- NidarosInvité
[Archivé]Pour un arpège de plus…
Ven 16 Oct 2015 - 21:17
La lune se lève sur un petit village du nord d’Eaque. Le ciel commence à se couvrir et une pluie fine commence à tomber. Les habitants rentrent tranquillement dans leurs petites maisons cernées de jardins très coquets. Dès que les petites portes se ferment un jeune homme Nidaros fait son apparition.
Il marche tranquillement le long des maisons en observant discrètement la pluie tomber. Derrière lui il entend des pas rapides. Il se retourne et se rend compte que ce ne sont que des enfants qui rentrent chez eux en courant. Une petite fille trébuche sur le sol boueux et atterrit juste devant Nidaros. Elle s’est écorché le genoux. Ses amis arrivent et tentent de l’aider mais elle souffre. De grosses larmes coulent sur sa joue et viennent se mêler à l’eau de pluie.
Nidaros se penche et lui demande doucement : « Où habites –tu ? Je vais te ramener chez tes parents ». Entre deux sanglots la petite fille lui indique une maison à quelques pas. Le jeune homme la prend dans ses bras, il est suivi de près par les camarades de la gamine, qui se méfient fortement de ce mystérieux personnage.
En entrant dans la maison de la petite fille, Nidaros rassure ses parents et leur dit que la blessure n’est pas grave. Il la dépose sur son lit en douceur. Sa mère demande au jeune homme s’il pouvait faire quelque chose pour elle. Nidaros lui répond que oui avec un timide sourire.
La mère de la petite court chercher de l’eau et du tissu pour des bandages. Nidaros la voyant partir lui dit « Tout ceci n’est pas nécessaire ». Le père de la petite fille la rassure et lui essuie le visage avec une serviette.
Nidaros enlève son long manteau noir, et découvre sa tête et ses cheveux blancs et courts. Le père tressaillit en voyant le visage du jeune homme. Il s’écrit : « Par tous les dieux un Darah, il va tous nous tuer !!!! ». Nidaros se lève calmement et lui dit « Je ne suis pas un Darah, du sang coule dans mes veines et mon cœur bat » Il découvrit alors son poignet laissant apparaitre quelques veines bleus. « Vous pouvez vérifier » dit Nidaros toujours très calme… Le père de l’enfant la main tremblante touche le bras du jeune homme. Il ressent une légère vibration sous la peau pâle du jeune homme. Rassuré l’homme le laisse s’approcher de sa fille. Nidaros sort de son manteau une mandoline qu’il accorde tranquillement. Puis il se met à jouer une douce mélodie à l’accent onirique…
Et au bout d’une minute la plaie de la petite fille se referme doucement…
Les parents sont particulièrement étonnés de la manière dont le jeune homme vient de guérir leur fille. Ils remercient chaleureusement le jeune homme et lui offre leur hospitalité pour la nuit. Nidaros sourit à cette proposition lui qui voyage de nuit. Les parents lui proposent alors de lui donner des victuailles pour son voyage. Nidaros accepte.
Deux heures plus tard, au moment de repartir, la petite fille vient voir le jeune homme en lui tendant un petit bracelet fait de petits cristaux de roches. Elle lui dit : « Tiens il te portera chance pendant ton voyage ». Nidaros sourit à ce cadeau et lui dit « Merci beaucoup, mais la prochaine fois qu’il pleut évite de courir trop vite… » La petite lui sourit à son tour et le regarda s’éloigner sur le chemin qui menait vers l’extérieur du Village.
La nuit est loin d’être terminé, et après plusieurs heures de marche. Nidaros décide de s’arréter au pied d’un arbre. Il s’assoit et contemple la lune d’un air songeur…
Il marche tranquillement le long des maisons en observant discrètement la pluie tomber. Derrière lui il entend des pas rapides. Il se retourne et se rend compte que ce ne sont que des enfants qui rentrent chez eux en courant. Une petite fille trébuche sur le sol boueux et atterrit juste devant Nidaros. Elle s’est écorché le genoux. Ses amis arrivent et tentent de l’aider mais elle souffre. De grosses larmes coulent sur sa joue et viennent se mêler à l’eau de pluie.
Nidaros se penche et lui demande doucement : « Où habites –tu ? Je vais te ramener chez tes parents ». Entre deux sanglots la petite fille lui indique une maison à quelques pas. Le jeune homme la prend dans ses bras, il est suivi de près par les camarades de la gamine, qui se méfient fortement de ce mystérieux personnage.
En entrant dans la maison de la petite fille, Nidaros rassure ses parents et leur dit que la blessure n’est pas grave. Il la dépose sur son lit en douceur. Sa mère demande au jeune homme s’il pouvait faire quelque chose pour elle. Nidaros lui répond que oui avec un timide sourire.
