[Terminé] Bonne nouvelle ? [sp Eden]

Dim 15 Jan 2012 - 13:21

Daël qui n'avait de cesse de chercher ceux que Nathalia haïssait plus que tout au monde, venait d'en retrouver un. C'est pour ça que par ce début Décembre, il se rendait sur Albus à la dernière adresse connue de la jolie rousse. Ça faisait presque 6 ans qu'ils ne s'étaient pas parlé et il s’apprêtait à débarqué là comme une fleur.
Il ne savait absolument pas comment la métamorphe allait réagir mais il s'en contre fichait. Il s'arrêta chez le pâtissier qui le salua chaleureusement. C'était pas n'importe qui quand même un Conseiller de la Reine de la douce reine Beldura dans sa pâtisserie. Il avait tout intérêt à être aimable et même généreux avec.
Daël lui eu juste a dire ce qu'il voulait avec une simple formule de politesse et il se voyait offrir une boite de chocolat et autres gourmandises exquises. Il remercia l'artisan et repris sa route.
Il aperçu l'immeuble de Nathalia. Il resta planté devant la porte un bon moment avec dans une main une poche de viennoiseries et dans l'autre les gourmandises offertes.
Allez au pire elle te fermera la porte au nez au mieux elle te giflera.
A cette idée il sourit souffla un bon coup et frappa à la porte.

22/05/2756

Eden sourit en regardant par la fenêtre. Il est vrai qu’Albus était une ville agréable. Les gens étaient gentils, certes, naïfs, mais gentils. Eden se sentait parfois un peu étouffée ici, mais au moins, on ne lui posait aucune question. Elle avait réaménagé l’appartement. Il y avait trois chambres, dont une pour d’éventuels invités, certes rares, mais qui pouvaient arriver n’importe quand, du type une Nathalia désespérée. La seconde chambre était celle où elle recevait les hommes. Il n’y avait pas besoin d’entrer dans le logement réellement pout y parvenir. Elle était impersonnelle, sans être froide. Il n’y avait aucun signe témoignant que c’était Eden et non une autre qui y vivait. L’autre chambre était la sienne. Meublée comme elle l’aimait, armoire et commode remplies. De la clarté, mais des zones d’ombres. Grâce à elle, elle avait accès à la salle de bains, féminine à souhait. Il y avait ensuite ce salon cuisine, plutôt petit sans être minuscule. Aménagé lui aussi de façon confortable. Elle avait gardé la disposition de Nathalia, mais avait changé les teintes.
Elle respira l’air de la rue, les odeurs de fleurs et d’épices. C’est alors qu’on frappa à la porte. Elle fronça les sourcils. Quelqu’un, maintenant ? Elle se regarda distraitement dans le miroir avant d’aller ouvrir. Cheveux noués en queue de cheval, cils allongés, robe verte et veste claire, pieds nus. Elle semblait petite fille. Elle ouvrit la porte, prête à se défendre éventuellement.
Elle déglutit. Non, elle n’aurait pas à se défendre.

- Daël ? Que … Que faites-vous ici ?

Elle cligna des yeux, sous le choc de se trouver face à lui, ainsi. Comment l’avait-il retrouvé ? Pourquoi était-il là ?

Dim 15 Jan 2012 - 15:10

Il s'attendait à voir surgir une chevelure rousse, puis une main que se serrait dirigeait droit sur lui puis après avoir le droit à un câlin. A tout sauf à ça. Mais bon sang que faisait elle là ? Pourquoi fallait il qu'elle se trouve sur son chemin encore une fois ? Il allait finir par croire qu'elle le suivait.
Le sourire magnifique u'il avait préparé pour Nathalia s’effaça pour laisser paraître une mine quelque peu surprise.

"Que quoi ah hin ? E Ed EDEN ? Mais qu'est ce que tu fou là ? "

Il se frappa le front de la main

" Ou est Nathalia il faut que je lui parle c'est ... Important..."

" Il caille dehors je peux rentrer s'il te plait ?"

Il n'attendit pas de réponse et passa l'encadrement de la porte.

"Suis je bête j'en oublié la politesse"

Il prit Eden par la taille et l'embrassa.

"Salut..."

22/05/2756

Le discours de Daël était quelque peu embrouillé, mais Ede en saisit l’essentiel. Il voulait voir Nathalia, ne sachant donc pas qu’elle ne vivait plus ici. Il entra puis l’embrassa. Sur le coup de la surprise, elle se laissa faire, avant de le repousser, doucement mais fermement, écartant ses lèvres des siennes, sans écarter son corps du sien.

