte que Eden c'était retrouvée malgré lui dans le champ d'action de Fridya. Il s’arrêta donc pour s'excuser.
- Heum milady, est-ce que vous avez sentis un courant d'air froid à l'instant??
- Si c'est le cas, veuillez m'en excuser, j’oublie parfois que Fridya me protège de la chaleur...
Il avait toujours Sinistra qui tenait dans son dos, Brenya à sa ceinture et Fridya de l'autre coté. Il avait tellement l’habitude de les portes qu'il ne s'en rendait même plus compte. Quand il s'approcha, il fit en sorte que Fridya réduise son champ d'action. Une fois suffisamment près pour l'entendre sans quelle hausse le ton. Il se posa à genoux à environ deux mètres d'elle pour vérifier qu'elle allait bien lorsqu'il sentis un parfum familier... Celui de Nathalia !?
- Connaissez-vous Nathalia ??

Garmyr avait tout bonnement oublié qu'on ne demandais pas au gens comme ça si ils connaissaient des gens...
- Veuillez pardonner mon impolitesse, avant tout, je m' appel Oroboros D. Garmyr, je suis originaire des montagnes Deimos. Oui c'est bien cette Nathalia, il n'y a pas d’erreurs possibles, j'ai reconnu son parfum dans le vôtre. Vous devez vous voir souvent pour que vos parfum soient ainsi entremêlés.
Il observa la jeune femme mais tua l'envi de lui demander si elle savait quoique ce soit sur la localisation des grands parents Jormun.

L'offre de s'approcher paraissait intéressante. Après tout, il avait le droit de flâner, de se la couler douce un peux lui aussi.
- Ravis de vous connaitre Lady Inferno. C'est une offre plutôt intéressante ma foie.
Garmyr la regardait remettre ses cheveux en places, il trouvai ça amusant mais se retins de le lui dire.
- Bien je vais m'allonger un peux plus près alors.
Il avança d'à peine 30 centimètres et s’allongea.
- Voir la mer me rappelle que quand j'étais petit, Thür mon père m'avais emmenés ici, ces parents sont censés vivres par là. Je me souviens m'être endormis sur la plage, et m'être réveillés au milieux de flots. Je n'ai jamais vraiment appris à nager. J'aurais aimé maitriser la nage aussi bien que le combat.
Il rit d'un rire sonore. et reprit.
- Pourquoi je vous racontes ça moi ? Ce doit être votre parfum, il me mets à l'aise.
Il avait son sac derrière sa tête pour que ses cheveux ne prennent pas le sable...
- Le sable c'est beaucoup moins agréable que la neige au toucher.
Il fixa le ciel bleu et sembla tomber dans une rêverie, il n'espérait pas de réaction particulières de sa voisine de serviette, il était là, Fridya gérait la température autours de lui, alors il se sentait bien.

Eden le regarda en souriant. Il était plus près d’elle. Elle le trouvait un peu fluet mais bien armé. Elle prit une mèche de cheveux, et entreprit de la tresser distraitement, pour occuper ses doigts, alors qu’il lui racontait un bout de son enfance. Cela l’étonnait autant que ça lui plaisait : quelqu’un qui se livrait ainsi était rare, et savoir ainsi la vie des gens l’intéressait toujours un peu. Et puis, puisqu’il connaissait Nath’ … Il conclut que la sable était bien moins agréable que la neige elle sourit.

- Chacun ses gouts. Personnellement, la neige est trop froide pour moi …

Elle sourit, et joua d’une main avec un peu de sable.

- Mais, vous ne savez toujours pas nager ?

Cette fois, le sourire lui fut directement adressé. Cet homme l’intriguait.
[Mouip Mouip Moiip Mouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiip]

Garmyr surpris de la question, tourna sa tête pour observer le sourire qui lui était directement destiné et ses yeux, ses grand et profond yeux verts, pendant une seconde, il c'était sentit transpercé par ce regard ce qui l'avait fais cligner des yeux. Il éclata immédiatement de rire.
- Pendant une seconde, j'ai sentis que votre regards avait transcendé mon âme, hahaha. C'est incroyable.
Il lui sourit et reprit.
- Non, je n'ai toujours pas eu la chance d'apprendre à nager. Et croyez moi, la neige sur mes montagnes. Il n'est rien de plus merveilleux.
Il commença à se prélasser sur le sable, s'étirant tout les muscles les dévoilant au grand jours. Malgré leurs aspect normalement formés au naturel, quand il les bondaient, il devenaient très apparent. Il fit craquer sa colonne vertébrale et plusieurs articulation, jusqu'à ce qu'il se redresse un peux. Il se posa sur ses coudes pour surélever sa tête, et plia légèrement sa jambe droit, ce qui lui donnait une position plus détendue, plus posée.
- Cessons de parler de moi, j'ai peur de me confier top vite à cause de l'atmosphère, puis, vous m'intriguez, surement par le fait que vous êtes seule sur cette plage pourtant si immense.
Il gardait son regard franc droit dans les yeux d'Eden attendant d'entendre sa voix raconter la suite.

