- Séléné SaralondëElysionien.ne
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Date d'inscription : 02/09/2011
Age : 32
Localisation : Peut-être juste derrière toi, peut-être n'importe où ailleurs
Votre personnage et ses relations
Date de naissance: 08/05/2757
Âge: 33
Branche(s): Alf - Phabienne
Lieu de vie: Inconnu
Occupation: Inconnue
Niveau de richesse:
Niveau de célébrité: 8
Relations principales:
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[Terminé] Garde du corps ... ou presque ! [sp Deus Wise et toute personne étant dans le château]
Sam 6 Avr 2013 - 14:09
Séléné s'éveilla enroulée dans les draps foncés et blottie contre Deus, se servant de ses bras comme d'une couverture. Il était encore endormi. Une lumière légère et crue, presque blanche filtrait des rideaux tirés. Elle en profita pour le contempler, une fois de plus. Son visage aux traits relâchés le faisait paraître plus jeune qu'il ne l'était en réalité. Il avait les traits fins propres à sa race, et derrière les paupières closes, elle devinait les yeux violets. ses cheveux dorés se répandaient sur l'oreiller, entre le court et le long. Dire que cela faisait déjà plus d'un an qu'ils étaient partis à la mer, plus d'un an qu'Angel Dust était mort, plus d'un an que, pour une fois dans une relation amoureuse, elle avait pensé au présent et au futur. Elle sourit, effleura son visage d'ange ses lèvres vermillonnes, et se dégagea tendrement, sans l'éveiller, ou en tous cas pas sur l'instant. Les protestations très vives de ses muscles lui rappelèrent de façon cuisante que par contre ça faisait à peine un mois qu'elle avait croisé la route d'Angel Dust, ce qui n'était pas pour la ravir, il fallait bien l'avouer. Elle grimaça, posa ses pieds nus sur le sol de pierre du palais royal, et se dirigea vers la salle de bains dans la semi-obscurité de la pièce.
Elle sourit de façon ironique en voyant le lit simple dans un coin de la pièce. Eh oui, il fallait bien entretenir l'illusion. Au palais, elle était garde du corps. Garde du corps du roi, la seule et unique à pouvoir le suivre partout, en permanence. la seule, aussi, à la supporter autant. On ne savait que le relation était toute autre, et c'était tant mieux: le subterfuge avait été créé pour cela. Elle avait été assez médiatisée ainsi à son goût, et préférait rester officiellement neutre dans ses actes. D'ailleurs, depuis le début de sa relation avec Deus, ce n'était pas ses opinions politiques qui avaient changé, c'était la politique de Rhadamanthe. Il faut dire qu'elle était plutôt douée en politique aussi à force, et quoique son rôle ne fut pas officiel, elle influait un peu sur les décisions de son amant, qui, il fallait l'avouer, la consultait assez fréquemment.
Elle entra dans la salle de bains, et enleva son "pyjama" -composé d'un t-shirt trop grand et informe- puis se regarda dans le miroir. C'était moche. Elle voyait une peau burinée, au grain serré, qui aurait pu être très belle, certes, mais qui était surtout très abîmée. Les cicatrices du tueur étaient tout à fait présentes. Elle avait mis presque une semaine avant de pouvoir marcher, selon les ordres de Lucor. Peu à peu, elle avait repris, ayant des capacités de régénération assez grandes, mais étant surtout très aidée par son ami Soigneur. Elle marchait donc, et pouvait se déplacer, bouger normalement. Par contre, certains mouvements étaient toujours proscrits, et elle faisait une rééducation souvent douloureuse, muscles et tendons ayant été fortement touchés. Elle avait perdu un peu de souplesse et d'élasticité mais se portait plutôt bien au vu de ce qui lui était arrivé. Lucor avait fait de son mieux pour faire disparaître les traces,mais il fallait bien avouer que les marques ne laissaient aucun doute sur ce qu'il s'était passé. Seule sa joue n'était pas trop endommagée. Heureusement, à vrai dire. Elle se tourna et regarda son dos, ses vieilles cicatrices étaient toujours là aussi. Elle soupira. Il lui restait même quelques traces de bleus. Dust avait, encore une fois, frappé fort. Elle voulait sa mort, plus que tout.
Elle passa sous la douche, très chaude pour délasser ses muscles encore douloureux, puis fit une séance rapide d'étirements, avant de se passer de l'eau fraîche sur le corps. Elle se sécha, et enfila ses sous-vêtements, avant de sortir de la salle de bains pour s'habiller, et commencer ainsi sa journée. Deus dormait toujours, le chien à ses pieds, gardé et nommé Marie-Antoinette.
