- UlrikElysionien.ne
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[Terminé][Fête de la Créativité 2781] Quelle pitié ! [sp Pars & Nidaros]
Mar 21 Juin 2016 - 12:00
Ulrik n’avait vu aucune raison de quitter Rhadamante. En effet, faire une fresque géante au sol d’Hypnos ne l’intéressait pas le moins du monde. D’une part l’art minable n’avait jamais été sa tasse de thé, d’autre part être entouré d’imbéciles ne l’intéressait absolument pas, bien évidemment. Ainsi, il était resté sur Rhadamanthe. Puis, il avait été rejoint par Hölle, qui l’avait asticoté jusqu’ ce qu’il cède : elle voulait aller semer la tempête sur Minos, et surtout, profiter de la Fête pour corrompre un peu plus, et exigeait de lui qu’elle l’accompagne. Ainsi, convaincu par ses arguments imparables moulés dans une robe moirée, il avait fini par accepter, se disant que ce pouvait être drôle d’observer ces débiles profonds et l’échec annoncé de sa compagne –ils étaient trop niais pour être corrompus par le charme, il en était persuadé-.
Il faisait donc nuit, et il se trouvait sur une place, assis sur un banc, observant avec une ironie délectée les idiots de ce monde s’activer pour peindre une fresque nianian sur un mur tout propre. Ils étaient accompagnés de musique douce, et baignés dans la lumière de lampions installés pour l’occasion. Ceux-là n’avaient pas voulu aller à la fête d’Hypnos ce soir, et à vrai dire, il imaginait pourquoi : ils ne voulaient pas croiser des gens moins niais qu’eux. Des gens comme lui, ou comme Inferno, qu’il voyait en pleine conversation avec un homme qui semblait ne pas savoir où poser ses yeux. Il oscillait entre un amusement à leur dépit et un certain dégout envers eux. Ils étaient vraiment bêtes.
Suite à un coup de vent, il lissa du plat de la main sa luxueuse chemise, et son sourire s’élargit lorsqu’il vit qu’Inferno aussi en jouait. Le pauvre jeune homme semblait bien déstabilisé … Ah si seulement il savait ! Il finit par lui faire un signe de loin, auquel elle répondit par un clin d’œil, et il s’éloigna de la place. Y aurait-il quelqu’un à réduire ?
Il s’avéra très vite qu’il n’en était rien. Tous étaient occupés à leur idiote de fresque, ou bien sur Hypnos. Tous, manifestement, sauf quelques personnes présentes dans le parc ù il s’installa, baigné par la lumière de la Lune. De l’eau coulait, des grillons chantaient, des oiseaux de nuit se faisaient entendre, et il y avait une odeur de fleurs. Quelle pitié … Il s’assit sur un banc.
Il faisait donc nuit, et il se trouvait sur une place, assis sur un banc, observant avec une ironie délectée les idiots de ce monde s’activer pour peindre une fresque nianian sur un mur tout propre. Ils étaient accompagnés de musique douce, et baignés dans la lumière de lampions installés pour l’occasion. Ceux-là n’avaient pas voulu aller à la fête d’Hypnos ce soir, et à vrai dire, il imaginait pourquoi : ils ne voulaient pas croiser des gens moins niais qu’eux. Des gens comme lui, ou comme Inferno, qu’il voyait en pleine conversation avec un homme qui semblait ne pas savoir où poser ses yeux. Il oscillait entre un amusement à leur dépit et un certain dégout envers eux. Ils étaient vraiment bêtes.
Suite à un coup de vent, il lissa du plat de la main sa luxueuse chemise, et son sourire s’élargit lorsqu’il vit qu’Inferno aussi en jouait. Le pauvre jeune homme semblait bien déstabilisé … Ah si seulement il savait ! Il finit par lui faire un signe de loin, auquel elle répondit par un clin d’œil, et il s’éloigna de la place. Y aurait-il quelqu’un à réduire ?
Il s’avéra très vite qu’il n’en était rien. Tous étaient occupés à leur idiote de fresque, ou bien sur Hypnos. Tous, manifestement, sauf quelques personnes présentes dans le parc ù il s’installa, baigné par la lumière de la Lune. De l’eau coulait, des grillons chantaient, des oiseaux de nuit se faisaient entendre, et il y avait une odeur de fleurs. Quelle pitié … Il s’assit sur un banc.
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Re: [Terminé][Fête de la Créativité 2781] Quelle pitié ! [sp Pars & Nidaros]
Jeu 30 Juin 2016 - 13:30
Ce soir, Pars était d'une pétillance fulgurante et elle avait envie d'en faire profiter le monde entier. Pour ce faire, elle prit un habit gris perle dans la garde robe prêtée très altruistement par la Reine - cet être fabuleux! -, robe dont l'effet moiré reflétait toute lumière se posant dessus comme un petit Astre Lumineux. Pour éviter tout souci, elle décida de laisser Gousset dans sa chambre. Le perdre une fois avait suffi à ce qu'elle prenne des précautions maintenant. Elle y tenait beaucoup trop.
Elle quitta le Palais non sans avoir salué chaleureusement toutes les personnes qu'elle pouvait bien y croiser. Heureusement pour les Elysiens, l'heure tardive faisait que nombre d'entre eux étaient déjà couchés ou sortis.
Une fois dehors, elle se mit à déambuler au fil des rues et ruelles. Elle connaissait très peu Minos, mais appréciait se perdre depuis qu'elle avait rencontré le chevalier Sorga dans les salles d'entraînement du palais. Bref, ce soir elle était joie.
Elle atterrit sans trop savoir comment dans un parc où les fleurs luisaient d'un sublime éclat sous la lueur de l'Astre Blanc. Il y avait là des personnes qui déambulaient sereinement et au milieu d'elle il y avait une Pars sautillante et dansante qui s'arrêtait à chaque papillon et admirait toutes les fleurs se présentant devant ses yeux. Mais parmi les brins d'herbe, les arbres majestueux, les animaux gambadant, quelque chose attira son attention.