[what ??? xD]

[Rien rien x)]

Ces yeux ? Transcendé son âme ? Elle sourit. On le lui disait parfois.

- Ils font parfois cet effet là, c’est vrai. C’est désagréable ?

Elle eut un air mutin. Les articulations de l’homme craquèrent et cela fit sourire Eden, tandis qu’il lui parlait de sa montagne. Elle sourit. Elle connaissait mal cette région, c’était vrai.

- A vrai dire, je ne vais que rarement en montagne. Par contre, pour ce qui est de la nage, on pourra y remédier si le cœur vous en dit, quoique je ne vous assure pas être une excellente prof.

Puis, il s’étendit sur le sable, en faisant craquer ses articulations. Elle sourit. Puis, il s’étendit sur le sol, faisant ressortir ses muscles. Et il lui demanda pourquoi elle était seule sur cette immense plage. Son sourire s’élargit encore.

- Disons que j’aime cette plage. J’ai vécu là un long moment avant de devoir déménager, et j’aime revenir ici assez souvent. Le lieu est beau, non ?

Elle lui sourit, et le regarda, droit dans ses yeux francs avec son regard d’émeraude transparent.

Désagréable, non, Garmyr trouvait ça surprenant c'est tout, il avait été surpris par leurs beautés.
- Non je trouve ça plutôt agréable. Bien que j'ai été surpris, je sens que votre regards est bienveillant magrès le fait qu'on ne se connaisse pas.
Il lui sourit. Son ignorance au niveau de montagnes cependant le surprenait.
- Mes montagnes, celles de Deimos, on pourrait presque les considérer comme une autre planète. Les Rahdamantiens on peur de s'y aventurer. Puis quand j'y suis je chasse généralement les chasseurs de trésors qui recherchent la cité antique d'artgard. Le berceau des croyances de Thür. Ma présence ici à d'ailleurs un rapport avec. Si vous voulez, un jours, je vous emmènerais les visiter, même s'il y fais très froid, la vue y est impressionnante, rendant presque Rahdamantes aussi magnifique que Minos.
Il arrêta d'en parler malgré le fait que Eden sentait Nathalia, ne voulait pas dire qu'il pouvait lui faire aveuglément confiance comme ça.
Elle semblait aimer cette plage.
- Le climat est trop chaud à mon gout, mais le paysage est plaisant et je serait ravis que vous m'appreniez à nager. D'ailleurs vous pouvez me tutoyer, après tout les amis de Nathalia sont mes amis.
Il lui sourit, se recoucha et ferma les yeux, il avait un sourire satisfait et reposé.

Garmyr qui sentais qu'on l’auscultais alors qu'il avait les yeux fermés, avait son sourire confiant. Il sentais la chaleur se rapprocher de lui mais il ne fuit ps pour autant. Après tout il avait senti que Nathalia partageait déjà sa vie.. Il ne se l’expliquait pas, mais il le savait c'était aussi simple.
Quand elle lui demanda, il se souvint de Noël et de la forêt du pendu. Hors garmyr décida de rester très évasif à se sujet pour ne pas nuir à la relation déjà présente de Nathalia.
- On c'est rencontrés ce noël, à Cruor. Ce fut une soirée assez spéciale pour une rencontre. Mais je ne le regrette pas. Puis nous avons partagés un repas dans la forêt du pendu. Voilà voilà. Moi je me demandes par contre, quel est cet once de parfum masculin infecte qui gâche un parfum pourtant si radieux? Ça me fais penser à l'odeur qui entourait Sinistra quand je l'ai découverte.
Garmyr qui avait mal dormis la veille poussa un bâillement rauque qui trahit l'autre moitiés de son corps.
- Oups... Désolé, j'avais oublié, je suis un métamorphe. C'est pour ça qu'on c'est bien entendus avec Nathalia dès début.
Quand il ouvrit les yeux il observa qu'elle était plus proche qu'il le pensait. Mais il ne bougea toujours pas.

Garmyr ne parut pas choqué de la réponse.
- Hmm, il est très vieux, et je pense peu fréquentable à l'odeur de sang qu'il regorge.
Garmyr était doué pur deviner, il était observateur et son odorat ne le trompait que rarement.
- M'enfin, s'il vous rends heureuse, alors tant mieux.
Il lui sourit et se leva finalement.
- Bien, je dois me mettre en quête d'un endroit où passer la nuit, puis j'ai beaucoup de choses à faire dans les parages, je vous donne rendez-vous demains ici même pour la natation ?
Garmyr c'était retourné pour observer la jeune brunette. Il était plutôt fatigué du voyage et se préparait à aller dormir au moins jusqu'au lendemains après avoir effectués quelques recherches.
- Alors, cela vous convient-il ?