*Loirs !*
Toujours en silence et dans une lumière chiche, elle s'habilla avec du cuir, comme toujours solide et moulant, avant d'enfiler une ceinture avec quelques armes, et chaussures souples, et de retourner se coiffer à la salle de bains. Elle tressa ses cheveux de neige de façon serrée, et se défia elle-même du regard. Elle regarda ensuite l'emploi du temps de la journée, t décida qu'à neuf heures passées,il était temps pour le roi de s'éveiller. Ils avaient déjà plus dormi que d'habitude aujourd'hui, et une réunion et des entrevues les attendaient, lui en temps que roi et elle en temps que dangereuse mutique -et femme surveillante et jalouse- à côté -ou derrière, ça dépendait des moments-.
Elle passa une main sur Marie-Antoinette qui se frotta à elle avec joie, avant de bondir hors du lit en remuant la queue, attendant son petit déjeuner. Elle glissa ses mains dans le dos du roi des dormeurs et l'embrassa tendrement dans le cou ses sur les joues.
- Allez debout ... La journée commence maintenant, très cher !
Elle chuchotait ces mots à son oreille.
Elle sourit de façon ironique en voyant le lit simple dans un coin de la pièce. Eh oui, il fallait bien entretenir l'illusion. Au palais, elle était garde du corps. Garde du corps du roi, la seule et unique à pouvoir le suivre partout, en permanence. la seule, aussi, à la supporter autant. On ne savait que le relation était toute autre, et c'était tant mieux: le subterfuge avait été créé pour cela. Elle avait été assez médiatisée ainsi à son goût, et préférait rester officiellement neutre dans ses actes. D'ailleurs, depuis le début de sa relation avec Deus, ce n'était pas ses opinions politiques qui avaient changé, c'était la politique de Rhadamanthe. Il faut dire qu'elle était plutôt douée en politique aussi à force, et quoique son rôle ne fut pas officiel, elle influait un peu sur les décisions de son amant, qui, il fallait l'avouer, la consultait assez fréquemment.
Elle entra dans la salle de bains, et enleva son "pyjama" -composé d'un t-shirt trop grand et informe- puis se regarda dans le miroir. C'était moche. Elle voyait une peau burinée, au grain serré, qui aurait pu être très belle, certes, mais qui était surtout très abîmée. Les cicatrices du tueur étaient tout à fait présentes. Elle avait mis presque une semaine avant de pouvoir marcher, selon les ordres de Lucor. Peu à peu, elle avait repris, ayant des capacités de régénération assez grandes, mais étant surtout très aidée par son ami Soigneur. Elle marchait donc, et pouvait se déplacer, bouger normalement. Par contre, certains mouvements étaient toujours proscrits, et elle faisait une rééducation souvent douloureuse, muscles et tendons ayant été fortement touchés. Elle avait perdu un peu de souplesse et d'élasticité mais se portait plutôt bien au vu de ce qui lui était arrivé. Lucor avait fait de son mieux pour faire disparaître les traces,mais il fallait bien avouer que les marques ne laissaient aucun doute sur ce qu'il s'était passé. Seule sa joue n'était pas trop endommagée. Heureusement, à vrai dire. Elle se tourna et regarda son dos, ses vieilles cicatrices étaient toujours là aussi. Elle soupira. Il lui restait même quelques traces de bleus. Dust avait, encore une fois, frappé fort. Elle voulait sa mort, plus que tout.
Elle passa sous la douche, très chaude pour délasser ses muscles encore douloureux, puis fit une séance rapide d'étirements, avant de se passer de l'eau fraîche sur le corps. Elle se sécha, et enfila ses sous-vêtements, avant de sortir de la salle de bains pour s'habiller, et commencer ainsi sa journée. Deus dormait toujours, le chien à ses pieds, gardé et nommé Marie-Antoinette.
*Loirs !*
Toujours en silence et dans une lumière chiche, elle s'habilla avec du cuir, comme toujours solide et moulant, avant d'enfiler une ceinture avec quelques armes, et chaussures souples, et de retourner se coiffer à la salle de bains. Elle tressa ses cheveux de neige de façon serrée, et se défia elle-même du regard. Elle regarda ensuite l'emploi du temps de la journée, t décida qu'à neuf heures passées,il était temps pour le roi de s'éveiller. Ils avaient déjà plus dormi que d'habitude aujourd'hui, et une réunion et des entrevues les attendaient, lui en temps que roi et elle en temps que dangereuse mutique -et femme surveillante et jalouse- à côté -ou derrière, ça dépendait des moments-.