Du blanc tirant sur le gris. Une couleur magnifique. Cette couleur appartenait à quelqu'un. Un homme manifestement. Assis sur un banc qui regardait devant lui. Il se tenait droit et était habillé de luxe et semblait portait la haine du monde sur lui. Mais Pars était inexorablement attirée vers lui. Et ses cheveux. Parce que c'étaient bien ses cheveux qui avaient cette couleur enchanteresse.
Elle se planta devant lui avec un immense sourire enfantin et de sa voix grave lui lança:
-Ils sont trop beaux vos cheveux! Je peux les toucher??
Elle quitta le Palais non sans avoir salué chaleureusement toutes les personnes qu'elle pouvait bien y croiser. Heureusement pour les Elysiens, l'heure tardive faisait que nombre d'entre eux étaient déjà couchés ou sortis.
Une fois dehors, elle se mit à déambuler au fil des rues et ruelles. Elle connaissait très peu Minos, mais appréciait se perdre depuis qu'elle avait rencontré le chevalier Sorga dans les salles d'entraînement du palais. Bref, ce soir elle était joie.
Elle atterrit sans trop savoir comment dans un parc où les fleurs luisaient d'un sublime éclat sous la lueur de l'Astre Blanc. Il y avait là des personnes qui déambulaient sereinement et au milieu d'elle il y avait une Pars sautillante et dansante qui s'arrêtait à chaque papillon et admirait toutes les fleurs se présentant devant ses yeux. Mais parmi les brins d'herbe, les arbres majestueux, les animaux gambadant, quelque chose attira son attention.
Du blanc tirant sur le gris. Une couleur magnifique. Cette couleur appartenait à quelqu'un. Un homme manifestement. Assis sur un banc qui regardait devant lui. Il se tenait droit et était habillé de luxe et semblait portait la haine du monde sur lui. Mais Pars était inexorablement attirée vers lui. Et ses cheveux. Parce que c'étaient bien ses cheveux qui avaient cette couleur enchanteresse.
Elle se planta devant lui avec un immense sourire enfantin et de sa voix grave lui lança:
-Ils sont trop beaux vos cheveux! Je peux les toucher??
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Re: [Terminé][Fête de la Créativité 2781] Quelle pitié ! [sp Pars & Nidaros]
Mar 9 Aoû 2016 - 21:16
Nidaros arpentait les chemins de Hypnos depuis plusieurs semaines. Il avait affronté une douzaine de voleur qui voulaient le détrousser sur une route isolée. L'un d'eux l'avait blessé à la hanche d'un coup de poignard, mais son pouvoir de guérison eu raison de cette égratignure. En un éclaire et dans l'ombre de la nuit les corps des assaillants furent tous pourfendus et gisaient comme de la viande froide pourrissante.
Désormais il marchait, la main toujours à proximité de son arme, son regard était à l’affût du moindre mouvement des buissons et des arbres. Lorsque tout à coup son regard s'attarda sur une lumière. Une ville était toute proche.
Nidaros marcha, de plus en plus vite et il finit par atteindre un panneau de bois sur lequel était écrit : "Elysée". Il était arrivé dans une ville importante de la région. Il entra bientôt dans la ville, des parfums subtiles envahirent ses narines, de vives lumières l'aveuglèrent, et il aperçut de nombreuses personnes vêtues de leur plus belles toilettes. Cela ne faisait plus aucun doute pour lui : la ville était en fête.
Il avança dans les rues, mais s'aperçut que beaucoup de regards s'attardaient sur sa tenus sombre de voyageur. Il se dit alors qu'une tenue urbaine serait plus appropriée pour traverser la ville. En arpentant les rues il trouva une boutique de tailleur, dans laquelle il vit une tenue élégante grise claire et rouge. Lorsqu'il entra dans la boutique, le maitre des lieux et deux apprentis étaient présents. Les trois hommes le dévisagèrent. Nidaros s'avança vers le maitre-tailleur, et lui demanda poliment s'il pouvait acheter la tunique grise et rouge. Le maitre-tailleur, passa sa main dans ses cheveux gris et lui annonça le prix exorbitant de la tunique. Nidaros sortit alors de sa poche un rubis qu'il avait dérobé au chef des voleurs.
Le maitre-tailleur pris la pierre précieuse et la scruta pendant de longues minutes, il la plaça entre ses deux molaires et commença à serrer les mâchoires. La douleur apparut rapidement, il reposa le rubis sur la table et dit :
_ Je crois que c'est un vrai, mais la tunique vaut plus chère que cela.
Nidaros observa le visage du maître-tailleur, son regard fuyant, la façon dont il se mordait légèrement les lèvres. Aucun doute, cet homme tentait de l'escroquer. Nidaros lâcha un soupire désabusé, il mis sa main dans sa poche et en ressortit un second rubis. Le visage du maitre-tailleur s'illumina.
Nidaros dit alors : "Vous n'aurai rien de plus monsieur".
Le visage de l'homme s'adoucit et il répondit avec une voix douce : "A ce prix là monsieur, mes apprentis et moi mêmes sommes à votre disposition".
Le regard de Nidaros parcourut la boutique et s'arrêta sur un masque noir de Carnaval, très simple et discret, qui recouvrait le visage entier. Le maitre-tailleur, dit alors au jeune médecin avec un grand sourire :
_Je suis commerçant, si vous voulais, prenez ce masque je vous l'offre".
Nidaros sourit à cette proposition, et pris le masque. Une demi-heure, plus tard, Nidaros sortit de la boutique, âpreté. Il rangea, sa cote de maille, sa tenue de voyage et son mateau noir dans son sac. Il mis son masque et sortit dans les rues d 'Elysée.
Il put sans difficulté se fondre dans le paysage et la foule. Il atteignit finalement un grand parc dans lequel flottait le parfum exotique de centaines de fleurs. Il s'assit sur un banc, il pris sa mandoline, l'accorda et joua quelques minutes. Un attroupement commença à se former autour de lui. Un jeune homme s'approcha de lui et lui demanda s'il pouvait se joindre à lui, il sortit une flûte de sa manche et les deux hommes commencèrent à jouer un concert dans le parc. Nidaros se mit alors debout sur le banc, il scruta la foule qui était autour de lui et du jeune musicien. Son regard se perdit dans ceux des spectateurs qui l'admiraient. Son regard s'arrêta un instant sur un couple de deux jeunes gens assis sur un banc.