La mère de la petite court chercher de l’eau et du tissu pour des bandages. Nidaros la voyant partir lui dit « Tout ceci n’est pas nécessaire ». Le père de la petite fille la rassure et lui essuie le visage avec une serviette.
Nidaros enlève son long manteau noir, et découvre sa tête et ses cheveux blancs et courts. Le père tressaillit en voyant le visage du jeune homme. Il s’écrit : « Par tous les dieux un Darah, il va tous nous tuer !!!! ». Nidaros se lève calmement et lui dit « Je ne suis pas un Darah, du sang coule dans mes veines et mon cœur bat » Il découvrit alors son poignet laissant apparaitre quelques veines bleus. « Vous pouvez vérifier » dit Nidaros toujours très calme… Le père de l’enfant la main tremblante touche le bras du jeune homme. Il ressent une légère vibration sous la peau pâle du jeune homme. Rassuré l’homme le laisse s’approcher de sa fille. Nidaros sort de son manteau une mandoline qu’il accorde tranquillement. Puis il se met à jouer une douce mélodie à l’accent onirique…
Et au bout d’une minute la plaie de la petite fille se referme doucement…
Les parents sont particulièrement étonnés de la manière dont le jeune homme vient de guérir leur fille. Ils remercient chaleureusement le jeune homme et lui offre leur hospitalité pour la nuit. Nidaros sourit à cette proposition lui qui voyage de nuit. Les parents lui proposent alors de lui donner des victuailles pour son voyage. Nidaros accepte.
Deux heures plus tard, au moment de repartir, la petite fille vient voir le jeune homme en lui tendant un petit bracelet fait de petits cristaux de roches. Elle lui dit : « Tiens il te portera chance pendant ton voyage ». Nidaros sourit à ce cadeau et lui dit « Merci beaucoup, mais la prochaine fois qu’il pleut évite de courir trop vite… » La petite lui sourit à son tour et le regarda s’éloigner sur le chemin qui menait vers l’extérieur du Village.
La nuit est loin d’être terminé, et après plusieurs heures de marche. Nidaros décide de s’arréter au pied d’un arbre. Il s’assoit et contemple la lune d’un air songeur…
- Séléné SaralondëElysionien.ne
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Re: [Archivé]Pour un arpège de plus…
Jeu 5 Nov 2015 - 18:18
Séléné avait décidé d’aller prendre l’air. Vraiment. Elle en avait besoin. L’ambiance pesait toujours beaucoup dans leur maison. Les hommes avaient du mal à s’entendre, Deus avait des sautes d‘humeur, Thane était mutique, elle était nerveuse, et se donnait dans la décoration avant qu’ils ne parviennent à mettre d’accord sur quoi faire. Il allait falloir qu’elle aille au Palais, mais pour l’instant, elle préférait rester avec eux.
Mais ce soir, la métisse était fatiguée de la chape de plomb qui pesait sur eux, et puis cela faisait longtemps qu’elle ne s’était pas enivrée de l’air de la nuit. Ainsi, elle était sortie d’Eaque avec son cheval téléporté, et l’avait lancé a galop ; Il y avait le vent dans ses cheveux, l’air dans ses poumons, la nuit froide, mais belle, les muscles de la bête qui roulaient entre ses jambes … Elle respirait, profondément, extatique.
Tout tournait en elle, mais peu à peu, tout s’évacuait, laissant place à une plénitude calme. Puis, au bout d’une longue chevauchée sauvage, elle finit par s’arrêter. Il ne fallait pas épuiser le cheval, puisqu’il lui faudrait rentrer. Alors, elle partit courir, longtemps, usant ses muscles, jusqu’à ressentir une douleur, une brûlure, au cœur de ses muscles, alors, elle repartit en arrière, et finit par revenir là où elle avait attaché sa tendre jument. Elle se remit sur son dos, but, longtemps, à grande gorgées. Puis, elle la détacha, lui donna une tape légère, et s’allongea. La bête repartit, tranquillement, librement. Sa maîtresse suivant de son corps le rythme de son pas, allongée sur elle, contemplant le ciel, la lune, les étoiles, les feuilles qui coupaient sn champ de vision, se repaissant de la nuit d’hiver qui, autour d’elle, bruissait doucement. Puis, le cheval s’arrêta. Séléné s’en laissa glisser, et attacha la longe à un arbre auquel elle grimpa. Elle se percha au sommet, et se perdit dans la contemplation du ciel piqueté d’étoiles d’hiver.