Elle passa une main sur Marie-Antoinette qui se frotta à elle avec joie, avant de bondir hors du lit en remuant la queue, attendant son petit déjeuner. Elle glissa ses mains dans le dos du roi des dormeurs et l'embrassa tendrement dans le cou ses sur les joues.
- Allez debout ... La journée commence maintenant, très cher !
Elle chuchotait ces mots à son oreille.
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Re: [Terminé] Garde du corps ... ou presque ! [sp Deus Wise et toute personne étant dans le château]
Dim 19 Mai 2013 - 23:00
Un baiser se déposa quelque part sur son cou, puis sur ses joues, la nuit se termina doucement et tendrement pour Deus, ses pensées embrumées, il n'arrivait pas à réfléchir, sa seule pensée était qu'il était heureux qu'on le réveille de cette manière et pas abruptement et surtout, que ce soit l'élue de son coeur qui le réveille.
- Encore cinq minutes s'il-te-plaît mamie !
Il l'attrapa et la tira contre lui dans le lit, forçant pour la faire basculer et il la serra fort entre ses bras, qu'est-ce qu'il aimait ça ! Son seul problème c'est qu'ils ne pouvaient pas afficher leur amour ne public, elle ne voulait pas plus de renommée qu'elle en avait déjà, ce qui pouvait être compréhensible mais restait énervant ! Il montaient donc leur petit stratagème afin de faire croire qu'elle était simple garde du corps.
Finalement ils se levèrent par la force de l'heure qui avance vite et des obligations royales même si à Rhadamanthe tout ça la plupart des gens s'en fichent, il y a toujours des personnes à cheval sur les règles et la présence. Ils sortirent, lui en tenue d'apparat pour montrer que le Roi était présent en ville, il était porté par des soldats sur une sorte de grand lit à baldaquin au milieu des rues, paradant et criant "c'est moi le Roi !" à tout bout de champ. Aujourd'hui était un jour spécial d'ailleurs, ils se dirigeaient vers les grand place pour une annonce de la part de Deus comme à son habitude mais les habitudes il voulait les changer.
Il cherchati quand même Séléné du regard entre les gros bonhommes et les prostituées sur les trottoirs qui le regardaient méchamment, n'attendant que l'occasion rêvée pour lui sauter à la gorge, soit pour voler tout ce qui faisait sa fortune sur lui ou pour le désinvestir de sa royauté, ce continent était vraiment rempli de racaille...
- Encore cinq minutes s'il-te-plaît mamie !
Il l'attrapa et la tira contre lui dans le lit, forçant pour la faire basculer et il la serra fort entre ses bras, qu'est-ce qu'il aimait ça ! Son seul problème c'est qu'ils ne pouvaient pas afficher leur amour ne public, elle ne voulait pas plus de renommée qu'elle en avait déjà, ce qui pouvait être compréhensible mais restait énervant ! Il montaient donc leur petit stratagème afin de faire croire qu'elle était simple garde du corps.
Finalement ils se levèrent par la force de l'heure qui avance vite et des obligations royales même si à Rhadamanthe tout ça la plupart des gens s'en fichent, il y a toujours des personnes à cheval sur les règles et la présence. Ils sortirent, lui en tenue d'apparat pour montrer que le Roi était présent en ville, il était porté par des soldats sur une sorte de grand lit à baldaquin au milieu des rues, paradant et criant "c'est moi le Roi !" à tout bout de champ. Aujourd'hui était un jour spécial d'ailleurs, ils se dirigeaient vers les grand place pour une annonce de la part de Deus comme à son habitude mais les habitudes il voulait les changer.
Il cherchati quand même Séléné du regard entre les gros bonhommes et les prostituées sur les trottoirs qui le regardaient méchamment, n'attendant que l'occasion rêvée pour lui sauter à la gorge, soit pour voler tout ce qui faisait sa fortune sur lui ou pour le désinvestir de sa royauté, ce continent était vraiment rempli de racaille...
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Re: [Terminé] Garde du corps ... ou presque ! [sp Deus Wise et toute personne étant dans le château]
Lun 20 Mai 2013 - 17:08
Il l’appela Mamie, avant de la prendre contre lui fougueusement.
- Gérontophile de mon cœur, va !
Ces mots lui avaient été chuchotés.