Désormais il marchait, la main toujours à proximité de son arme, son regard était à l’affût du moindre mouvement des buissons et des arbres. Lorsque tout à coup son regard s'attarda sur une lumière. Une ville était toute proche.
Nidaros marcha, de plus en plus vite et il finit par atteindre un panneau de bois sur lequel était écrit : "Elysée". Il était arrivé dans une ville importante de la région. Il entra bientôt dans la ville, des parfums subtiles envahirent ses narines, de vives lumières l'aveuglèrent, et il aperçut de nombreuses personnes vêtues de leur plus belles toilettes. Cela ne faisait plus aucun doute pour lui : la ville était en fête.
Il avança dans les rues, mais s'aperçut que beaucoup de regards s'attardaient sur sa tenus sombre de voyageur. Il se dit alors qu'une tenue urbaine serait plus appropriée pour traverser la ville. En arpentant les rues il trouva une boutique de tailleur, dans laquelle il vit une tenue élégante grise claire et rouge. Lorsqu'il entra dans la boutique, le maitre des lieux et deux apprentis étaient présents. Les trois hommes le dévisagèrent. Nidaros s'avança vers le maitre-tailleur, et lui demanda poliment s'il pouvait acheter la tunique grise et rouge. Le maitre-tailleur, passa sa main dans ses cheveux gris et lui annonça le prix exorbitant de la tunique. Nidaros sortit alors de sa poche un rubis qu'il avait dérobé au chef des voleurs.
Le maitre-tailleur pris la pierre précieuse et la scruta pendant de longues minutes, il la plaça entre ses deux molaires et commença à serrer les mâchoires. La douleur apparut rapidement, il reposa le rubis sur la table et dit :
_ Je crois que c'est un vrai, mais la tunique vaut plus chère que cela.
Nidaros observa le visage du maître-tailleur, son regard fuyant, la façon dont il se mordait légèrement les lèvres. Aucun doute, cet homme tentait de l'escroquer. Nidaros lâcha un soupire désabusé, il mis sa main dans sa poche et en ressortit un second rubis. Le visage du maitre-tailleur s'illumina.
Nidaros dit alors : "Vous n'aurai rien de plus monsieur".
Le visage de l'homme s'adoucit et il répondit avec une voix douce : "A ce prix là monsieur, mes apprentis et moi mêmes sommes à votre disposition".
Le regard de Nidaros parcourut la boutique et s'arrêta sur un masque noir de Carnaval, très simple et discret, qui recouvrait le visage entier. Le maitre-tailleur, dit alors au jeune médecin avec un grand sourire :
_Je suis commerçant, si vous voulais, prenez ce masque je vous l'offre".
Nidaros sourit à cette proposition, et pris le masque. Une demi-heure, plus tard, Nidaros sortit de la boutique, âpreté. Il rangea, sa cote de maille, sa tenue de voyage et son mateau noir dans son sac. Il mis son masque et sortit dans les rues d 'Elysée.
Il put sans difficulté se fondre dans le paysage et la foule. Il atteignit finalement un grand parc dans lequel flottait le parfum exotique de centaines de fleurs. Il s'assit sur un banc, il pris sa mandoline, l'accorda et joua quelques minutes. Un attroupement commença à se former autour de lui. Un jeune homme s'approcha de lui et lui demanda s'il pouvait se joindre à lui, il sortit une flûte de sa manche et les deux hommes commencèrent à jouer un concert dans le parc. Nidaros se mit alors debout sur le banc, il scruta la foule qui était autour de lui et du jeune musicien. Son regard se perdit dans ceux des spectateurs qui l'admiraient. Son regard s'arrêta un instant sur un couple de deux jeunes gens assis sur un banc.
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Re: [Terminé][Fête de la Créativité 2781] Quelle pitié ! [sp Pars & Nidaros]
Mar 9 Aoû 2016 - 23:12
On était vraiment bien sur Minos. Impossible d’être assis sur un banc tranquillement plus de deux minutes ! A croire qu’ici les gens prenaient un très malin plaisir à venir vous parler ! C’était incroyable, et surtout insupportable.
C’est donc à cause de cette fameuse manie typiquement minosienne –on voyait bien que chez eux on ne détruisait pas à coup de boule de feu ceux qui venaient vous extraire de votre tranquillité !- qu’il se retrouva avec une fille d’âge moyen très blonde avec le sourire qu’il détestait chez tout le monde car il ressemblait à celui de ces répugnantes créatures appelées enfants qui lui demandait d’une voix bizarrement grave pour sa dégaine si elle pouvait toucher ses cheveux, qu’elle trouvait apparemment très beaux. Il grogna.
Cela voulait clairement, associé à son air peu amène, dire non, et la conversation aurait très bien pu s’arrêter là, s’il n’avait pas senti sur eux un regard. C’était le musicien de pacotille qui les regardait, celui vêtu d’une tunique grise et rouge et d’un masque digne d’une fête de la Couleur. Sa tunique était de bonne facture pour une du commerce, ce qui amena Ulrik à le mépriser immédiatement : pourquoi acheter dans le commerce lorsqu’on aurait les moyens d’avoir un tailleur personnel ? Il renifla de façon dédaigneuse. Puis :
- Quoi l’avorton ? toi aussi tu veux toucher mes cheveux ?
Il s’était levé, et je vous laisse imaginer ô combien agréable était son ton. Il aimait qu’on l’admire, certes. Mais là, entre une gamine bizarre et un homme masqué, il en avait déjà sa dose des minosiens et consorts.
[C'est très court désolée ! Mais ça va nous faire avancer ]
C’est donc à cause de cette fameuse manie typiquement minosienne –on voyait bien que chez eux on ne détruisait pas à coup de boule de feu ceux qui venaient vous extraire de votre tranquillité !- qu’il se retrouva avec une fille d’âge moyen très blonde avec le sourire qu’il détestait chez tout le monde car il ressemblait à celui de ces répugnantes créatures appelées enfants qui lui demandait d’une voix bizarrement grave pour sa dégaine si elle pouvait toucher ses cheveux, qu’elle trouvait apparemment très beaux. Il grogna.