- Non, Daël … Pas sur la bouche. Tu es un client.

Elle se racla un instant la gorge et se défit de ses bras en douceur, puis ferma la porte.

- Quant à Nathalia … Elle ne vit plus ici, c’est moi qui ai récupéré son appartement. Aujourd’hui, elle vit sur Rhadamanthe, avec un homme.

Elle sourit distraitement à Daël, et se dirigea vers le salon.

- Viens, à moins que tu n’aies … autre chose à faire du coup.

Elle le regarda.

- Je peux toujours t’offrir quelque chose de chaud.

Elle ramassa une chemise d’ulrik qui était sur le canapé, pour la déplacer, juste sur le dossier.

Dim 15 Jan 2012 - 19:10

Daël reprit petit à petit ses esprits. Il suivit Eden dans le salon et s'assit sur une des chaise qui encadraient la table. Il Dévorait Eden des yeux.

" Mais tu sais très bien que c'est ce que je préfère embrasser chez toi..."

Il la dévisageait en souriant elle était tellement belle... Tellement parfaite...

"T'as un peu de café peut être j'ai des croissants et autres viennoiseries succulentes."

Il posa ses poches sur la table en attendant que la jolie brune revienne.

22/05/2756

Ce qu’il lui dit lui fit mal. Doucement, insidieusement, mais cela lui fit mal. Et son regard, si bleu, si intense, si doux … Elle pressentait entre eux une chose qu’il n’aurait jamais dû y avoir. Elle hocha la tête.

- Je … sais. Mais tu restes un client.

Elle tenta un pâle sourire, qu’elle recomposa peu à peu lorsqu’il s’assit et posa ses poches sur la table, en lui proposant de faire du café.

- Evidemment qu’il y en a. J’en bois trop pour pouvoir m’en passer.

Elle lui fit un clin d’œil et de son pas de danseuse alla vers la cuisine préparer la boisson. Juste l’odeur du grain moulu la transportait. Elle adorait ces senteurs. Lorsqu’enfin deux tasses furent faites, elle revint avec, les posa sur la table et s’assit face à Daël. Elle lui sourit, sans parler.

Lun 16 Jan 2012 - 19:47

Il la regarder... Non il la dévorait des yeux. Il aimait l'observer se mouvoir, marcher avec sa grâce de danseuse à la fois proche et tellement différente de la grâce féline de Nathalia... Nathalia ! Comment elle connaissait Nathalia. Pourquoi était elle dans son appartement ? Jamais la métamorphe n'aurait confié ça à la première venue...
Après avoir prit une gorgé de café il lui décocha un sourire.

" Alors comme ça tu connais... Nathie ? "

Il ne savait pas depuis quand ni comment elle s'étaient rencontrées mais Eden devait compter énormément pour Nathalia.

22/05/2756

Le sourire de Daël était décidément ravageur. Eden n’y résistait pas. Eden n’y résistait plus.
Il but un peu de café, alors qu’elle s’efforçait de ne pas le dévorer des yeux. Elle devait résister, au moins tenter, pour Ulrik, pour elle, pour lui, pour Nat’, pour tous. Et là, la question arriva : connaissait-elle Nat. Elle sourit. Si elle la connaissait ? Oui, évidemment, quelle question ! Elle cligna un peu des yeux, entre deux gorgées du liquide amer et brûlant.

- Oui. Nous nous connaissons depuis longtemps maintenant. C’est ma meilleure amie, ma presque sœur. Nous nous voyons fréquemment.

*Peut-être moins maintenant, mais tout de même …*

Elle sourit à Daël. Elle n’avait pas besoin de lui poser de questions, elle savait. Par contre, elle l’attendait, elle attendait ses questions, ses affirmations, ses explications peut-être.

Elles étaient proches très proches... Daël ne savaient pas si c'était une bonne ou une mauvaise chose. Il souriait à Eden comme il souriait à Nathalia il y a quelques années.
Mais la différence était bien claire, Eden il pourrait la protéger... Ce qu'il n'avait pas su faire pour Nathie, qui c’était apparemment trouvé quelqu'un capable de le faire.

"Je la connais depuis longtemps aussi... Mais on s'est... perdu de vue. Il faudrait que je lui parle..."

Il semblait perdu dans ses pensées. Mais revint vite à la jolie brune qui lui plaisait tant.