Après un long câlin, tous deux se levèrent. Séléné se recoiffa sommairement, et ils sortirent. Deus était assez clinquant en tenue d’apparat, sa couronne sur la tête, dans une sorte de grand lit à baldaquin. Il aimait la représentation. Cela la faisait souvent sourire, l’agaçait parfois. Mais il avait toujours été ainsi, et elle ne le changerait pas ainsi, elle en avait parfaitement conscience. Marie-Antoinette était sur le lit avec Deus, toute excitée par les vivats –enfin, presque- de la foule écartée par les gardes. Quant à elle, elle était discrète, prête à bondir. Ses vêtements étaient souples et assez sombres, bien la protégeaient des coups. Elle était à cheval, derrière le lit, un peu décalée pour pouvoir avoir une vue d’ensemble. Soudain, il y eut un bruit aigu près d’elle, et une boule rose volante ressemblant à de la fourrure volait à côté de sa tête, un mot accroché sur elle.
« Haribo. Œuf 4. »
*Oh non … Pourquoi ai-je participé à cette fichue chasse ?*
Elle se doutait de ce qu’était ce truc. Et savait que c’était plus collant que la glue ultra forte elle-même. Pour l’instant il la suivait, voletant et gazouillant à qui mieux-mieux.
*Ou comment perdre toute crédibilité, ma belle. Et toute discrétion aussi.*
Elle écarta plusieurs personnes qui venaient un peu trop près à son goût de son royal amant. Les avides étaient partout. Et Deus ressemblait à s’y méprendre à une proie facile, même si tous à présent connaissaient l’étendue de ses pouvoirs.
Ils arrivèrent enfin sur la grand place. Elle arrêta son cheval aux muscles fins, et regardant d’un air méprisant Haribo.
- PIwîî !
*Crotte. Ca parle en plus. *
- La ferme !
Apparemment il comprit et se tut. Séléné alla se placer près de Deus, la bouboule toujours près de sa tête, et se mit à observer attentivement la foule, à la recherche de quelqu’un ou de quelque chose à intercepter.
- Gérontophile de mon cœur, va !
Ces mots lui avaient été chuchotés.
Après un long câlin, tous deux se levèrent. Séléné se recoiffa sommairement, et ils sortirent. Deus était assez clinquant en tenue d’apparat, sa couronne sur la tête, dans une sorte de grand lit à baldaquin. Il aimait la représentation. Cela la faisait souvent sourire, l’agaçait parfois. Mais il avait toujours été ainsi, et elle ne le changerait pas ainsi, elle en avait parfaitement conscience. Marie-Antoinette était sur le lit avec Deus, toute excitée par les vivats –enfin, presque- de la foule écartée par les gardes. Quant à elle, elle était discrète, prête à bondir. Ses vêtements étaient souples et assez sombres, bien la protégeaient des coups. Elle était à cheval, derrière le lit, un peu décalée pour pouvoir avoir une vue d’ensemble. Soudain, il y eut un bruit aigu près d’elle, et une boule rose volante ressemblant à de la fourrure volait à côté de sa tête, un mot accroché sur elle.
« Haribo. Œuf 4. »
*Oh non … Pourquoi ai-je participé à cette fichue chasse ?*
Elle se doutait de ce qu’était ce truc. Et savait que c’était plus collant que la glue ultra forte elle-même. Pour l’instant il la suivait, voletant et gazouillant à qui mieux-mieux.
*Ou comment perdre toute crédibilité, ma belle. Et toute discrétion aussi.*
Elle écarta plusieurs personnes qui venaient un peu trop près à son goût de son royal amant. Les avides étaient partout. Et Deus ressemblait à s’y méprendre à une proie facile, même si tous à présent connaissaient l’étendue de ses pouvoirs.
Ils arrivèrent enfin sur la grand place. Elle arrêta son cheval aux muscles fins, et regardant d’un air méprisant Haribo.
- PIwîî !
*Crotte. Ca parle en plus. *
- La ferme !
Apparemment il comprit et se tut. Séléné alla se placer près de Deus, la bouboule toujours près de sa tête, et se mit à observer attentivement la foule, à la recherche de quelqu’un ou de quelque chose à intercepter.