Cela voulait clairement, associé à son air peu amène, dire non, et la conversation aurait très bien pu s’arrêter là, s’il n’avait pas senti sur eux un regard. C’était le musicien de pacotille qui les regardait, celui vêtu d’une tunique grise et rouge et d’un masque digne d’une fête de la Couleur. Sa tunique était de bonne facture pour une du commerce, ce qui amena Ulrik à le mépriser immédiatement : pourquoi acheter dans le commerce lorsqu’on aurait les moyens d’avoir un tailleur personnel ? Il renifla de façon dédaigneuse. Puis :
- Quoi l’avorton ? toi aussi tu veux toucher mes cheveux ?
Il s’était levé, et je vous laisse imaginer ô combien agréable était son ton. Il aimait qu’on l’admire, certes. Mais là, entre une gamine bizarre et un homme masqué, il en avait déjà sa dose des minosiens et consorts.
[C'est très court désolée ! Mais ça va nous faire avancer ]
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Re: [Terminé][Fête de la Créativité 2781] Quelle pitié ! [sp Pars & Nidaros]
Jeu 18 Aoû 2016 - 21:35
Assis, déjà, il était impressionnant, mais alors quand il se mit debout, Pars ne put s'empêcher de faire un pas en arrière. Ce Grisonnant était vraiment comme la Haine personnifiée. Il adressa une remarque plutôt peu amène au charmant joueur de mandoline qui les scrutait depuis peu. Charmant était d'ailleurs une bien grande appréciation mais comme il portait un très élégant costume gris et rouge - qui s'accordait très bien avec l'habit de Pars, sans que cela soit fait exprès - et un masque tout ce qu'il y a de plus divertissant et curieux, Pars décida en elle-même que cet inconnu serait le Charme incarné face au Grisonnant haineux.
D'ailleurs, il ne lui avait pas répondu! Tout juste s'il l'avait regardée. Et il avait grogné. Pars gloussa. Ce Grisonnant était tout à fait étonnant pour un Minosien! Elle l'aimait bien finalement. Elle s'approcha de lui, main tendu, pour se présenter, mais n'attendait aucune réponse en retour.
-Enchantée, Monsieur Grisonnant, je suis Pars Immony, éleveuse de licorne en Chrysanthème! Vous ne m'avez pas répondue. Je peux vous toucher les cheveux?
Elle donna à sa voix grave le ton le plus aimablement mielleux qu'elle pouvait. Autant dire que ce fut aussi utile que d'uriner dans la mandoline de monsieur Charmant pour attirer les faveurs d'une foule pas vraiment en délire.
(PS1: Je me suis un peu emballée sur la dernière phrase, comprendra qui voudra. Mais j'l'aime bien quand même. xD)
(PS2: Petite réponse pour moi aussi, sachant que je ne sais pas trop où l'on va. Et sachant pas non plus si je vais survivre à ma rencontre avec Ulrik xD)
D'ailleurs, il ne lui avait pas répondu! Tout juste s'il l'avait regardée. Et il avait grogné. Pars gloussa. Ce Grisonnant était tout à fait étonnant pour un Minosien! Elle l'aimait bien finalement. Elle s'approcha de lui, main tendu, pour se présenter, mais n'attendait aucune réponse en retour.
-Enchantée, Monsieur Grisonnant, je suis Pars Immony, éleveuse de licorne en Chrysanthème! Vous ne m'avez pas répondue. Je peux vous toucher les cheveux?
Elle donna à sa voix grave le ton le plus aimablement mielleux qu'elle pouvait. Autant dire que ce fut aussi utile que d'uriner dans la mandoline de monsieur Charmant pour attirer les faveurs d'une foule pas vraiment en délire.
(PS1: Je me suis un peu emballée sur la dernière phrase, comprendra qui voudra. Mais j'l'aime bien quand même. xD)
(PS2: Petite réponse pour moi aussi, sachant que je ne sais pas trop où l'on va. Et sachant pas non plus si je vais survivre à ma rencontre avec Ulrik xD)
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Re: [Terminé][Fête de la Créativité 2781] Quelle pitié ! [sp Pars & Nidaros]
Jeu 30 Mar 2017 - 16:08
[Puisque Nidaros a fui, je tente une réponse, mais vu mon niveau d’aise avec cet Ulrik, je ne te garantis rien, je fuirai peut-être aussi, ne m’en veux pas x) On se fera un autre sujet avec un autre perso, et je ressortirai Ulrik de temps en temps, en pensant à le dépoussiérer avant x)]
Le joueur de mandoline n’avait pas daigné répondre. Ulrik bouillait. Il avait une furieuse envie de le réduire en bouillie, mais se retint : il était très visible, et s’il avait la capacité d’effacer la mémoire de tous ces gens, ça faisait quand même beaucoup de gens à poursuivre. Quoique, en les immobilisant tous pendant qu’il réduisait en poussière les os de cet avorton, et faisait sortir de ses narines son cerveau inutile, peut-être que …
Il fut interrompu dans ses pensées massacrantes par la voix bien étrange de la jeune femme face à lui. Elle était étonnamment grave, vraiment, pour un corps aussi menu. Dieu ce que c’était moche ! Ulrik, lui, aimait les femmes sensuelles, aux formes voluptueuses, aux cheveux soyeux, longs, qui glissaient entre ses doigts … Cette fille n’avait aucun intérêt. Peut-être en maison close, bien arrangée, et encore … ET elle voulait lui touche les cheveux ? Il renifla avec dédain. Quelle idée !
- Non.
C’était une simple syllabe, sur un ton froid et détaché. Elle n’avait pas intérêt à retenter. Il n’était pas un torchon où essuyer les doigts sales des pauvres.