Elle entendit des pas, sans y faire attention. Son cheval était parti plus loin, libre de ses mouvements grâce à la longe, on ne pouvait pas le voir vraiment, et elle était bien dissimulée par les feuilles. Soudain son arbre vibra. On venait de s’y adosser. Elle eut un soupir. Finie la solitude. Elle regarda à travers les feuilles, et vit un homme, ou en tous cas quelqu’un avec une carrure masculine, manifestement calme, blessé peut-être, quoique cela l’eut étonnée, puisqu’il n’y avait pas l’odeur du sang. Bon. Il fallait au moins qu’elle se manifeste.
Ainsi, elle se laissa glisser, et atterrit souplement, sans bruit, devant ce qui se confirma être un jeune homme.
- Bonsoir. Je ne vous veux aucun mal. J’étais juste là-haut quand vous vous êtes assis. Je trouvais cela plus correct de me signaler à vous. Je peux remonter si vous voulez, et nous pouvons rester seuls à deux.
Cela lui ressemblait peu de parler tant d’entrée. Mais elle préférait qu’il ne se sente pas menacé. Non pas qu’elle ait peur, mais elle restait méfiante. Elle était toujours méfiante, face aux gens.
Mais ce soir, la métisse était fatiguée de la chape de plomb qui pesait sur eux, et puis cela faisait longtemps qu’elle ne s’était pas enivrée de l’air de la nuit. Ainsi, elle était sortie d’Eaque avec son cheval téléporté, et l’avait lancé a galop ; Il y avait le vent dans ses cheveux, l’air dans ses poumons, la nuit froide, mais belle, les muscles de la bête qui roulaient entre ses jambes … Elle respirait, profondément, extatique.
Tout tournait en elle, mais peu à peu, tout s’évacuait, laissant place à une plénitude calme. Puis, au bout d’une longue chevauchée sauvage, elle finit par s’arrêter. Il ne fallait pas épuiser le cheval, puisqu’il lui faudrait rentrer. Alors, elle partit courir, longtemps, usant ses muscles, jusqu’à ressentir une douleur, une brûlure, au cœur de ses muscles, alors, elle repartit en arrière, et finit par revenir là où elle avait attaché sa tendre jument. Elle se remit sur son dos, but, longtemps, à grande gorgées. Puis, elle la détacha, lui donna une tape légère, et s’allongea. La bête repartit, tranquillement, librement. Sa maîtresse suivant de son corps le rythme de son pas, allongée sur elle, contemplant le ciel, la lune, les étoiles, les feuilles qui coupaient sn champ de vision, se repaissant de la nuit d’hiver qui, autour d’elle, bruissait doucement. Puis, le cheval s’arrêta. Séléné s’en laissa glisser, et attacha la longe à un arbre auquel elle grimpa. Elle se percha au sommet, et se perdit dans la contemplation du ciel piqueté d’étoiles d’hiver.
Elle entendit des pas, sans y faire attention. Son cheval était parti plus loin, libre de ses mouvements grâce à la longe, on ne pouvait pas le voir vraiment, et elle était bien dissimulée par les feuilles. Soudain son arbre vibra. On venait de s’y adosser. Elle eut un soupir. Finie la solitude. Elle regarda à travers les feuilles, et vit un homme, ou en tous cas quelqu’un avec une carrure masculine, manifestement calme, blessé peut-être, quoique cela l’eut étonnée, puisqu’il n’y avait pas l’odeur du sang. Bon. Il fallait au moins qu’elle se manifeste.
Ainsi, elle se laissa glisser, et atterrit souplement, sans bruit, devant ce qui se confirma être un jeune homme.
- Bonsoir. Je ne vous veux aucun mal. J’étais juste là-haut quand vous vous êtes assis. Je trouvais cela plus correct de me signaler à vous. Je peux remonter si vous voulez, et nous pouvons rester seuls à deux.
Cela lui ressemblait peu de parler tant d’entrée. Mais elle préférait qu’il ne se sente pas menacé. Non pas qu’elle ait peur, mais elle restait méfiante. Elle était toujours méfiante, face aux gens.
- InvitéInvité
Re: [Archivé]Pour un arpège de plus…
Lun 21 Déc 2015 - 21:07
Nidaros était un peu surpris par les manières quelque peu extravagantes de cette demoiselle. Il la regarda ou plutôt la fixa du regard pendant un assez long moment. Il se demanda qui elle était et ce qu’elle lui voulait.