"Assez parlé d'elle tu ne crois pas ? Parlons un peu de toi... Comment va ton ... Ulrik ? "

Daël trouvait cet homme stupide... Laisser Eden seule si souvent et en plus dans les bras de porcs... Alors que lui, lui il lui permettrait de vivre sans avoir a regarder un seul de ses vieux pervers...
Un sourire ironique ce dessinait sur son visage, et ses yeux contemplaient les émeraudes de la jeune fille.

22/05/2756

Elle sourit lorsqu’il parlait de Nathalie ; Elle eut envie de lui prendre la main, de lui dire « Je sais », et de lui dire ce qu’elle savait. Mais il la regarda soudain, et lui parla d’Ulrik. Ceci coupa Eden dans son élan. Elle se renfonça dans sa chaise. Ulrik … Ils étaient toujours ensemble, certes, mais à quel prix ? Elle n’était pas vraiment bien en couple avec lui, mais elle était bien avec lui, lorsqu’ils étaient tous les deux. L’aimait-elle ? Aimait-elle ce qu’elle voyait en lui ? Et lui, que ressentait-il ? Elle n’en savait rien, et Daël près d’elle ne l’aidait pas à faire le tri bien au contraire. Il lui plaisait, c’était évident. Ulrik, lui, lui plaisait aussi, mais différemment. Ulrik l’impressionnait aussi, sans vraie raison. Elle sentait que tous les deux, ça partait dans tous les sens. Elle eut un sourire triste vers Daël.

- Il va bien, je pense. Cela fait presque une semaine que je ne l’ai pas vu … Il avait un travail important.

Elle regardait le jeune homme.

Daël observait tous les mouvement a peine perceptibles de la jolie brune, et il la sentait perdu, triste. Il se leva, fit le tour de la table et se pencha vers Eden ils étaient proches très proches. Il se savait irrésistible. Mais là n'était pas la question il chuchota à Eden.

"Il est toujours en mission spéciale... Tu sais en quoi ça consiste une "mission spéciale" ? Es tu vraiment sure que c'est ce qu'il te faut ? Un vieux toujours en cavale ? "

Une main appuyé sur la table, le visage a seulement quelques centimètres de celui de la Temari il frôla délicatement la joue de cette dernière avant de lui dire

" Tu sais quand je t'ai dit tout à l'heure que ce que je préférais embrasser chez toi c'était tes douces lévres, ta bouche qui porte parfois un si joli sourire que je me surprend à y penser, peut être trop souvent d'ailleurs. C'est parce que quand je t'embrasse à ce niveau là j'ai l'impression de t'embrasser toi et vraiment toi pas celle qui me vend de l'affection..."

il pris la main d'end et la mis sur son coeur pendant que son autre main continuait de redessiner les traits du visage de la jolie poupée.

" J'embrasse celle qui me plait vraiment... Toi..."

Il attendait ça réponse un geste quelque chose une réaction peut importe.

22/05/2756

Il lui parla d’Ulrik, s’approchant d’elle, se collant à elle, la collant à lui. Elle résistait à la tentation de répondre « Non » à toutes ces questions, ces questions qui la mettaient face à une indubitable vérité, à quelque chose qu’au fond d’elle elle savait mais qu’elle ne voulait surtout pas, non, surtout pas, avouer. Il était derrière elle, tout proche. Ses doigts frôlèrent sa joue, et déclenchèrent un frisson tout le long de sa colonne vertébrale. Elle baissa les yeux.
Les mots de Daël l’atteignaient comme des flèches, en plein cœur, bam ! Comme l’éclair. Et comme l’éclair, ils la brûlaient, lui faisaient mal, la tuaient en plus de lui donner une étrange énergie. Elle garda les yeux baissés, alors qu’il lui prenait la main, la mettait conte son cœur, tout en lui touchant délicatement le visage de l’autre.
Elle savait ce qu’il allait lui dire, elle s’y attendait, elle l’avait lu dans ses mouvements, dans ses attitudes. Elle ne pouvait plus lire dans ses yeux, puisqu’elle ne le regardait pas, lais elle s’attendait à ce feu caractéristique, qui allait être si étrange dans ces beaux yeux de saphir. Elle déglutit, sentant sous ses doigts le cœur pulser lentement, paresseusement. Elle n’osait pas relever le regard, le regarder en face.
Elle avait peur, si peur. Peur d’elle, peur de lui, peur d’un nous, mais peur d’Ulrik aussi, et de sa colère. Elle ne pouvait accepter ainsi la proposition de Daël. C’était impossible. Elle ne pouvait pas, plus qu’elle ne voulait pas. Elle s’en sentait incapable.
Lorsqu’elle releva le regard et qu’elle croisa celui du jeune homme, des larmes roulèrent sur ses joues diaphanes. Elle ne pouvait pas parler. Les mots ne lui venaient pas, aucune parole n’était possible. Sa gorge était trop nouée pour laisser échapper un son, et sa poitrine était écrasée par un poids bien trop lourd. Elle ne déglutit même pas, et ne tenta pas d’essuyer ses larmes. Elle les laissait couler, déchirée, regardant Daël sans ciller. Elles mouillaient ses joues et les doigts du jeune homme, s’accrochaient à ses cils, chutaient, s’écrasaient sur le tissu.
Son corps entier disait ce qu’elle ne pouvait exprimer. Son corps entier criait son doute, sa peur, son amour, son déchirement, son amour encore, encore, encore, et plus fort.