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Re: [Terminé] Garde du corps ... ou presque ! [sp Deus Wise et toute personne étant dans le château]
Jeu 13 Juin 2013 - 22:57
Personne ne dérangea leur cortège et ils arrivèrent sans embûches à la place centrale de Rhadamanthe, une très très très grande place avec beaucoup beaucoup beaucoup de gens: De tout d'ailleurs autant ceux habillés en clinquant avec des bijoux et de la dentelle partout que des hommes sortis de bidonvilles entourant la ville, habillés en loques ou même torse nu pour certains, ce qui était sur c'est que la grande majorité avait un regard plutôt méchant, belliqueux et pas très très gentil (Ah et aussi que ceux habillés en clinquant était pas forcément riches, y'en avaient qui avaient volé leur affaire à des vrais clinquant)
Deus attrapa les flux magiques qu'il pouvait manipuler pour amplifier sa voix, il n'était pas un expert de la magie, juste un illusionniste lambda pas très doué de ses dix doigts mais il pouvait au moins faire ça lui-même. Quand sa voix résonna, du milieu de la place, les ondes sonores se répercutèrent dans toute la ville, ricochant sur les murs, on l'entendait à des lieues à la ronde sans même le voir mais tous savaient que la personne qui parlait était le roi, le nouveau Roi, le gentil Roi de Rhadamanthe qui n'avait rien à faire sur le trône jusque là. Et c'est à ça qu'il avait réfléchit: comment se faire apprécier du peuple Rhadamanthien en tant que chef incontesté ? Donner au peuple ce qu'il voulait, du sang !
- Peuple de Cruor ! Ce que vous allez entendre maintenant vous pourrez le faire passer de bouche à oreille afin que toute la planète en soit au courant ! Car aujourd'hui notre continent, le continent fort va prendre le pouvoir ! Notre continent va anéantir, conquérir et se baigner dans les sang ennemi: A partir de maintenant, tout de suite, je déclare que ce continent est en guerre ! En guerre contre Eaque, le genre de guerre que personne n'a eu le courage d'initier depuis des années et je dirigerais moi-même le gros des troupes sur Eaque afin de m'assurer de notre victoire !
Un tumulte, un hurlement uni s'éleva de la foule et traversa la ville de part en part, on entendait les cris de joies, de guerre et la demande de sang à travers tout Cruor et il savait très bien que bientôt on l'entendrait à travers tout Rhadamanthe, un sourire étira les lèvres du Roi, au final quand il faisait ce genre d'action il se sentait plutôt bien.
Deus attrapa les flux magiques qu'il pouvait manipuler pour amplifier sa voix, il n'était pas un expert de la magie, juste un illusionniste lambda pas très doué de ses dix doigts mais il pouvait au moins faire ça lui-même. Quand sa voix résonna, du milieu de la place, les ondes sonores se répercutèrent dans toute la ville, ricochant sur les murs, on l'entendait à des lieues à la ronde sans même le voir mais tous savaient que la personne qui parlait était le roi, le nouveau Roi, le gentil Roi de Rhadamanthe qui n'avait rien à faire sur le trône jusque là. Et c'est à ça qu'il avait réfléchit: comment se faire apprécier du peuple Rhadamanthien en tant que chef incontesté ? Donner au peuple ce qu'il voulait, du sang !
- Peuple de Cruor ! Ce que vous allez entendre maintenant vous pourrez le faire passer de bouche à oreille afin que toute la planète en soit au courant ! Car aujourd'hui notre continent, le continent fort va prendre le pouvoir ! Notre continent va anéantir, conquérir et se baigner dans les sang ennemi: A partir de maintenant, tout de suite, je déclare que ce continent est en guerre ! En guerre contre Eaque, le genre de guerre que personne n'a eu le courage d'initier depuis des années et je dirigerais moi-même le gros des troupes sur Eaque afin de m'assurer de notre victoire !
Un tumulte, un hurlement uni s'éleva de la foule et traversa la ville de part en part, on entendait les cris de joies, de guerre et la demande de sang à travers tout Cruor et il savait très bien que bientôt on l'entendrait à travers tout Rhadamanthe, un sourire étira les lèvres du Roi, au final quand il faisait ce genre d'action il se sentait plutôt bien.
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Re: [Terminé] Garde du corps ... ou presque ! [sp Deus Wise et toute personne étant dans le château]
Dim 16 Juin 2013 - 16:50
Elle sentait la magie qui les environnait, et elle savait ce que Deus lui faisait faire. Au moins, les illusions, il les maîtrisait. C’était déjà ça … Haribo voletait autour de sa tête, la distrayant ? Pas assez cependant pour qu’elle n’entende pas ce que disait Deus.
Parfait exemple de décision unilatérale. Il n’en avait parlé à personne, pas même à elle.