Ses grands yeux noirs contemplaient ce visage féminin fin et gracieux comme une feuille voltigeant dans une brise d’automne. Il ne savait quoi lui répondre. Il ne savait pas trop s’il devait être poli et engager la conversation ou se lever sans un mot et continuer son chemin en silence. Une autre idée lui traversa l’esprit, il se saisit alors d’un morceau de pain et d’une pomme qu’il avait pris dans sa besace et dit d’une voix semblable à un murmure :
« Vous en voulez un peu ? »
Nidaros prenais certainement un risque important en invitant cette inconnue à partager sa pitance. Mais en agissant ainsi il prenait moins de risque que s’il avait directement tiré son sabre. La manière dont il avait proposé sa nourriture devait sans doute paraître étrange à la demoiselle. Après tout ce n’était qu’un retour logique des choses vu la manière dont elle s’était présentée à lui.
Ses grands yeux noirs contemplaient ce visage féminin fin et gracieux comme une feuille voltigeant dans une brise d’automne. Il ne savait quoi lui répondre. Il ne savait pas trop s’il devait être poli et engager la conversation ou se lever sans un mot et continuer son chemin en silence. Une autre idée lui traversa l’esprit, il se saisit alors d’un morceau de pain et d’une pomme qu’il avait pris dans sa besace et dit d’une voix semblable à un murmure :
« Vous en voulez un peu ? »
Nidaros prenais certainement un risque important en invitant cette inconnue à partager sa pitance. Mais en agissant ainsi il prenait moins de risque que s’il avait directement tiré son sabre. La manière dont il avait proposé sa nourriture devait sans doute paraître étrange à la demoiselle. Après tout ce n’était qu’un retour logique des choses vu la manière dont elle s’était présentée à lui.
- Séléné SaralondëElysionien.ne
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Re: [Archivé]Pour un arpège de plus…
Dim 27 Déc 2015 - 18:43
Il la fixa un bon moment sans rien dire, et Séléné ne put s’empêcher de se demander s’il avait un problème, et s’il avait un bug, du style à résoudre avec une gifle. Mais il n’en était rien, et les grands yeux noirs se mirent à se mouvoir soudain, et il attrapa dans sa besace quelque chose qu’elle identifia à la lumière de la Lune comme du pain et une pomme. Il lui en proposa et elle rit.
- Haha, non, merci, j’ai déjà bien mangé. C’est très gentil à vous.
Elle le regarda, amusée par ses manières. Si les siennes étaient plutôt cavalières, il ne valait guère mieux. Un sourire se dessina sur son visage.
- Séléné. Enchantée.
Elle lui avait franchement tendu la main.
- Haha, non, merci, j’ai déjà bien mangé. C’est très gentil à vous.
Elle le regarda, amusée par ses manières. Si les siennes étaient plutôt cavalières, il ne valait guère mieux. Un sourire se dessina sur son visage.
- Séléné. Enchantée.
Elle lui avait franchement tendu la main.
- InvitéInvité
Re: [Archivé]Pour un arpège de plus…
Dim 7 Fév 2016 - 22:17
La jeune fille n’avait pas l’air dangereuse, ou du moins elle ne montrait aucun signe d’hostilité à son égard. Nidaros se redressa doucement à la vue de la main que Séléné lui avait tendue.
Il enleva son gant de cuir noir et découvrit sa main très pâle et froide. Le reflet du clair de lune sur sa peau lui donnait un aspect presque spectral. Il essaya d’apparaître le plus rassurant possible auprès de cette jeune et belle inconnue. Il avança vers elle d’un pas légèrement hésitant.
Lorsqu’il lui serra la main, ses doigts glacials touchèrent la main chaude de la jeune fille. Une étrange sensation parcourut son corps, comme si la chaleur de la jeune fille avait pénétré son esprit et son corps. Il fixa alors les cieux, et la pleine lune illumina son visage. Un sourire se dessina sur ses lèvres, et une larme de bonheur coula sur sa joue. Sans trop savoir pourquoi il était heureux. Et sans doute il garderait dans son esprit cet instant magique. Il avait surement l’air d’un idiot à cet instant, mais il s’en moquait.
Il referma sa main sur la paume de la jeune fille. Il dit alors d’un ton calme :
« Je m’appelle Nidaros. Je suis médecin et musicien. Ne vous inquiétez pas si je souris c'est à cause de la lune.»
Il enleva son gant de cuir noir et découvrit sa main très pâle et froide. Le reflet du clair de lune sur sa peau lui donnait un aspect presque spectral. Il essaya d’apparaître le plus rassurant possible auprès de cette jeune et belle inconnue. Il avança vers elle d’un pas légèrement hésitant.
Lorsqu’il lui serra la main, ses doigts glacials touchèrent la main chaude de la jeune fille. Une étrange sensation parcourut son corps, comme si la chaleur de la jeune fille avait pénétré son esprit et son corps. Il fixa alors les cieux, et la pleine lune illumina son visage. Un sourire se dessina sur ses lèvres, et une larme de bonheur coula sur sa joue. Sans trop savoir pourquoi il était heureux. Et sans doute il garderait dans son esprit cet instant magique. Il avait surement l’air d’un idiot à cet instant, mais il s’en moquait.