Il la regarda, lui leva le menton embrassa chacune des larmes qui roulaient sur ses joues et retracça le chemin d'une qui termina sa route sur les lèvres maintenant humides d'Eden.

"Celle là je ne l'embrasserai que si tu m'en donne l'autorisation. Je sais que ça fait mal. Je sais aussi que c'est compliqué... Je sais également que ce qu'il y a entre nous n'est pas aussi simple qu'une relation client /courtisane... Et ce que je sais et dont je suis sure c'est que je ne peux plus me passer de toi... alors pardonne moi si parfois e vais trop loin mais c'est plus fort que moi..."

Il la regardait droit dans les yeux il essayait de la rassurer de lui faire comprendre que lui il était là pour elle et qu'il ne la laisserai pas comme Ulrik pouvait la délaisser...

22/05/2756

Elle regarda Daël, ses yeux brillants de larmes non essuyées. Pourquoi ne pouvait-elle avoir une relation simple avec quelqu’un, un quelqu’un simple aussi, et équilibré ? Pourquoi ne réussissait-elle pas à faire les choses simplement ? Son menton trembla soudain, et elle baissa les yeux en étouffant un sanglot qui montait dans sa gorge.
Elle ne résista pas. Elle se jeta à son cou, dissimula sa rête dans le creux de son épaule t se serra à lui. Elle pleurait, son dos tressautait. Tout lui revenait en esprit, tout, tout. Elle n’en pouvait plus, elle se sentait fatiguée de devoir choisir, de devoir prendre un chemin sur un autre pour avoir autant de mal, sur l’un que sur l’autre. Elle respirait son odeur, encore encore encore, sans tente d’endiguer le flot de ses larmes. Être contre lui la calmait un peu, à peine juste assez pour ne pas craquer, ne pas se faire assaillir par Elle.

Eden se jeta à son cou. Il la souleva la serra un peu plus fort contre lui et pris sa place sur la chaise. Eden était légère mais c'était plus agréable d'être assis pour la porter. Il lui caressait le dos en essayant de la calmé.

" Là ça va aller je suis là ne t'en fait pas... Je resterai tant que tu en auras besoin... Eden je ne te laisserai pas ... Jamais ne l'oublie pas ..."

Il jouait avec une mèche de ses long cheveux couleur encre. Et embrassa son cou. Elle sentait bon tellement bon qu'il se laissa enivrer par le parfum de la jolie demoiselle.

Le carnage avait eu lieu. Il ne restais que les corbeaux dans ce lieu de désolation et de mort. Il ne resté plus rien, que des cendres. D'un bout a l'autre de l'horizon, le sol était noir, jonché de corps, de poussière, de sang et de mort. Tous morts... Sauf un. Une silhouette noire, debout au beau milieu de ce désastre. Une silhouette couverte d'un grand manteau noir volant au grès de la brise glaciale. Ces hommes maintenant morts, inertes étaient des frères, des cousins, de braves gens, des amis, des camarades, des coéquipiers. Ils étaient tous unis, tous faisaient partis d'une grande et même famille, d'une grande et toute puissante armée. Maintenant, il ne reste rien. Un clignement de cil et plus rien, la silhouette a disparue. Etait ce la mort? Ou un fantôme, ou encore tout simplement une hallucination provoqué par la vision horrifique de ce décors?