Une possibilités pour la nuit... C'était très intéressant.
- Ah je veux bien pour le projet de la nuit. Ça me faciliterais la vie.
Il lui sourit, et il retourna s'agenouiller aux cotés d'Eden.
- Eh bien je t'écoutes.
Garmyr observait la jolie brunette, à son sourire amère qui avait figé son visage un peu plus tôt, il se doutait que son amant n'était peut-être pas ce qu'elle désirait...

Garmyr écouta sa réponse, puis enchaina sur une conclusion.
- J'accepte la chambre à Albus, je penses que j'aurais à faire la-bas. Je t'attendrais ici dans un heure pour nous rendre à Albus. Je dois faire quelque chose.
Sans tambours ni trombone, (ghihi) il posa la mains sur Sinistra et disparut. Avant de disparaitre, il avait fait un clin d’œil à Eden.
La seconde suivante, il se trouvait à coté d'un bungalow, qui paraissait habités. Il interpella un marchand qui vendait des potio bizarres pour lui demander si il savait ou se trouvait la demeure Jormun. La réponse fut négative. Il repris sa route mais en marchant normalement cette fois, jusqu'à une maison en haut d'un palmier. Un homme basané, pas trop vieux avec de longues dreadlocks. Probablement un Nayade, surement du au fait qu'il avait des écailles sur les jambes et les pieds/mains palmées. Il disait qu'il s'appelait Branney. Il indiqua à Garmyr une direction pour aller à la demeure des parents de son père adoptif.
Environ cinq cent mètres plus loin, il trouva une barrière en fer qui fermait un mur effondré. Il n'avait pas vraiment compris pourquoi. Il ne chercha pas, il contourna la porte. Après un chemin pas entretenu du tout, il arriva dans une résidence. Tout les bâtiments étaient en ruine. Une petite maisonnette cependant paraissait habitée. Un vieux concierge qui habitait là, avait appris à Garmyr que les Jormun étaient mort lors d'une attaque de bandits sur la résidence. Et qu'ils ont été enterrés à Albus.
Garmyr revins donc rejoindre Eden. Il marchait tranquillement sur la plage quand il arriva à environs vingt mètres du point de rendez-vous.

Garmyr avait l'air morose, la vie une nouvelle fois lui jouait un sale tours. Pourquoi s'obstinait-il à toujours rechercher l'impossible. Il avait entendu la question d'Eden, mais attendit qu'elle soit proche de lui pour le lui dire.
- Oui et non, j'aurais plus d'informations demains. Il est probable que j' aille rendre visite à des bandits du coins.
Il n'avait pas remarqués le sourire radieux d'Eden, trop préoccupé par sa découverte. Comment cela se pouvait. A chaque fois qu'il approchait de sa famille adoptive, i ne trouvait que cadavre et mort.
Après quelques minutes de réflexion, Garmyr leva des yeux interrogateurs vers Eden.
- Heum, j'tait à Albus avant de venir mais.. Je ne me souviens plus de la route.
Il était une nouvelle fois gêné par son manque d'attention. Il devrais cesser de se perdre.

Garmyr vu le sourire rassurant qui lui réchauffa le cœur. Elle parlait de magie, il était un exemple même de magie, il avait trois armes qui en était concentrée.
- Je vis déjà avec la magie, alors soit je te fais confiance.
Garmyr ne pensait déjà plus à sa déceptions de l'heure précédente. Il n'avait pas besoins de s'en embarrasser ce soir. Il jeta donc un regard espiègle et joueur à Eden et lui dit.
- Dans le pire des cas, si tu échoue, on trouveras quand même un moyens de s'en sortir.
Il rit d'un rire affectueux qui dédramatisa la situation. Il lui tendit la mains et finis.
- Allons-y.
Il avait un sourire confiant et rassurant, qui se voyait aussi bien sur sa bouche que dans son regard brun.

Garmyr avait aussi senti les picotements. Quand elle lui annonça que c'était son appart. Garmyr était là, dans l'appart d'Eden. Il y retrouva et découvrit de nouveaux parfums. Le parfum de Nathalia, il c'était décidé de ne ps en reparler. Le parfum d'Eden qui était aussi agréable, l'odeur de sang et de cendres qui caractérisait le petit-amis d'Eden, et une odeur de sang et de fer, une odeur froide qu'il avait sentis dans celle de Nathalia. Garmyr ne voulait pas se lancer dans une description des lieux, il attendais simplement le début de la visite. Il demeurait muet et confiant mais aussi curieux de cette nouvelle odeur. Sans le vouloir, il mit la mains dessus. Une dague qui trainait là, qui sentait parfaitement les odeurs emmêlés de Nath et d'autre chose. Il observa la dague avec stupeur. Un sentiment qu'il ne comprenait pas.