Le joueur de mandoline n’avait pas daigné répondre. Ulrik bouillait. Il avait une furieuse envie de le réduire en bouillie, mais se retint : il était très visible, et s’il avait la capacité d’effacer la mémoire de tous ces gens, ça faisait quand même beaucoup de gens à poursuivre. Quoique, en les immobilisant tous pendant qu’il réduisait en poussière les os de cet avorton, et faisait sortir de ses narines son cerveau inutile, peut-être que …
Il fut interrompu dans ses pensées massacrantes par la voix bien étrange de la jeune femme face à lui. Elle était étonnamment grave, vraiment, pour un corps aussi menu. Dieu ce que c’était moche ! Ulrik, lui, aimait les femmes sensuelles, aux formes voluptueuses, aux cheveux soyeux, longs, qui glissaient entre ses doigts … Cette fille n’avait aucun intérêt. Peut-être en maison close, bien arrangée, et encore … ET elle voulait lui touche les cheveux ? Il renifla avec dédain. Quelle idée !
- Non.
C’était une simple syllabe, sur un ton froid et détaché. Elle n’avait pas intérêt à retenter. Il n’était pas un torchon où essuyer les doigts sales des pauvres.
- InvitéInvité
Re: [Terminé][Fête de la Créativité 2781] Quelle pitié ! [sp Pars & Nidaros]
Sam 1 Avr 2017 - 11:25
Le ton froid du Grisonnant ne perturba pas Pars Immony. L'indifférence de la Haine Personnifiée ne la toucha pas non plus. Cependant, cette voix... Elle ressenti une forte émotion au son de cette voix. La connaissait-elle?
Cette voix lui évoquait les douces prairies de Chrysanthème qu'elle avait depuis longtemps laissées derrière elle ; le sucré du miel tout juste recueilli ; le moelleux de l'herbe bien grasse du printemps, l'azur du ciel se confondant avec l'horizon... Pars voulait qu'il lui parle encore. Et encore sans jamais s'arrêter. Même s'il ne la regardait pas. Elle voulait irrésistiblement toucher ses cheveux aussi. Ce type avait une aura ténébreuse qui attirait Pars plus qu'elle ne s'en rendait compte.
Le souci avec Pars, c'est qu'elle ne maîtrisait toujours pas ses transformations. Elle savait par contre que lorsque qu'elle avait de trop forte émotions, cela avait plus de chance d'arriver. Et comme le Destin est joueur, et bien cela arriva.
Et Pars de devenir petit à petit une vraie bombasse. La transformation commença par le bas: ses jambes se dépotelèrent pour devenir musclées, ses fesses se rebondirent sensuellement, ses hanches s'élargirent et ses seins... Et bien maintenant elle en avait! Son visage changea aussi pour prendre une forme oblongue avec des yeux verts prairie et des cheveux noirs de geai. Ses habits eurent quelques problèmes au niveau des coutures et même certaines lâchèrent sans complexe, laissant une Pars Immony hagarde, sexy, dans des frusques qui n'étaient plus trop adaptées à présent.
[J'ai l'impression qu'il manque quelque chose à ma réponse... (Et sans parler de la crédibilité bien sûr!)]
Cette voix lui évoquait les douces prairies de Chrysanthème qu'elle avait depuis longtemps laissées derrière elle ; le sucré du miel tout juste recueilli ; le moelleux de l'herbe bien grasse du printemps, l'azur du ciel se confondant avec l'horizon... Pars voulait qu'il lui parle encore. Et encore sans jamais s'arrêter. Même s'il ne la regardait pas. Elle voulait irrésistiblement toucher ses cheveux aussi. Ce type avait une aura ténébreuse qui attirait Pars plus qu'elle ne s'en rendait compte.
Le souci avec Pars, c'est qu'elle ne maîtrisait toujours pas ses transformations. Elle savait par contre que lorsque qu'elle avait de trop forte émotions, cela avait plus de chance d'arriver. Et comme le Destin est joueur, et bien cela arriva.
Et Pars de devenir petit à petit une vraie bombasse. La transformation commença par le bas: ses jambes se dépotelèrent pour devenir musclées, ses fesses se rebondirent sensuellement, ses hanches s'élargirent et ses seins... Et bien maintenant elle en avait! Son visage changea aussi pour prendre une forme oblongue avec des yeux verts prairie et des cheveux noirs de geai. Ses habits eurent quelques problèmes au niveau des coutures et même certaines lâchèrent sans complexe, laissant une Pars Immony hagarde, sexy, dans des frusques qui n'étaient plus trop adaptées à présent.
[J'ai l'impression qu'il manque quelque chose à ma réponse... (Et sans parler de la crédibilité bien sûr!)]
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Re: [Terminé][Fête de la Créativité 2781] Quelle pitié ! [sp Pars & Nidaros]
Sam 15 Avr 2017 - 20:30
[J’adoooooore ! ]
Lorsqu’Ulrik tourna la tête, il fut un instant décontenancé, et cligna des yeux, pour s’assurer de la réalité de ce qu’il voyait.
- Eden ? …
Comment avait-elle pu se matérialiser ici sans faire une seule vague de magie, et surtout, comment l’autre empotée avait-elle pu disparaitre sans un bruit ? Il mit un instant avant d’apercevoir à quel point Eden était mal vêtue. Elle qui était adepte des vêtements, certes moulants, mais toujours ajusté et élégants s’était manifestement trompée de garde-robe et …
Transformiste.
Cette gosse était une transformiste, et c’était bien la fade bonde à la voix grave de tout à l’heure qu’il avait actuellement devant lui. Elle avait juste changé d’apparence. Et bon sang de bois, QUAND avait-elle croisé Eden, pour pouvoir ainsi lui ressembler ? Il retint un soupir. Là n’était pas la question. Elle était magnifique, et se pouvoirs, si elle était véritablement Transformiste, ne connaissaient presque aucune limite. Les Transformistes étaient trop rares pour se permettre d’en perdre une. Et ma foi, en plus de l’avoir dans leurs rangs, l’avoir dans son lit ne l’aurait pas dérangé. Changeait-elle de forme lorsqu’elle jouissait, comme une autre qu’il avait croisée ?
- Vous avez manifestement bien compris que ma préférence allait vers les femmes plus voluptueuses … Mademoiselle … ?
Son ton s’était fait plus doux et caressant, gardant pourtant un côté hautain, faisant sentir sa supériorité de manière non négligeable. Elle voulait lui plaire ? Elle avait réussi. Maintenant il fallait se montrer à la hauteur de ses attentes. Son regard d’acier était bien évidemment intéressé, comme toujours lorsqu’il voyait un bel objet.