Un appartement. Une ville, de bonne taille sans trop etre encombrante. Une petite ville jolie et sympathique. Une salle de bain, coquette. Mignonne comme tout, et féminine a souhait. L'ombre vêtue d"un manteau apparue dans la pièce. Ce n'est autre que Ulrik... la mort, ça lui va plutot pas mal comme titre. Il se déshabilla, dévoila sa musculature travaillé, sur un corps de vieux. Une drole de différence qui donnait une allure encore plus inquiétante a notre plus que centenaire encore jeune. Il pris un bon bain. Des gens parlaient dans une pièce à coté. Ulrik n'allait pas revoir Eden sale comme il l'était. Sa "mission" avait été un peu longue, et il était couvert de sang. Il reveti donc des affaires propres, son classique manteau noir et long, ses bottes et son chemisier (propres). Il sortit du bain et de la pièce.

Il y avait a coté Eden et un autre. Eden était pendu a son coup, en larme. L'autre la serré contre lui, non sans démonstration de sentiments et de séduction. Ce gamin jouait a un jeu dangereux. Essayer de draguer ma Eden, mon amour dans mon dos... Mais il y avait un petit accro.... Eden semblait aimer cet homme, plus que comme un client ou comme un ami, mais plus comme un... amant. Une puissante vague de chaleur monter en moi. Une vague déstructrice, dangereuse. Je fis un effort pour me controler et ne pas tout anéantir... Je ne voulais pas perdre ma flamme, ma Eden.

-"Il semblerait quand effet, elle te pardonnes d'allé trop loin... Cependant, je ne suis pas aussi gentil qu'elle. Alors t'as inteêt a t'écarter d'elle rapidement si tu veux pas avoir des gros ennuis. Tu as de la chance, je suis de bonne humeur aujourd'hui. " Ma voix trahissait une irritation, une colère et une envie meurtrière. Ma voix était grave et sombre.

[EDIT]

22/05/2756

Alors que Daël venait de la prendre contre lui, tentant de la calmer sans effet, sinon celui d’apaiser la Bête. C’est alors qu’Ulrik jaillit de la salle de bains, en manteau. Eden surprise se releva immédiatement et le regarda, effarée. Que faisait-il là ? Que croyait-il ? Que savait-il ? Que soupçonnait-il ? Qu’allait-il faire ? Elle avait peur soudain, que ce soit pour Daël, pour Ulrik ou pour elle. Instinctivement, elle se plaça en barrière entre les deux hommes, un regard presque suppliant vers Ulrik, ses yeux encore mouillés de larmes.

Ils étaient là mêlés l'un à l'autre. Quand un Homme débarqua par la salle de bain...

Non mais on ne lui a jamais appris à frapper aux portes lui ? Et depuis quand on rentre par une fenêtre, surtout celle de la salle de bain d'une jeune femme... ?

Daël n'aimait décidément pas cet Homme. Il le dévisagea durant le long de sa réplique. Mais pour qui se prenait il ? Il fait pleurait la femme qu'il dit aimer et il reproche qu'on la console alors que lui n'était pas là.

Daël, un sourire arrogant aux lèvre se leva tranquillement, déposa un baiser dans le coup de la jolie brune qui c'était placé entre les deux hommes.

"Laisse..."

Il ce plaça devant elle. Il avait promis de la protéger, et il le ferait.

"M'éloigner d'elle ? Pour la faire pleurer comme toi tu l'as fait ? Non je ne pense pas ... Tu ne la mérites pas. En aucun cas... Moi je suis là pour elle et toi tu penses qu'en débarquant tous les 6 mois avec tout l'amour du monde et des cadeaux tous aussi luxueux les uns que les autres... Ça suffit ? Non mon grand je t'apprends que le vrai cadeau que tu aurais pu lui faire c'est d'être présent à ses côtés, botter le cul à tous les salopards qui osent poser la main sur elle sous prétextes qu'ils ont de l'argent et qu'elle leur plait... Ça ça aurait été quelque chose de vrai. Tout n'est qu'artifices arrêtes de croire qu'elle t'appartient parce que tu lui a fait croire a un sentiment que tu oses appeler Amour. Mais le seul véritable amour que tu portes c'est celui envers toi même et le pouvoir. Alors maintenant je crois que la seule chose que tu as à faire c'est partir... Loin comme tu l'as toujours fait mais cette fois ne reviens pas. "

On pouvait lire la rage grandissante dans les yeux d'Ulrik. alors que dans ceux de Daël c'était la flamme de la jeunesse, de la passion, et du défie qui brillait.

Il s'interposa devant Eden.