Il referma sa main sur la paume de la jeune fille. Il dit alors d’un ton calme :
« Je m’appelle Nidaros. Je suis médecin et musicien. Ne vous inquiétez pas si je souris c'est à cause de la lune.»
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Re: [Archivé]Pour un arpège de plus…
Jeu 11 Fév 2016 - 10:28
Il la scruta, puis, ils se serrèrent la main après qu’il eut avancé vers elle. Il avait enlevé son gant, aussi, elle eut la sensation de serrer la main à un glaçon. Sa peau état gelée. Lors de la poignée de main, la différence entre leurs deux couleurs de peau était assez incroyable : elle paraissait presque noire à la lumière blanche de la Lune, comparée à lui, si pâle qu’il en était presque à réverbérer les rayons de l’astre.
C’est à cet instant que son visage se transforma, tourné vers la Lune, un sourire idiot le fendant et une larme y coulant. Elle retint un rire. Il y avait quelque chose de ridicule à cette situation qui ne lui échappait pas du tout. Il referma sa paume sur la sienne, et se présenta. C’est ce qu’il dit ensuite qui confirma son intuition : elle se trouvait face à un enfant de la Lune. Elle dégagea sa main, et lui sourit.
- Ah … Vous êtes de ses Enfants ? Ca explique mieux le voyage de nuit. C‘est assez rare de croiser de gens à ces heures-là. La plupart dorment, et c’est tout à leur honneur, d’ailleurs.
Elle fit une pause, puis s’assit.
- On paiera pas plus cher, ma foi. Vous êtes itinérant ?
C’était une question polie, afin d’engager la conversation. Il l’intriguait quelque peu. Il avait quelque chose d’un peu théâtral qui faisait sourire, mais semblait très gentil, et assez timide, voire méfiant même –ce qui, au vu de la façon dont on considérait son peuple, était bien compréhensible.
C’est à cet instant que son visage se transforma, tourné vers la Lune, un sourire idiot le fendant et une larme y coulant. Elle retint un rire. Il y avait quelque chose de ridicule à cette situation qui ne lui échappait pas du tout. Il referma sa paume sur la sienne, et se présenta. C’est ce qu’il dit ensuite qui confirma son intuition : elle se trouvait face à un enfant de la Lune. Elle dégagea sa main, et lui sourit.
- Ah … Vous êtes de ses Enfants ? Ca explique mieux le voyage de nuit. C‘est assez rare de croiser de gens à ces heures-là. La plupart dorment, et c’est tout à leur honneur, d’ailleurs.
Elle fit une pause, puis s’assit.
- On paiera pas plus cher, ma foi. Vous êtes itinérant ?
C’était une question polie, afin d’engager la conversation. Il l’intriguait quelque peu. Il avait quelque chose d’un peu théâtral qui faisait sourire, mais semblait très gentil, et assez timide, voire méfiant même –ce qui, au vu de la façon dont on considérait son peuple, était bien compréhensible.
- InvitéInvité
Re: [Archivé]Pour un arpège de plus…
Sam 2 Avr 2016 - 0:23
Cette demoiselle lui paraissait intéressante, et en gardant un œil sur elle, Nidaros s’assied près de la jeune fille et lui répondit :
« Oui je suis itinérant, je gagne ma vie en soignant les gens ou en jouant dans des tavernes. Je suis sur les routes la plupart du temps. Mais je préfère vous le dire avant que vous me posiez la question, je ne sais pas vraiment où je vais. J’aide simplement ceux qui ont besoin de moi.
Pourquoi me direz-vous ? Parce que je peux les guérir tout simplement, leur corps ou leur esprit, peu importe, je les guéris… »
Nidaros ne savait pas et il ne voulait pas savoir la raison pour laquelle il se jetait à corps perdu dans une quête perdue d’avance, mais un élan toujours plus fort le poussait en avant, sur le pavé des villages et dans la boue des chemins.
Mais il n’avait pas dévoilé, consciemment, une part plus sombre de sa personnalité.
Il prenait grand soin de cacher le sabre qui lui servait pour se défendre contre les bandits potentiels qui hantent les sentiers et les ruelles sombres des villes et villages du continent.
Il sortit sa mandoline et la plaça au-dessus de ses genoux il plaça sa main gauche au-dessus des cordes et la droite au-dessus de la caisse de résonnance.