Elle bouillait intérieurement. Bon sang de bonsoir, c’était pas comme ça qu’on faisait ! Certes, Rhadamanthe voulait du sang, mais Eaque … Et Minos alors ? N’était-il pas ai courant des rumeurs de retour maléfique ? Voulait-il vraiment se créer des ennemis à vie ?
Elle serra les poings, alors qu’ils rentraient au palais. Lorsqu’ils furent arrivés, elle prit Deus à part, dans une pièce vide, qu’elle insonorisa. Elle le fusilla du regard, face à lui très proche.
- Mais t’es malade ? Pourquoi tu fais ça ? Pourquoi t’as dit ça ? Tu sais ce que c’est une guerre, tu sais ce que ça signifie en pratique ? T’es au courant qu’au moins un tiers de ton peuple va proprement crever, et que tu n’es pas assuré de gagner ? Tu es au courant, qu’avant ta connerie monumentale, les deux continents étaient dans une paix relative, et que tu viens de foutre en l’air plus d’un siècle d’efforts ? C’est complètement idiot ce que tu viens de faire d’accord ? En plus personne n’était au courant ! Je te préviens tout de suite : si je dois choisir un camp, ce sera pas le tien, d’accord, et si tu te fais embrocher, tu t’en démerdes ! Si je dois tuer certains de tes alliés, je le ferai sans remords. Je ne veux pas être mêlée à tes imbécilités. Tu es roi, bordel ! Tu n’es plus un gamin capricieux, Deus ! c’est fini, ça ! Ton rôle, c’est pas de massacrer ton peuple, ni même d’être aimé par eux ! Qu’ils te craignent, c’est suffisant, ils ne t’attaqueront pas. Tu nous mène à la catastrophe enfin ! Tu sais très bien que les séides de l’Ombre sont de plus en plus nombreux chaque jour, que certains Réprouvés sont sûrement libérés, que les laquais des Ténèbres sont plus puissants tous les jours, et toi, tu lances une guerre contre ceux qui auraient pû être nos alliés pour combattre cette … chose ? On fera comment quand on sera attaqués, hein ? On n’est fort qu’à plusieurs, et là tu seras seul, tout seul, parce que jamais Minos ne t’aidera, et tu te feras tuer tout seul dans ton coin comme l’imbécile fini et égoiste que tu es ! je ne veux être la femme ni d’un tyran nombriliste, ni d’un monstre, ni d’un mort Deus ! Tu ne penses qu’à toi ! Uniquement à toi ! Tu vas tous les faire tuer, et tu en es aussi heureux qu’eux !
Ses yeux étincelaient de rage, et de larmes contenues. Son doigt s’enfonçait dans la poitrine de Deus. Peu importe si elle lui faisait mal. Puis elle se détourna soudain. Sa voix était plus calme. Plus triste aussi.
- Je reste avec toi jusqu’à la fin de la journée, pour ne pas faire de remous. Et à la tombée de la nuit, je m’en vais. Je reviendrai peut-être, mais je ne dors pas ici ce soir.
Elle était dos à lui, et elle sentait son corps entier trembler. Elle mourrait d’envie de se jeter dans ses bras, et ceci la dégoutait d’elle-même. Ce soir, elle irait ailleurs, loin. Et elle noierait ses désillusions dans les larmes.
Parfait exemple de décision unilatérale. Il n’en avait parlé à personne, pas même à elle.
Elle bouillait intérieurement. Bon sang de bonsoir, c’était pas comme ça qu’on faisait ! Certes, Rhadamanthe voulait du sang, mais Eaque … Et Minos alors ? N’était-il pas ai courant des rumeurs de retour maléfique ? Voulait-il vraiment se créer des ennemis à vie ?
Elle serra les poings, alors qu’ils rentraient au palais. Lorsqu’ils furent arrivés, elle prit Deus à part, dans une pièce vide, qu’elle insonorisa. Elle le fusilla du regard, face à lui très proche.