"M'éloigner d'elle ? Pour la faire pleurer comme toi tu l'as fait ? Non je ne pense pas ... Tu ne la mérites pas. En aucun cas... Moi je suis là pour elle et toi tu penses qu'en débarquant tous les 6 mois avec tout l'amour du monde et des cadeaux tous aussi luxueux les uns que les autres... Ça suffit ? Non mon grand je t'apprends que le vrai cadeau que tu aurais pu lui faire c'est d'être présent à ses côtés, botter le cul à tous les salopards qui osent poser la main sur elle sous prétextes qu'ils ont de l'argent et qu'elle leur plait... Ça ça aurait été quelque chose de vrai. Tout n'est qu'artifices arrêtes de croire qu'elle t'appartient parce que tu lui a fait croire a un sentiment que tu oses appeler Amour. Mais le seul véritable amour que tu portes c'est celui envers toi même et le pouvoir. Alors maintenant je crois que la seule chose que tu as à faire c'est partir... Loin comme tu l'as toujours fait mais cette fois ne reviens pas. "

Ma rage éclata. Je serrais les poings jusqu'à m'en faire blanchir les phalanges. Des flammes violettes s’échappèrent de mes mains, formant un gant de feu autour des mes doigts crispés. Je me déplaçais rapidement, mes poings entourés de flammes. Je me rapprochais dangereusement de Dael et vint murmurer d'une façon glaciale et meurtrière à son oreille.

-"Si tu n'avais pas été là, Eden n'aurait pas pleuré. Tu es la source de ses maux. Tu ne la mérites pas, profiter d'un moment de faiblesse pour la prendre et la voler, ce n'est pas digne d'un homme. Tu as commis une grave erreur. Et tu vas le sentir rapidement. Qu'as tu à lui offrir ? Tu n'es qu'un moins que rien, un misérable insecte qu'on écrase comme si de rien était. Mais je ne vais pas te faire cette faveur que de te tuer tout de suite, je vais te laisser seul, dans la tourmente, tu ne pourras jamais être tranquille, tu devras toujours etre sur tes gardes, tu seras torturé mentalement. Maintenant, toi qui soit disant la protège, montre lui comment tu veux t'y prendre? Comment comptes tu la protéger si tu ne peux même pas te protéger toi même? Tu ne vaux pas mieux que les autres. Toi qui profite d'elle sans rien en retour juste un soit disant amour, juste un soit disant réconfort, juste un soit disant "tu me plais". Moi j'allais lui offrir une vie. Ce qu'elle voulait. Tout. Maintenant, pauvre bouffon, écarte toi de mon chemin.."

Je levais lentement mon poing dans le but de l'envoyer voler.

22/05/2756

Daël s’interposa.

- M'éloigner d'elle ? Pour la faire pleurer comme toi tu l'as fait ? Non je ne pense pas ... Tu ne la mérites pas. En aucun cas... Moi je suis là pour elle et toi tu penses qu'en débarquant tous les 6 mois avec tout l'amour du monde et des cadeaux tous aussi luxueux les uns que les autres... Ça suffit ? Non mon grand je t'apprends que le vrai cadeau que tu aurais pu lui faire c'est d'être présent à ses côtés, botter le cul à tous les salopards qui osent poser la main sur elle sous prétextes qu'ils ont de l'argent et qu'elle leur plait... Ça ça aurait été quelque chose de vrai. Tout n'est qu'artifices arrêtes de croire qu'elle t'appartient parce que tu lui as fait croire a un sentiment que tu oses appeler Amour. Mais le seul véritable amour que tu portes c'est celui envers toi même et le pouvoir. Alors maintenant je crois que la seule chose que tu as à faire c'est partir... Loin comme tu l'as toujours fait mais cette fois ne reviens pas.

Eden sentait que la rage d’Ulrik allait exploser et elle se cacha derrière Daël. Elle sentait que ça allait faire mal. Les larmes lui montaient déjà aux yeux. Il s’approcha d’eux, tel un crotale vers ses proies. Il susurra des mots à l’oreille de Daël, des mots qu’elle entendait parfaitement.

- Si tu n'avais pas été là, Eden n'aurait pas pleuré. Tu es la source de ses maux. Tu ne la mérites pas, profiter d'un moment de faiblesse pour la prendre et la voler, ce n'est pas digne d'un homme. Tu as commis une grave erreur. Et tu vas le sentir rapidement. Qu'as tu à lui offrir ? Tu n'es qu'un moins que rien, un misérable insecte qu'on écrase comme si de rien était. Mais je ne vais pas te faire cette faveur que de te tuer tout de suite, je vais te laisser seul, dans la tourmente, tu ne pourras jamais être tranquille, tu devras toujours etre sur tes gardes, tu seras torturé mentalement. Maintenant, toi qui soit disant la protège, montre lui comment tu veux t'y prendre? Comment comptes tu la protéger si tu ne peux même pas te protéger toi même? Tu ne vaux pas mieux que les autres. Toi qui profite d'elle sans rien en retour juste un soit disant amour, juste un soit disant réconfort, juste un soit disant "tu me plais". Moi j'allais lui offrir une vie. Ce qu'elle voulait. Tout. Maintenant, pauvre bouffon, écarte toi de mon chemin.