Lorsqu’Ulrik tourna la tête, il fut un instant décontenancé, et cligna des yeux, pour s’assurer de la réalité de ce qu’il voyait.
- Eden ? …
Comment avait-elle pu se matérialiser ici sans faire une seule vague de magie, et surtout, comment l’autre empotée avait-elle pu disparaitre sans un bruit ? Il mit un instant avant d’apercevoir à quel point Eden était mal vêtue. Elle qui était adepte des vêtements, certes moulants, mais toujours ajusté et élégants s’était manifestement trompée de garde-robe et …
Transformiste.
Cette gosse était une transformiste, et c’était bien la fade bonde à la voix grave de tout à l’heure qu’il avait actuellement devant lui. Elle avait juste changé d’apparence. Et bon sang de bois, QUAND avait-elle croisé Eden, pour pouvoir ainsi lui ressembler ? Il retint un soupir. Là n’était pas la question. Elle était magnifique, et se pouvoirs, si elle était véritablement Transformiste, ne connaissaient presque aucune limite. Les Transformistes étaient trop rares pour se permettre d’en perdre une. Et ma foi, en plus de l’avoir dans leurs rangs, l’avoir dans son lit ne l’aurait pas dérangé. Changeait-elle de forme lorsqu’elle jouissait, comme une autre qu’il avait croisée ?
- Vous avez manifestement bien compris que ma préférence allait vers les femmes plus voluptueuses … Mademoiselle … ?
Son ton s’était fait plus doux et caressant, gardant pourtant un côté hautain, faisant sentir sa supériorité de manière non négligeable. Elle voulait lui plaire ? Elle avait réussi. Maintenant il fallait se montrer à la hauteur de ses attentes. Son regard d’acier était bien évidemment intéressé, comme toujours lorsqu’il voyait un bel objet.
- InvitéInvité
Re: [Terminé][Fête de la Créativité 2781] Quelle pitié ! [sp Pars & Nidaros]
Jeu 1 Juin 2017 - 22:18
Elle s'était transformée. Encore.
Elle était à présent gênée aux entournures par une poitrine tellement généreuse que bon... faut dire ce qui est... elle débordait un peu. Voire beaucoup. Elle pencha la tête. Tout était rond, rebondi, ovale. Moelleux. Comment? Pourquoi? Mais? Mais?
Comme à chaque transformation, Pars avait fini le postérieur au sol. Dans un geste gracieux qui lui ressemblait guère, elle rassembla sa nouvelle chevelure charbon en un rapide chignon à effet décoiffé très séduisant. Elle ôta ses chaussures qui lui faisaient mal.
Elle aurait bien tâté tout ça pour voir si c'était bien à elle, mais le Grisonnant lâcha un mot qui lui fit relever la tête.
- Eden?
C'était qui celle-là? Une amie à lui? Cette voix. Oh cette voix. Pars ne sentait plus maîtresse de rien. Au son de cette voix, elle sentait ses paillettes s'évanouir en quelque chose de plus tangible. Des papillons. Elle avait une colonie de papillons dans le ventre. De ceux qui font des looping pour bien vous faire sentir que l'émotion ressentie est forte, puissante mais surtout inéluctable. Et nouvelle.
L'acier de ces yeux pouvait bien transpercer toutes les armures, toutes les convictions, toutes les Pars Immony et sans le moindre effort.
Il s'adressa de nouveau à elle de sa voix envoûtante:
- Vous avez manifestement bien compris que ma préférence allait vers les femmes plus voluptueuses... Mademoiselle...?
Une phrase longue. Qui lui était destinée. Oh. Oh. OH. OH. Les papillons! LES PAPILLONS! Ils étaient partout en elle maintenant!! Comment faire? Pars perdait totalement ces moyens. On aurait presque pu trouver un filet de bave pendu à ses lèvres. Mais non. Maintenant elle était gracieuse et sexy. Pour faire les chose comme il fallait, elle décida de se relever pour s'adresser à ce ténébreux Grisonnant de la façon la plus digne possible.
Mauvaise idée. Le Destin était joueur et plein d'humour! Alors que le geste de Pars pour se relevé était déjà bien entamé, sa robe finit de se déchirer et resta au sol alors que notre jeune transformiste était à présent debout.
Il ne lui restait que sa sous robe en soie blanche bien assez transparente pour que l'imagination n'ait pas à trop travailler et ses cheveux qui s'étaient à nouveaux défaits dans le mouvement de son corps s'élevant vers une dignité non retrouvée.
Avec tout l'aplomb qu'il lui restait (autant dire, une lichette), elle tendit la main au Grisonnant:
-Pars Immony, éleveuse de licornes dans la forêt Chrysanthème.
Elle était à présent gênée aux entournures par une poitrine tellement généreuse que bon... faut dire ce qui est... elle débordait un peu. Voire beaucoup. Elle pencha la tête. Tout était rond, rebondi, ovale. Moelleux. Comment? Pourquoi? Mais? Mais?
Comme à chaque transformation, Pars avait fini le postérieur au sol. Dans un geste gracieux qui lui ressemblait guère, elle rassembla sa nouvelle chevelure charbon en un rapide chignon à effet décoiffé très séduisant. Elle ôta ses chaussures qui lui faisaient mal.
Elle aurait bien tâté tout ça pour voir si c'était bien à elle, mais le Grisonnant lâcha un mot qui lui fit relever la tête.
- Eden?
C'était qui celle-là? Une amie à lui? Cette voix. Oh cette voix. Pars ne sentait plus maîtresse de rien. Au son de cette voix, elle sentait ses paillettes s'évanouir en quelque chose de plus tangible. Des papillons. Elle avait une colonie de papillons dans le ventre. De ceux qui font des looping pour bien vous faire sentir que l'émotion ressentie est forte, puissante mais surtout inéluctable. Et nouvelle.
L'acier de ces yeux pouvait bien transpercer toutes les armures, toutes les convictions, toutes les Pars Immony et sans le moindre effort.
Il s'adressa de nouveau à elle de sa voix envoûtante:
- Vous avez manifestement bien compris que ma préférence allait vers les femmes plus voluptueuses... Mademoiselle...?