- Mais t’es malade ? Pourquoi tu fais ça ? Pourquoi t’as dit ça ? Tu sais ce que c’est une guerre, tu sais ce que ça signifie en pratique ? T’es au courant qu’au moins un tiers de ton peuple va proprement crever, et que tu n’es pas assuré de gagner ? Tu es au courant, qu’avant ta connerie monumentale, les deux continents étaient dans une paix relative, et que tu viens de foutre en l’air plus d’un siècle d’efforts ? C’est complètement idiot ce que tu viens de faire d’accord ? En plus personne n’était au courant ! Je te préviens tout de suite : si je dois choisir un camp, ce sera pas le tien, d’accord, et si tu te fais embrocher, tu t’en démerdes ! Si je dois tuer certains de tes alliés, je le ferai sans remords. Je ne veux pas être mêlée à tes imbécilités. Tu es roi, bordel ! Tu n’es plus un gamin capricieux, Deus ! c’est fini, ça ! Ton rôle, c’est pas de massacrer ton peuple, ni même d’être aimé par eux ! Qu’ils te craignent, c’est suffisant, ils ne t’attaqueront pas. Tu nous mène à la catastrophe enfin ! Tu sais très bien que les séides de l’Ombre sont de plus en plus nombreux chaque jour, que certains Réprouvés sont sûrement libérés, que les laquais des Ténèbres sont plus puissants tous les jours, et toi, tu lances une guerre contre ceux qui auraient pû être nos alliés pour combattre cette … chose ? On fera comment quand on sera attaqués, hein ? On n’est fort qu’à plusieurs, et là tu seras seul, tout seul, parce que jamais Minos ne t’aidera, et tu te feras tuer tout seul dans ton coin comme l’imbécile fini et égoiste que tu es ! je ne veux être la femme ni d’un tyran nombriliste, ni d’un monstre, ni d’un mort Deus ! Tu ne penses qu’à toi ! Uniquement à toi ! Tu vas tous les faire tuer, et tu en es aussi heureux qu’eux !
Ses yeux étincelaient de rage, et de larmes contenues. Son doigt s’enfonçait dans la poitrine de Deus. Peu importe si elle lui faisait mal. Puis elle se détourna soudain. Sa voix était plus calme. Plus triste aussi.
- Je reste avec toi jusqu’à la fin de la journée, pour ne pas faire de remous. Et à la tombée de la nuit, je m’en vais. Je reviendrai peut-être, mais je ne dors pas ici ce soir.
Elle était dos à lui, et elle sentait son corps entier trembler. Elle mourrait d’envie de se jeter dans ses bras, et ceci la dégoutait d’elle-même. Ce soir, elle irait ailleurs, loin. Et elle noierait ses désillusions dans les larmes.
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Re: [Terminé] Garde du corps ... ou presque ! [sp Deus Wise et toute personne étant dans le château]
Mar 18 Juin 2013 - 22:26
Elle reviendrait peut-être, peut-être, si elle voulait, après tout elle faisait comme elle voulait, ça lui déchirait le coeur de se dire qu'elle n'approuvait pas ses actes mais il ne pouvait pas la brimer et il avait son propre ego, elle faisait comme elle voulait, soit elle finirait par le comprendre soit ... Il n'espérait même pas imaginer ce qu'était l'autre soit.
Il pinça les lèvres, fort. C'était quelque chose qui l'énervait ça, elle tapait une crise alors qu'il faisait juste ce qu'il fallait pour son continent, et puis elle avait beau lui dire qu'il était un tyran, il réalisait uniquement ce que voulait le peuple afin d'arriver à son but est d'être Suzerain autoproclamé de tout Elysion et une fois qu'il y serait le monde serait aussi parfait que lui mais jusque là, si il devait être mauvais il serait mauvais, ça il l'avait déjà décidé à sa première tentative de prise de contrôle de Rhadamanthe.
Il pinçait toujours autant ses lèvres, elle disparaissait, sa bouche ne formant qu'un fin trait et commençant à blanchir.
Il ne dit rien et resta digne, noyé dans son ego plus grand que lui.
Il la ramena au palais de Rhadamanthe si elle tenait tant que ça à rester, il ne savait même pas où elle irait ensuite. Où est-ce qu'elle pouvait aller ? Rejoindre ses amis qu'elle fréquentait avant lui sûrement et prendre du plaisir avec eux, après tout elle avait une vie bien ermplie avant lui et elle trouverait bien un endroit où dormir. Il s'inquiétait toujours pour rien à propos d'elle. Ca lui faisait mal qu'elle ne reste pas. Ca lui faisait mal ce qu'elle avait dit avant. Elle ne le comprenait vraiment pas et de toute façon ce n'était pas sa faute !
Il ne lui adresserait pas un mot, si il desserrait sa bouche il ne savait pas quel flot de jurons aurait pu en sortir, c'était peut-être ça qu'il avait hérité de son père, il espérait juste que ce n'était qu'un flot d'injure probable qu'il avait hérité de son père ! Il la regardait, surement trop froidement, les yeux brillants mais sûrement trop lointains, il n'arrivait pas à la retenir de toute façon, il aurait aimé lui montrer qu'elle aurait dû rester avec lui mais il resta digne.