Eden vit Ulrik lever le poing vers Daël, et là, Inferno s’éveilla. Elle ne voulait pas, surtout pas qu’Ulrik ne frappe Daël. Elle bondit, et, au moment où le poing d’Ulrik allait s’abattre sur son Daël, elle s’interposa, créant un bouclier de force.

- Ne le touche pas.

Ce n’était qu’un murmure, d’une voix très basse. Dans ses yeux, on lisait la rage de vivre, la rage de vaincre, la rage d’aimer, mais aussi sa tristesse face à Ulrik et à sa réaction, face à son changement, mais aussi face à sa propre faiblesse. Dans ses yeux il y avait un feu d’émotions.

Eden était partie, Inferno était de sortie. Bien. Tant pis. Son bouclier n'allait donner qu'un sursis à Daël. Il mourrait tôt ou tard.

- Ne le touche pas.

Que je ne le touche pas ? Oh non, je n'allais pas le toucher. J'allais le tuer, le massacrer pour avoir osé corrompre mon Eden de la sorte. J'étais sur désormais qu'il l'avait manipulée pour la retourner contre moi.

Je continuais à m'adresser à Daël, résumant ma tirade en quelques mots : Je vais te détruire.

Je tentais de fissurer le bouclier, mais je m'aperçus avec stupeur qu'il était résistant. Peut-être même trop résistant. Le doute s'insinuait en moi, pour l'une des premières fois de ma vie. Non, c'était impossible ! Elle ne pouvait PAS être plus puissante que moi, le plus puissant des Réprouvés ! Je créais une boule de feu entre mes mains et la lançais sur son bouclier, puis voyant que ça ne fonctionnait pas, je me ruais vers Inferno dans le but de l'assommer pour éviter qu'elle ne garde le contrôle.

22/05/2756

Ulrik n’avait pas l’ »air décidé à les laisser en paix. Après une menace à l’intention de Daêl, il s’attaqua au bouclier d’Inferno, qui résistait remarquablement bien, tandis qu’Eden tentait de reprendre le contrôle, avant que tout n’explose. Tout à coup, il se rua vers elle. Manque de chance, elle s’écarta par réflexe, entrainant Daël.

- Tu ne détruiras rien ni personne ici, Ulrik. Va t-en. Pars.

La voix était froide, tranchante, hautaine. La voix d’Inferno. Eden, un instant, revint.

- Pars.

Cette fois, c’était ben sa voix, dans laquelle on pouvait sentir toute la tristesse de l’avoir perdu. Elle sentait que jamais il ne reviendrait et que jamais pus ce ne serait simple. Mais tout ce qu’elle voulait, c’était qu’il parte, et la laisse avec Daël. Elle ne voulait pas d’un affrontement. Elle avait trop peur de l’issue. Elle ne voulait pas laisser trop de terrain à Inferno, tellement plus puissante qu'elle ... Lorsqu'Eden reprenait le pouvoir, la puissance s'amenuisait.

Daël ne comprenait plus grand chose. Eden ne ressemblait plus à Eden elle était trop puissante. C'était quelqu'un d'autre. Et Ulrik qui tremblait de rage était prêt à faire exploser la ville entière.
Daël observa les murs et ils vibraient... Tant de puissance concentrée dans une si petite pièce ça n'allait pas tenir longtemps.
Daël sentit Eden revenir puis repartir puis revenir. Daël essaya de la calmer un minimum en lui attrapant la main. Il regarda Ulrik dans les yeux. Il ne savait pas quoi faire jamais il n'avait vu autant de magie. Jamais il n'avait eu à affronter des gens aussi puissant. Il essay de l'affaiblir par la faim tant qu'il le pouvait mais ça ne serait peut être pas réellement utile...

22/05/2756

Ulrik la fusilla du regard. Elle sentait que Daël tentait d’agir. Elle savait aussi que c’était inutile. Rares étaient ceux qui pouvaient nuire à Ulrik. Elle en faisait partie. Seule sa puissance, sa puissance folle, sa puissance anormale et incontrôlable pouvait lui permettre d’en venir à bout, de l’annihiler au moins un instant. Elle serra les dents.