Il demanda alors à Séléné :
« Voulez-vous écouter un peu de musique ? »
« Oui je suis itinérant, je gagne ma vie en soignant les gens ou en jouant dans des tavernes. Je suis sur les routes la plupart du temps. Mais je préfère vous le dire avant que vous me posiez la question, je ne sais pas vraiment où je vais. J’aide simplement ceux qui ont besoin de moi.
Pourquoi me direz-vous ? Parce que je peux les guérir tout simplement, leur corps ou leur esprit, peu importe, je les guéris… »
Nidaros ne savait pas et il ne voulait pas savoir la raison pour laquelle il se jetait à corps perdu dans une quête perdue d’avance, mais un élan toujours plus fort le poussait en avant, sur le pavé des villages et dans la boue des chemins.
Mais il n’avait pas dévoilé, consciemment, une part plus sombre de sa personnalité.
Il prenait grand soin de cacher le sabre qui lui servait pour se défendre contre les bandits potentiels qui hantent les sentiers et les ruelles sombres des villes et villages du continent.
Il sortit sa mandoline et la plaça au-dessus de ses genoux il plaça sa main gauche au-dessus des cordes et la droite au-dessus de la caisse de résonnance.
Il demanda alors à Séléné :
« Voulez-vous écouter un peu de musique ? »
- Séléné SaralondëElysionien.ne
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Re: [Archivé]Pour un arpège de plus…
Jeu 5 Mai 2016 - 10:49
[Mandoline mandoline takatatin takatatin !]
Il s’assit près d’elle, respectant presque son périmètre de sécurité. Elle décida de ne pas s’écarter. Il aurait pu se vexer, et ce n’était pas le but. Elle hocha la tête à son explication.
Elle jugeait cela fleur bleue, mais se savait trop dure dans ce genre de cas. Peu psychologue, elle pensait que seuls les corps avaient besoin de soins extérieurs. L’esprit était l’affaire de chacun. Elle ne se rendait pas vraiment compte que c’était là la meilleure des manières de s’enferrer dans une douleur à vie –ne le faisait-elle d’ailleurs pas ? Avait-elle seulement réussi à surmonter l’épreuve de toute sa vie ? rien n’était moins sûr, et l’absence de pardon, la soif de vengeance, ses échecs sentimentaux en étaient sans doute des indices-.
- Vos services risquent d’être de plus en plus demandés, alors … Quoiqu’avec la guerre, vous avez dû être habitué.
Intérieurement, elle se disait qu’elle espérait bien qu’il était armé. Sinon, il allait finir par lui arriver des bricoles –et elle ne le prendrait pas en pitié : on vivait dans un monde dangereux où il fallait savoir se défendre par tous les moyens. Elle n’en dit rien.
Lorsqu’il lui proposa de la musique, elle hocha la tête.
- Ma foi, pourquoi pas.
De toute façon, il avait déjà sorti sa mandoline : elle n’avait pas vraiment de raison de refuser.
[C'est un peu court, pardon. Si tu as une idée de rebondissement, n'hésites pas à la mettre en pratique, sans Power Gaming évidemment, je te suivrai avec les réactions propres à Séléné ]
Il s’assit près d’elle, respectant presque son périmètre de sécurité. Elle décida de ne pas s’écarter. Il aurait pu se vexer, et ce n’était pas le but. Elle hocha la tête à son explication.
Elle jugeait cela fleur bleue, mais se savait trop dure dans ce genre de cas. Peu psychologue, elle pensait que seuls les corps avaient besoin de soins extérieurs. L’esprit était l’affaire de chacun. Elle ne se rendait pas vraiment compte que c’était là la meilleure des manières de s’enferrer dans une douleur à vie –ne le faisait-elle d’ailleurs pas ? Avait-elle seulement réussi à surmonter l’épreuve de toute sa vie ? rien n’était moins sûr, et l’absence de pardon, la soif de vengeance, ses échecs sentimentaux en étaient sans doute des indices-.
- Vos services risquent d’être de plus en plus demandés, alors … Quoiqu’avec la guerre, vous avez dû être habitué.
Intérieurement, elle se disait qu’elle espérait bien qu’il était armé. Sinon, il allait finir par lui arriver des bricoles –et elle ne le prendrait pas en pitié : on vivait dans un monde dangereux où il fallait savoir se défendre par tous les moyens. Elle n’en dit rien.
Lorsqu’il lui proposa de la musique, elle hocha la tête.
- Ma foi, pourquoi pas.
De toute façon, il avait déjà sorti sa mandoline : elle n’avait pas vraiment de raison de refuser.