Il s'assit sur le trône et avec un aboiement dit:
- Faites entrez qui veut entrer !
Il pinça les lèvres, fort. C'était quelque chose qui l'énervait ça, elle tapait une crise alors qu'il faisait juste ce qu'il fallait pour son continent, et puis elle avait beau lui dire qu'il était un tyran, il réalisait uniquement ce que voulait le peuple afin d'arriver à son but est d'être Suzerain autoproclamé de tout Elysion et une fois qu'il y serait le monde serait aussi parfait que lui mais jusque là, si il devait être mauvais il serait mauvais, ça il l'avait déjà décidé à sa première tentative de prise de contrôle de Rhadamanthe.
Il pinçait toujours autant ses lèvres, elle disparaissait, sa bouche ne formant qu'un fin trait et commençant à blanchir.
Il ne dit rien et resta digne, noyé dans son ego plus grand que lui.
Il la ramena au palais de Rhadamanthe si elle tenait tant que ça à rester, il ne savait même pas où elle irait ensuite. Où est-ce qu'elle pouvait aller ? Rejoindre ses amis qu'elle fréquentait avant lui sûrement et prendre du plaisir avec eux, après tout elle avait une vie bien ermplie avant lui et elle trouverait bien un endroit où dormir. Il s'inquiétait toujours pour rien à propos d'elle. Ca lui faisait mal qu'elle ne reste pas. Ca lui faisait mal ce qu'elle avait dit avant. Elle ne le comprenait vraiment pas et de toute façon ce n'était pas sa faute !
Il ne lui adresserait pas un mot, si il desserrait sa bouche il ne savait pas quel flot de jurons aurait pu en sortir, c'était peut-être ça qu'il avait hérité de son père, il espérait juste que ce n'était qu'un flot d'injure probable qu'il avait hérité de son père ! Il la regardait, surement trop froidement, les yeux brillants mais sûrement trop lointains, il n'arrivait pas à la retenir de toute façon, il aurait aimé lui montrer qu'elle aurait dû rester avec lui mais il resta digne.
Il s'assit sur le trône et avec un aboiement dit:
- Faites entrez qui veut entrer !
- Séléné SaralondëElysionien.ne
- Messages : 754
Date d'inscription : 02/09/2011
Age : 32
Localisation : Peut-être juste derrière toi, peut-être n'importe où ailleurs
Votre personnage et ses relations
Date de naissance: 08/05/2757
Âge: 33
Branche(s): Alf - Phabienne
Lieu de vie: Inconnu
Occupation: Inconnue
Niveau de richesse:
Niveau de célébrité: 8
Relations principales:
Autres informations essentielles:
Re: [Terminé] Garde du corps ... ou presque ! [sp Deus Wise et toute personne étant dans le château]
Mer 19 Juin 2013 - 10:39
La lèvre disparue, transformée en une ligne blanche, pincée, donnait à Séléné une idée de l’humeur de Deus. Grand bien lui fasse. Une petite gifle à son ego ne le tuerait pas. Il n’en avait jamais eue de toute façon. Tout en se demandant pourquoi elle avait pris la décision de rester jusqu’au soir, elle alla avec lui jusqu’à la salle du trône, se composant un visage neutre, un poil farouche, juste assez pour, cumulé avec la dague visible à son côté gauche, cela dissuade les moins valeureux d’attaquer leur souverain. Deus s’assit sur le trône, et elle resta debout, à côté, sans le regarder. Haribo volait joyeusement entre eux deus, et Marie-Antoinette était couchée de l’autre côté du trône.
*Bel assortiment, vraiment. Un roi idiot et une métisse arrogante formant un couple en crise, accompagnés d'une boule rose débile et d'une chienne paresseuse attendant des suicidaires.*
Elle se retint de secouer la tête, et attendit que les premiers candidats au combat entrent.
[A partir de maintenant, je ne posterai que quand on aura besoin de moi Ne m’attendez pas donc.]
*Bel assortiment, vraiment. Un roi idiot et une métisse arrogante formant un couple en crise, accompagnés d'une boule rose débile et d'une chienne paresseuse attendant des suicidaires.*
Elle se retint de secouer la tête, et attendit que les premiers candidats au combat entrent.
[A partir de maintenant, je ne posterai que quand on aura besoin de moi Ne m’attendez pas donc.]
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