Une phrase longue. Qui lui était destinée. Oh. Oh. OH. OH. Les papillons! LES PAPILLONS! Ils étaient partout en elle maintenant!! Comment faire? Pars perdait totalement ces moyens. On aurait presque pu trouver un filet de bave pendu à ses lèvres. Mais non. Maintenant elle était gracieuse et sexy. Pour faire les chose comme il fallait, elle décida de se relever pour s'adresser à ce ténébreux Grisonnant de la façon la plus digne possible.
Mauvaise idée. Le Destin était joueur et plein d'humour! Alors que le geste de Pars pour se relevé était déjà bien entamé, sa robe finit de se déchirer et resta au sol alors que notre jeune transformiste était à présent debout.
Il ne lui restait que sa sous robe en soie blanche bien assez transparente pour que l'imagination n'ait pas à trop travailler et ses cheveux qui s'étaient à nouveaux défaits dans le mouvement de son corps s'élevant vers une dignité non retrouvée.
Avec tout l'aplomb qu'il lui restait (autant dire, une lichette), elle tendit la main au Grisonnant:
-Pars Immony, éleveuse de licornes dans la forêt Chrysanthème.
- UlrikElysionien.ne
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Re: [Terminé][Fête de la Créativité 2781] Quelle pitié ! [sp Pars & Nidaros]
Dim 11 Juin 2017 - 16:01
Lorsqu’alors qu’elle se relevait, sa robe se déchira, la laissant presque intégralement nue, juste sous ses yeux, le yeux d’Ulrik se mirent à briller, et son expression se fit celle d’un chat face à un bol de crème à sa portée : prédatrice et gourmande. Il lui prit la main, et y déposa un baiser.
- Enchanté, Pars. Je me nomme Ulrik, et je suis un des seigneurs d’Elysion.
Son sourire était séducteur.
- D'ailleurs, mademoiselle, bien que ravissant mes yeux autant que vos formes, votre tenue n’est pas bien adaptée pour se balader … Voudriez-vous vous changer et vous rafraichir dans ma demeure ? Je me ferai un plaisir de vous y accueillir …
Il s’’était doucement rapproché d’elle, jusqu’à effleurer sa taille de ses doigts. Il avait vu qu’il lui plaisait, et comptait bien en profiter !
[C'est court, désolée ! Mais al suite sera sans doute plu longue !]
- Enchanté, Pars. Je me nomme Ulrik, et je suis un des seigneurs d’Elysion.
Son sourire était séducteur.
- D'ailleurs, mademoiselle, bien que ravissant mes yeux autant que vos formes, votre tenue n’est pas bien adaptée pour se balader … Voudriez-vous vous changer et vous rafraichir dans ma demeure ? Je me ferai un plaisir de vous y accueillir …
Il s’’était doucement rapproché d’elle, jusqu’à effleurer sa taille de ses doigts. Il avait vu qu’il lui plaisait, et comptait bien en profiter !
[C'est court, désolée ! Mais al suite sera sans doute plu longue !]
- InvitéInvité
Re: [Terminé][Fête de la Créativité 2781] Quelle pitié ! [sp Pars & Nidaros]
Jeu 3 Aoû 2017 - 19:29
Pars venait d'apprendre à son plus grand désarrois ce qu'était que le sentiment de gêne. Mais pas genre le petit sentiment ridicule que l'on ressent lorsque l'on se prend un râteau, ou alors quand on a trop mangé de haricots et que l'on a l'odeur d'un bon vieux traduc malade. Non. Non. On en était au niveau de gêne de lorsque l'on se trompe de prénom en voulant interpeller sa belle-mère, ou alors lorsque l'on crie le nom de quelqu'un qui n'est pas son amant lors du nirvana nocturne! Encore une fois, Pars apprenait à son insu les rouages de ses émotions, son pouvoir pas vraiment maîtrisé et la sociabilisation.
En d'autres termes, parce que cet homme tout à fait charmant avait une voix grave à en dévergonder la plus sage des saintes ET parce que Pars ne savait pas ce qu'était le Loup, elle s'était transformée. Et elle était à présent quasiment nue, debout, dans un parc en pleine nuit. Voilà qui avait de quoi être gênant.
Plus rien ne pouvait plus accaparer son attention que ce sentiment qui l'envahissait... En fait, si. Quand il lui prit la main pour y déposer un baiser avec son regard mielleux, gourmand et affamé, tout partit en fumée. Elle n'en revenait pas. Elle était le centre de l'attention de...
-.... Ulrik, et je suis un des seigneurs d'Elysion.
Ca voulait dire quoi ça, un des seigneurs d'Elysion? Oh Ulrik! Quel prénom de roi! Oh et ce sourire...
Pars n'avait foutrement pas conscience de son propre sourire niais, de ses yeux niais, de son attitude niaise. Elle ne se rendait vraiment pas compte de combien elle incarnait en ce moment précis le paradoxe: elle avait le physique d'un canon de beauté, d'un vraie mannequin, d'une personne sur qui toutes les têtes se tournent dans son sillages ; mais, elle avait l'attitude d'une enfant à peine sortir des jupes de sa mère. Que dire. Imaginez un ts'liche végétarien ou un dragon qui a peur du feu. Un arc-en-ciel monochrome. Ou une licorne sans corne. Au moins maintenant Pars était assortie à ce qu'elle élevait! Bref.
Elle était dans l'état d'esprit d'une personne qui vient de tomber à l'eau mais qui ne s'est pas rappelée qu'elle ne savait pas nager. Hébétée, hagarde. Perdue. Et comme toutes les personnes perdues elle prit une décision rapide (et franchement pas vraiment rationnelle).
-D'ailleurs, mademoiselle, bien que ravissant mes yeux autant que vos formes, votre tenue n'est pas bien adaptée pour se balader... Voudriez-vous vous changer et vous rafraîchir dans ma demeure? Je me ferai un plaisir de vous y accueillir...
Se rafraîchir dans sa demeure? Oh. Elle était dans l'état d'esprit d'une personne qui vient de tomber à l'eau mais qui ne s'est pas rappelée qu'elle ne savait pas nager. Hébétée, hagarde. Perdue. Pas encore paniquée. Et comme toutes les personnes perdues elle prit une décision rapide (et franchement pas vraiment rationnelle).