[C'est un peu court, pardon. Si tu as une idée de rebondissement, n'hésites pas à la mettre en pratique, sans Power Gaming évidemment, je te suivrai avec les réactions propres à Séléné ]
- InvitéInvité
Re: [Archivé]Pour un arpège de plus…
Sam 30 Juil 2016 - 18:00
Nidaros pensait que la jeune fille était digne de confiance.Il tendit alors sa main. Sa paume pâle et luisante au claire de lune s’apprêtait à toucher celle de Sélénée.Séléné Saralondë a écrit:[Mandoline mandoline takatatin takatatin !]
Il s’assit près d’elle, respectant presque son périmètre de sécurité. Elle décida de ne pas s’écarter. Il aurait pu se vexer, et ce n’était pas le but. Elle hocha la tête à son explication.
Elle jugeait cela fleur bleue, mais se savait trop dure dans ce genre de cas. Peu psychologue, elle pensait que seuls les corps avaient besoin de soins extérieurs. L’esprit était l’affaire de chacun. Elle ne se rendait pas vraiment compte que c’était là la meilleure des manières de s’enferrer dans une douleur à vie –ne le faisait-elle d’ailleurs pas ? Avait-elle seulement réussi à surmonter l’épreuve de toute sa vie ? rien n’était moins sûr, et l’absence de pardon, la soif de vengeance, ses échecs sentimentaux en étaient sans doute des indices-.
- Vos services risquent d’être de plus en plus demandés, alors … Quoiqu’avec la guerre, vous avez dû être habitué.
Intérieurement, elle se disait qu’elle espérait bien qu’il était armé. Sinon, il allait finir par lui arriver des bricoles –et elle ne le prendrait pas en pitié : on vivait dans un monde dangereux où il fallait savoir se défendre par tous les moyens. Elle n’en dit rien.
Lorsqu’il lui proposa de la musique, elle hocha la tête.
- Ma foi, pourquoi pas.
De toute façon, il avait déjà sorti sa mandoline : elle n’avait pas vraiment de raison de refuser.
[C'est un peu court, pardon. Si tu as une idée de rebondissement, n'hésites pas à la mettre en pratique, sans Power Gaming évidemment, je te suivrai avec les réactions propres à Séléné ]
Lorsque tout à coup un bruit se fit entendre. Cela ressemblait à un craquement de brindille dans l'ombre de la nuit.
Nidaros se retourna d'un bond et dégaina son sabre à la vitesse de l'éclaire.
Et puis plus rien, un silence angoissant avait envahi la forêt. Le regard de Nidaros scrutait les environs. Il garda son calme malgré la tention.
Mais un buisson commença à frémir. Nidaros pointa le bout de sa lame vers les feuillage, il s’apprêtait à riposter contre tout éventuelle attaque de bête sauvage. Une goutte de sueur commença à perler sur son front. Le buisson frémit de plus en plus, et quelque chose en sortit. Mais ce n'était pas exactement ce à quoi il s'attendait. Un lièvre apeuré sortit du buisson et disparut dans la pénombre.
Nidaros baissa sa garde et s’apprêta à rengainer son épée lorsqu'il sentit une main gantée lui attrapée le visage et une autre lui mettre un couteau sous la gorge. Le bandit avait bénéficié de l'effet de surprise, néanmoins il avait omis un détail : Nidaros n'avait pas rengainer son arme.
Le jeune médecin fit glisser en un éclair sa lame sous son aisselle gauche et le sabre s'enfonça à travers le tissus pour pénétrer profondément le thorax du brigand. Du sang sortit de la bouche de l'individu. La lame avait perforé le coeur, il s'écroula sans vie le visage couvert de sang.
- Séléné SaralondëElysionien.ne
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Re: [Archivé]Pour un arpège de plus…
Dim 31 Juil 2016 - 18:29
Lorsqu’un bruit se fit entendre alors que Nidaros allait la toucher, celui-ci se retourna extrêmement vite, tout en sortant son sabre d’un mouvement fluide –cela prouva donc à Séléné qu’il était effectivement armé, et manifestement assez dangereux (sinon, il se serait déjà tranché avec, vu sa façon de procéder). Sa rapidité l’étonna aussi : il semblait bouger plus vite que la plupart des autres races –exceptés Alfs, Darahs, et autres Augmentés à sa connaissance-, alors que pourtant il ne lui semblait pas que les Enfants de la Lune soient bien plus rapides que les autres. Il avait dû sacrément s’entrainer ! Elle s’était aussi mise en alerte, sans pourtant sortir une quelconque arme. Elle aurait très largement le temps de le faire si on les attaquait, de dégainer, et si jamais les adversaires étaient trop rapides, un petit jet de magie pourrait bien suffira à leur faire gagner du temps. Puis il n’y eut pus rien, avant qu’un buisson ne se mettre à frémir pour laisser échapper un lièvre manifestement apeuré. Si Nidaros bassa la garde, ce n’était pas le cas de Séléné, qui sentait arriver l’embrouille. Pourquoi sinon, ce lièvre aurait été apeuré ? Il n’y avait aucune raison. Et elle n’avait rien entendu approcher, ce qui la perturbait fort. Ses sourcils neigeux se froncèrent, et elle huma l’air autour d’eux. Soudain, elle fut assaillie par une odeur forte de sueur, et entendit du bruit. Cependant, alors qu’elle sortait sa dague et avant même qu’elle n’ait pu crier attention, une main surgissait du néant, et prenait Nidaros au visage.