- Si tu veux e battre, attaque moi. Tu sais que face à nous, tu ne peux rien. Je ne veux pas le perdre. Je t’ai déjà perdu.

Son regard était plein d’un défi sans bornes mais ses yeux brillaient de larmes. Elle sentait ses mains trembler légèrement. Leurs regards s’affrontèrent un instant. Daël, derrière, ne bougeait pas. Puis, Ulrik se jeta sur elle. Elle l’évita et les jets de magie fusèrent en tous sens, dans une bulle créée pour eux. Elle ne voulait pas atteindre celui qu’elle aimait, qui la protégeait, qui l’aidait. Elle ne voulait pas le blesser. Et elle voulait, aussi, sauvegarder l’appartement. Mais tout cela fut submergé par la rage, la tristesse, la soif de sang qui, soudain, la submergèrent, laissant la domination totale à Inferno. Un gout de sang emplit sa bouche et elle sembla soudain rayonner de puissance. Elle perdit tout contrôle.

Noir.

La lumière l’agressa soudain. Elle était debout, vacillante, hébétée, sans forces aucune. Ulrik était face à elle, blessé au vu du sang.

- Pars.

Son regard était plein de haine, tandis que celui de la jeune fille semblait venir d’un autre monde. Il sembla vouloir dire quelque chose mais seul du sang sortit de sa bouche. Il lui lança un dernier regard et disparut. Elle, elle tomba au sol. Ses jambes ne ka portaient plus. Sa tête tournait. Des papillons dansaient follement devant ses yeux.

Daël impuissant et misérable face à ce combat de titans avait conservé ses réflexes et rattrapé Eden dans sa chute. Il la serra contre lui et la déposa sur son lit.
Il était encore sous le choc d'avoir assisté à un tel spectacle. Ulrik puissant comme dans les histoires que l'on raconte pour faire peur aux enfants ces histoires sur l'ombre et ses sous-fifres. Une puissance telle était inconcevable pour lui jusqu'à aujourd'hui.
Et c'est les histoires était plus que des histoires... Rien qu'en y repensant des frissons lui parcoururent le dos tout entier il plongea sa tête dans ses mains assis à côté d'Eden.
Eden, elle n'était pas tout à fait elle tout à l'heure. Elle n'était plus du tout elle même à vrai dire. Elle lui avait froid dans le dos à elle seule elle a réussi à blesser l'homme le plus puissant que Daël eu rencontré et pourtant il en a vu des costauds mais dees comme ceux là, jamais.

Il entendit les draps se froisser, Eden avait bougé.

"Eden ? c'est bien toi ? Est ce que ça va ?"

Il n'osait pas la touché, il ne savait pas trop pourquoi.

[Terminé] Bonne nouvelle ? [sp Eden]

[Terminé] Bonne nouvelle ? [sp Eden]

Re: [Terminé] Bonne nouvelle ? [sp Eden]

Re: [Terminé] Bonne nouvelle ? [sp Eden]

Re: [Terminé] Bonne nouvelle ? [sp Eden]

Re: [Terminé] Bonne nouvelle ? [sp Eden]

Re: [Terminé] Bonne nouvelle ? [sp Eden]

Re: [Terminé] Bonne nouvelle ? [sp Eden]

Re: [Terminé] Bonne nouvelle ? [sp Eden]

Re: [Terminé] Bonne nouvelle ? [sp Eden]

Re: [Terminé] Bonne nouvelle ? [sp Eden]

Re: [Terminé] Bonne nouvelle ? [sp Eden]

Re: [Terminé] Bonne nouvelle ? [sp Eden]

Re: [Terminé] Bonne nouvelle ? [sp Eden]

Re: [Terminé] Bonne nouvelle ? [sp Eden]

Re: [Terminé] Bonne nouvelle ? [sp Eden]

Re: [Terminé] Bonne nouvelle ? [sp Eden]

Re: [Terminé] Bonne nouvelle ? [sp Eden]

Re: [Terminé] Bonne nouvelle ? [sp Eden]

Re: [Terminé] Bonne nouvelle ? [sp Eden]

Re: [Terminé] Bonne nouvelle ? [sp Eden]

Re: [Terminé] Bonne nouvelle ? [sp Eden]

Re: [Terminé] Bonne nouvelle ? [sp Eden]

Re: [Terminé] Bonne nouvelle ? [sp Eden]

Re: [Terminé] Bonne nouvelle ? [sp Eden]

Re: [Terminé] Bonne nouvelle ? [sp Eden]