Et ses doigts qui vinrent déposer une douce caresse lui firent perdre le fond le raisonnement qui lui restait. Dans un petit bredouillement elle s'entendit répondre un piteux petit:
-Oui, avec plaisir...
En d'autres termes, parce que cet homme tout à fait charmant avait une voix grave à en dévergonder la plus sage des saintes ET parce que Pars ne savait pas ce qu'était le Loup, elle s'était transformée. Et elle était à présent quasiment nue, debout, dans un parc en pleine nuit. Voilà qui avait de quoi être gênant.
Plus rien ne pouvait plus accaparer son attention que ce sentiment qui l'envahissait... En fait, si. Quand il lui prit la main pour y déposer un baiser avec son regard mielleux, gourmand et affamé, tout partit en fumée. Elle n'en revenait pas. Elle était le centre de l'attention de...
-.... Ulrik, et je suis un des seigneurs d'Elysion.
Ca voulait dire quoi ça, un des seigneurs d'Elysion? Oh Ulrik! Quel prénom de roi! Oh et ce sourire...
Pars n'avait foutrement pas conscience de son propre sourire niais, de ses yeux niais, de son attitude niaise. Elle ne se rendait vraiment pas compte de combien elle incarnait en ce moment précis le paradoxe: elle avait le physique d'un canon de beauté, d'un vraie mannequin, d'une personne sur qui toutes les têtes se tournent dans son sillages ; mais, elle avait l'attitude d'une enfant à peine sortir des jupes de sa mère. Que dire. Imaginez un ts'liche végétarien ou un dragon qui a peur du feu. Un arc-en-ciel monochrome. Ou une licorne sans corne. Au moins maintenant Pars était assortie à ce qu'elle élevait! Bref.
Elle était dans l'état d'esprit d'une personne qui vient de tomber à l'eau mais qui ne s'est pas rappelée qu'elle ne savait pas nager. Hébétée, hagarde. Perdue. Et comme toutes les personnes perdues elle prit une décision rapide (et franchement pas vraiment rationnelle).
-D'ailleurs, mademoiselle, bien que ravissant mes yeux autant que vos formes, votre tenue n'est pas bien adaptée pour se balader... Voudriez-vous vous changer et vous rafraîchir dans ma demeure? Je me ferai un plaisir de vous y accueillir...
Se rafraîchir dans sa demeure? Oh. Elle était dans l'état d'esprit d'une personne qui vient de tomber à l'eau mais qui ne s'est pas rappelée qu'elle ne savait pas nager. Hébétée, hagarde. Perdue. Pas encore paniquée. Et comme toutes les personnes perdues elle prit une décision rapide (et franchement pas vraiment rationnelle).
Et ses doigts qui vinrent déposer une douce caresse lui firent perdre le fond le raisonnement qui lui restait. Dans un petit bredouillement elle s'entendit répondre un piteux petit:
-Oui, avec plaisir...
- UlrikElysionien.ne
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Date d'inscription : 31/01/2011
Localisation : Là où vous mourrez
Votre personnage et ses relations
Date de naissance:
Âge:
Branche(s):
Lieu de vie:
Occupation:
Niveau de richesse:
Niveau de célébrité:
Relations principales:
Autres informations essentielles:
Re: [Terminé][Fête de la Créativité 2781] Quelle pitié ! [sp Pars & Nidaros]
Lun 7 Aoû 2017 - 17:23
Ulrik, voyant le trouble de la jeune fille à laquelle il faisait face, ne put s’empêcher de sourire. Ce n’était pas un sourire bon, non. Un sourire moqueur, légèrement, mais aussi un sourire de prédateur. Elle était à lui. Il le sentait. Il pouvait le voir à son comportement, son regard, ses gestes. Elle semblait bien incapable de lui résister, d’une quelconque manière. Il y avait dans ce corps splendide de femme fatale, comparable à celui d’Eden pour sa perfection, l’esprit d’une femme innocente, terriblement innocente. Très exactement comme il les aimait. Son sourire s’élargit encore. Il avait rencontré, et séduit, bien évidemment, un grand nombre de femmes, certaines aussi splendides qu’elles. Ses siècles d’existence lui avaient permis un nombre de conquêtes qui auraient fait blêmir d’envie Don Juan et ses compères. Cette jeune femme était une partie de plaisir, du gâteau, du tout cuit. Il aimait bien cette option. C’était agréable au fond, quand il était si simple de les rouler dans la farine. C’était drôle, très drôle, et il savait qu’il s’en amuserait beaucoup avec Eden, autour d’un verre de bon vin. D’ailleurs, quelle tête aurait fait sa charmante compagne en voyant son sosie ? Elle n’était pas sans lui rappeler Eden plus jeune, au moment de leur première rencontre.
Il effleura d’un doigt la joue de la jeune fille, et de son autre bras raffermit sa prisa sur sa taille. S’il rapprocha son visage du sien, et sa bouche alla effleurer son oreille encore chaste.
-Alors, allons-y, susurra-t-il.
Et en moins de temps qu’il n’en fallait pour cligner de l’oeil, il les téléporta, tous deux, jusque chez lui. OU plus exactement, jusqu’au manoir d’Eve sur Rhadamanthe, où il avait ses appartements. Il songeait de plus en plus à déménager, par ailleurs, mais il n’en dit rien.
- Bienvenue à vous.
Sujet terminé, sujet verrouillé !
Il effleura d’un doigt la joue de la jeune fille, et de son autre bras raffermit sa prisa sur sa taille. S’il rapprocha son visage du sien, et sa bouche alla effleurer son oreille encore chaste.
-Alors, allons-y, susurra-t-il.
Et en moins de temps qu’il n’en fallait pour cligner de l’oeil, il les téléporta, tous deux, jusque chez lui. OU plus exactement, jusqu’au manoir d’Eve sur Rhadamanthe, où il avait ses appartements. Il songeait de plus en plus à déménager, par ailleurs, mais il n’en dit rien.
- Bienvenue à vous.
Sujet verrouillé
Sujet terminé, sujet verrouillé !
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