Celui-ci fut d’ailleurs très prompt à la réaction, et assassina froidement le brigand d’un coup de lame bien placé. Lorsqu’il s’écroulant à terre, sans vie, baignant dans son propre sang elle haussa les sourcils. S’il se comportait ainsi, en effet, il ne valait mieux pas trop l’embêter. Manifestement, on risquait sa vie sinon. Elle espérait juste qu’il soit plus patient avec les failles des malades qui devaient avoir leur lot d’individus insupportables.
Elle ne dit rien et s’approcha. Du bout du pied, elle retourna le corps, et illumina la scène d’un petit coup de magie, histoire d’être bien sûre des détails. L’homme n’était pas masqué. Son visage était maculé de sang, et à présent de terre. Dans ses yeux, on pouvait lire une surprise infinie et à présent éternelle. Elle se pencha. Il n’y avait aucune marque quelconque dans son cou. Elle inspecta ses avant-bras, puis ses bras, et enfin ses mollets. Rien. Elle tâta ensuite son corps, à la recherche d’armes, d’argent, ou d’une quelconque indication sur son identité et son but. Elle sortit ainsi un coutelas de cuisine et quelques bourses. Manifestement, il agissait seul, ou en tous cas il ne provenait pas d’une bande très influente. Il ne les cherchait pas non plus eux en particulier, et semblait être un brigand de rands chemin. Elle le remit face contre terre en enlevant la lumière.
- Eh bien, il ne reste plus qu’à espérer qu’il n’at pas fait ça pour nourrir sa famille, et à l’enterrer, ou le brûler, comme vous préférez, histoire de ne pas le laisser pourrir ici.
Elle lui sourit brièvement.
- Je ne vous imaginais si prompt à réagir, surtout de cette manière-là.
Puis elle se tut, et attendit de savoir s’il préférait voir l’homme sous terre ou enflammé.
Sujet archivé: pas de réponse depuis 3 mois ou plus.
Ce n’est pas un problème il n'est pas perdu pour autant ! Vous pouvez le faire déverrouiller ! Il suffit d’envoyer un MP à Deus, Eden ou Sorga demandant de déverrouiller le sujet.
Celui-ci fut d’ailleurs très prompt à la réaction, et assassina froidement le brigand d’un coup de lame bien placé. Lorsqu’il s’écroulant à terre, sans vie, baignant dans son propre sang elle haussa les sourcils. S’il se comportait ainsi, en effet, il ne valait mieux pas trop l’embêter. Manifestement, on risquait sa vie sinon. Elle espérait juste qu’il soit plus patient avec les failles des malades qui devaient avoir leur lot d’individus insupportables.
Elle ne dit rien et s’approcha. Du bout du pied, elle retourna le corps, et illumina la scène d’un petit coup de magie, histoire d’être bien sûre des détails. L’homme n’était pas masqué. Son visage était maculé de sang, et à présent de terre. Dans ses yeux, on pouvait lire une surprise infinie et à présent éternelle. Elle se pencha. Il n’y avait aucune marque quelconque dans son cou. Elle inspecta ses avant-bras, puis ses bras, et enfin ses mollets. Rien. Elle tâta ensuite son corps, à la recherche d’armes, d’argent, ou d’une quelconque indication sur son identité et son but. Elle sortit ainsi un coutelas de cuisine et quelques bourses. Manifestement, il agissait seul, ou en tous cas il ne provenait pas d’une bande très influente. Il ne les cherchait pas non plus eux en particulier, et semblait être un brigand de rands chemin. Elle le remit face contre terre en enlevant la lumière.
- Eh bien, il ne reste plus qu’à espérer qu’il n’at pas fait ça pour nourrir sa famille, et à l’enterrer, ou le brûler, comme vous préférez, histoire de ne pas le laisser pourrir ici.
Elle lui sourit brièvement.
- Je ne vous imaginais si prompt à réagir, surtout de cette manière-là.
Puis elle se tut, et attendit de savoir s’il préférait voir l’homme sous terre ou enflammé.
Sujet verrouillé
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